Le crime de prélèvements d’organes sur des pratiquants du Falun Gong vivants par le Parti communiste chinois a choqué le monde entier. Un député d’Oxford a écrit une lettre à l’Organisation des Amis du Falun Gong Européens.
“Je m’intéresse de près aux droits de l’homme et j’ai travaillé particulièrement étroitement avec Amnesty International sur la situation en Chine.
“Hier j’ai participé à mettre en place la première réunion entre Amnesty International et les représentants du gouvernement chinois, à l’Ambassade de Londres. J’ai soulevé la question des abus, des exécutions des prisonniers ainsi que des transplantations d’organes. J’ai aussi cité le rapport de la Société de Transplantation Britannique que vous avez envoyé à Dan Peskins. En réponse, les fonctionnaires que nous avons rencontrés ont dit qu’ils tiendraient compte des nouveaux conseils. Mais Amnesty international et moi-même sommes très sceptiques, parce qu’il y a beaucoup d’argent impliqué et que les rapports indiquent que certains prisons en Chine sont dirigées comme des fiefs et aussi parce qu’il n’y aura aucune possibilité d’aller vérifier de près ce qui se passe réellement."
Le député a poursuivi en disant : "Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour mettre fin à ces pratiques. Une question clé qui pourrait permettre d’aborder les abus des prisonniers et d’autres questions des droits de l’homme est la possibilité pour Amnesty International et d’autres organisations des droits de l’homme de pouvoir se rendre en Chine, de rencontrer les gens et de faire des rapports. J’exhorte le Ministre qui répondra lors du débat à soulever ces questions et d' autres ayant trait aux droits de l’homme quand il visitera la Chine dans un avenir proche. "
Traduit de l’anglais sur
http://en.clearharmony.net/articles/200606/33836.html
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