Les pratiquants du Falun Gong de la République Tchèque ont menés une grève de la faim de 24 heures pour protester contre le camp de concentration de Sujiatun, où des pratiquants Chinois sont illégalement détenus. Cette grève de la faim avait débuté le 25 mars à 10 h devant l’ambassade de Chine à Prague.
A 15 heures ce jour-là, les pratiquants se sont dirigés vers le centre de Prague, Place de la vieille ville, où ils ont déployés des banderoles où on pouvait lire " Des milliers de pratiquants du Falun Gong étaient encore vivants quand leurs organes ont été prélevés dans le camp de concentration de Sujiatun en Chine", " Grève de la faim pour soutenir les Droits de l’Homme en Chine", ainsi qu'une bannière avec des photos et des informations détaillées sur le camp. La manifestation a continué jusqu’à 10 heures le lendemain matin par un temps humide. Les pratiquants ont distribué une information concernant le camp de la mort aux passants et fait signer des pétitions adressées au Premier Ministre de la République Tchèque et au Gouvernement, leur demandant d’enquêter sur ces crimes et d’aider activement à les stopper.
Les passants ont exprimé leur sympathie pour les gens qui souffrent dans le camp de concentration, ils ont exprimé leur soutien, même tard dans la nuit, quand la place était presque déserte. Un homme a éclaté en sanglots en lisant les horreurs qui se produisent en Chine et quand il a vu les pratiquants faire leur paisible méditation. " Je suis anéanti. Cette rencontre n’est pas fortuite, comment puis-je vous aider ? " a-t-il dit. Un journaliste Allemand de la Deutch Well a décidé d’écrire un article sur le camp de la mort de Sujiatun. C’était la première fois qu’il entendait parler de la brutale persécution des pratiquants du Falun Gong en Chine et les témoignages mentionnés dans les documents l’ont profondément choqué.
Les premières révélations concernant le camp de concentration à Shenyang ont été faites par le journal Epoch Times/La Grande Epoque grâce à un reporter qui a eu accès a des informations secrètes concernant le Parti communiste chinois. Selon ses termes, dans ce camp il y a environ 6 000 pratiquants détenus illégalement et jusqu’à ce jour personne n’en est sorti vivant. Une femme, témoin , qui travaillait à l’hôpital de Liaoning situé juste à côté du camp confirme que des organes tels que les cornées, les reins et les cœurs étaient prélevés sur des pratiquants alors qu’ils étaient encore vivants dans la plupart des cas et qu’ils étaient vendus à divers hôpitaux. Les organes prélevés sur des personnes encore vivantes génèrent plus de profits que les organes venant de corps mort. Les corps des pratiquants morts sont alors incinérés dans le four crématoire situé à proximité. Certains pratiquants sont encore vivants quand ils sont jetés dans l’incinérateur.
Selon les déclarations d’un médecin Chinois, le prélèvement des organes des prisonniers exécutés sans leur consentement ou celui de leur famille est assez commun. Le bourreau tire une balle sur le prisonnier, mais ce dernier est encore vivant après l’exécution. Les organes sont donc prélevés du corps. Les docteurs travaillant à long terme dans ce genre d’endroits sont coutumiers des ces pratiques et ne pensent même plus à l’éthique. Ils ne réalisent même pas qu’ils commettent des péchés. Ils sont profondément influencés par le culture perverse du PCC qui se proclame lui-même un dieu et décide de ce qui est bon et de ce qui est mauvais. Il détruit la culture traditionnelle, les valeurs morales humaines et la conscience des gens. Heureusement, il y a encore des gens dont la conscience n’a pas été détruite et les personnes qui se sont enfuies de la Chine commencent à parler ouvertement de ces horreurs, réveillant la conscience des autres afin de faire cesser ces atrocités.
Version Chinoise disponible sur :
http://www.yuanming.net/articles/200603/50651.html
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