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| Le 20 avril 2006, lors d’une cérémonie sur la pelouse sud de la Maison Blanche, Wenyi Wang exige que Hu Jintao, le leader communiste chinois, mette fin à la persécution du Falun Gong. |
Le matin du 20 avril, Hu Jintao, le leader du parti communiste chinois, a rendu visite à la Maison Blanche. Au cours de la cérémonie de bienvenue sur la pelouse sud, une chinoise est tout à coup apparue à côté d'une caméra qui filmait la cérémonie et a déployé une banderole jaune après le discours du Président Bush. Elle a également crié des messages en chinois et en anglais : " Falun Dafa est bon", et " Arrêtez la persécution du Falun Gong ". Son action courageuse a ébranlé tout le monde présent. Après une manifestation qui a duré plus de deux minutes, elle a été emmenée par le service de la sécurité.
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Une enquête indique qu’il s’agit du Dr. Wenyi Wang, une Sino-Américaine. Le Dr. Wang a obtenu un diplôme en médecine à l'université de Bethune dans la province du Jinlin en Chine. Elle est allée aux Etats-Unis il y a 16 ans pour étudier la médecine occidentale et a obtenu un doctorat à l'université de Chicago. Elle est médecin et exerce à l'hôpital du Mont Sinaï de New York et elle est une pratiquante du Falun Gong.
Selon une enquête de la CIEPFG (Coalition pour enquêter sur la persécution du Falun Gong), le régime communiste chinois organise ses ressources pour détruire les témoins oculaires et les preuves de ses camps de concentration souterrains avant le 1er mai. En conséquence, de nombreux hôpitaux dans le pays font des heures supplémentaires pour effectuer des greffes, et les organes pour ces opérations proviennent de ces témoins oculaires, les pratiquants de Falun Gong. En conséquence, la communauté internationale doit prendre des mesures urgentes pour enquêter et arrêter ces atrocités.
Minghui/Clearwisdom souligne que MSNBC a diffusé l'appel du Dr. Wang et a ensuite interviewé Christopher H. Smith, président de la Chambre de la sous-commission sur l'Afrique, les Droits de l'Homme globaux et les Opérations internationales. Le journaliste de MSNBC et le membre du Congrès Smith ont fait des commentaires positifs et détaillés sur l'appel.
Dr. Wang a joué un rôle très important dans l’enquête sur les déclarations au sujet des prélèvements d’organes, par le PCC, sur des pratiquants de Falun Gong encore vivants. Elle a pu utiliser ses connaissances médicales pour aider à examiner les rapports sur les prélèvements d'organes et a été en contact direct avec les deux premiers témoins des atrocités. Elle a été bouleversée par les crimes qui ont été révélés. Cependant, cette déclaration de prélèvement d’organes n'a même pas été mentionnée lors de l’audition du Congrès sur les Droits de l'homme en Chine qui coïncidait avec la visite du leader communiste chinois. Le Dr. Wang en a été très attristée.
Une fois interviewée par la Radio Son de l'Espoir, le Dr. Wang a dit que les preuves avaient révélé que le régime communiste chinois avait secrètement donné les ordres de voler et vendre les organes des pratiquants de Falun Gong en 2001. Elle a comparé ce crime à l’holocauste. Elle a dit qu’elle était complètement responsable de son action et n'avait été influencée par aucun groupe ou aucune organisation.
Comme ses paroles de protestation étaient très claires dans l'émission diffusée, de nombreux médias ont également tourné leurs caméras en direction de la foule des manifestants et Hu Jintao a été apparemment contrarié, montrant une expression embarrassée. Une foule importante de pratiquants de Falun Gong manifestait à l’extérieur de la Maison Blanche et les fonctionnaires communistes chinois sur place avaient tous l’air très nerveux. Après avoir fini son discours, Hu a même marché dans la mauvaise direction et le Président Bush a dû le rattraper.
À 18h00 le 16 mars, une audition à la chambre : - " Surveiller le respect des droits de l'homme autour du monde : Un bilan des Rapports des pays sur les pratiques des droits de l'homme en 2005 " - a été organisée dans les bâtiments des bureaux de la Chambre de Rayburn à Washington, DC. Le membre du Congrès, Smith, a précisé que " les droits de l'homme ne sont pas un compromis ou un bien-être donné par un gouvernement, mais ils sont les droits fondamentaux de chacun, basés sur la dignité et la valeur des êtres humains. "
Mr. Smith a dit que quelques droits de l'homme sont fondamentaux et qu’ils sont la base des autres droits. Parmi eux, le droit de vivre est le premier. Si la vie d’un être est mise en danger, tous les autres droits perdront leur sens. Par conséquent, chaque vie est d'une importance primordiale.
Traduit de l’anglais au Canada le 22 avril 2006
Version anglaise disponible à :
http://en.clearharmony.net/articles/200604/32659.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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