Le vendredi 2 et samedi 3 juin 2006, des pratiquants de Falun Gong ont organisé une manifestation de protestation devant le consulat chinois de Marseille contre le prélèvement d'organes vivants sur des pratiquants de Falun Gong dans des camps de concentration secrets, des camps de travail et des prisons de la dictature communiste chinoise.
Les activités avaient lieu dans le cadre d’une activité plus générale commémorant le massacre du 4 juin 1986 Place Tiananmen à l’initiative de différentes associations dont Amnesty International, la Ligue des droits de l'homme, une Association de défense du Tibet et une association des droits de l'homme Arménienne.
Des simulations de scènes de torture et de prélèvement d’organes ont eu lieu pendant ces deux jours dans la rue St Ferréol, rue piétonne de Marseille. Beaucoup de gens ont été touchés par les photos et les reconstitutions dont les pratiquants étaient les acteurs vivants, ils faisaient la queue pour signer les pétitions.
Lors de la manifestation devant le consulat chinois de Marseille, les deux journaux principaux La Provence et La Marseillaise sont venus interviewer et photographier les diverses associations présentes dont les représentants ont dénoncé les crimes commis par le Parti communiste chinois sur les différentes minorités. La télévision locale LCM (La Chaîne Marseillaise) était aussi là pour filmer et interviewer les participants.
Des articles positifs sont parus le lendemain dénonçant en particulier la récente révélation des atrocités de prélèvement d’organes.
Le samedi soir de 21h00 à minuit, une veillée au chandelle en hommage aux victimes de la persécution du Falun Gong s'est tenue devant le consulat chinois.
Lors des activités contre la torture au centre de Marseille, de nombreuses personnes sont venues poser des questions et signer les pétitions. Beaucoup connaissaient déjà les atrocités de prélèvement d’organes sans savoir que les victimes étaient principalement des pratiquants de Falun Gong, ceux qui l’apprenaient d’abord abasourdis se sont indignés devant tant d’inhumanité.
Deux pratiquants simulaient la torture dite du
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