Abandonner une mer de souffrance et de maladie

M. Liu Qiuxiang et Mme Lin Xiuxia ont tous les deux traversé un chemin de vie difficile. Comment ont-ils pu laisser derrière eux ces journées de tristesse, abandonner la mer de souffrance et de maladie, et pourvoir aux besoins de leur famille avec chaleur, santé et sérénité?

Une vie difficile et de nombreuses maladies

Libérés de l'obscurité de la maladie, Liu Qiuxiang (à droite) et Lin Xiuxia (à gauche)

M. Liu Qiuxiang est né en 1945 dans le village de Gongliao du comté de Taibei. La santé de son père était mauvaise depuis que M. Liu était enfant, et sa famille vivait dans la misère. Toute la famille vivait difficilement dans une région montagneuse éloignée de tout. En ce temps-là, il n'y avait pas de transports, aussi se déplacer ne pouvait se faire qu'en marchant. Le seul transport permettant d'aller dans des endroits éloignés était le train, et se rendre à la gare de Gongliao prenait deux heures de marche.

Parce que son père était physiquement faible et malade et incapable de travailler dur, Liu Qiuxiang et son frère aîné aidaient leur mère à la ferme et prenaient soin chaque jour des cochons. Pour un enfant, il travaillait diligemment aux travaux ménagers quotidiens. A cause de sa lourde charge de travail, il a dû fréquemment manquer l'école élémentaire, aussi son éducation était pleine de lacunes. Il n'avait aucun ami, et avait encore moins une enfance heureuse.

Lorsqu'il eut 18 ans, M. Liu attrapa la grippe. Comptant sur les médicaments envoyés par une usine, il a pu tout juste surmonter la maladie, et il a continué à tousser pendant plusieurs mois. Ensuite, sa santé ne s'est pas améliorée, et les symptômes de rhume chronique et de sinusite ont continué à le hanter. Il était tributaire des herbes qu'il collectait lui-même. M. Liu vivait sans espoir et avait peur de penser à l'avenir.

Après avoir été libéré des obligations militaires, M. Liu a déménagé à Suao et a fondé sa propre famille. Après son mariage, sa santé a continué à se détériorer, avec des maladies telles que des maux de tête, l'acouphène, des douleurs aux épaules, la sciatique, la poitrine congestionnée et beaucoup d'autres symptômes. En une année, il a subi quatre endoscopies et toutes sortes d'examens, mais la raison de sa maladie n'a jamais été découverte. Aucun docteur ne pouvait l'aider. Il devait prendre après chaque repas des médicaments contre la grippe, des médicaments pour l'estomac, des analgésiques et de nombreux autres médicaments. Plus il y avait de sortes de médicaments et plus il devait en prendre, et plus il souffrait et s'inquiétait. Il ne pouvait que compter sur les somnifères pour survivre toutes les longues nuits sans repos. A la fin, il est devenu si somnolent que c'était comme si il était soûl tous les jours.

Rechercher la santé, sans pouvoir la trouver

Parce que son corps était raide, M. Liu se blessait souvent le dos au travail s'il ne faisait pas attention. De plus, il a eu un accident lorsqu'il avait quarante et quelques années qui a causé la perte rapide d'un muscle et il ne pouvait plus marcher. Lorsqu'elle se souvient du tourment de ces années, Mme Lin, la femme de M. Liu, dit doucement que: "En ce temps-là, je pesais seulement 40 kilos. Je conduisais mon mari en bicyclette pour aller voir le docteur à Luodong. Lorsque je stoppais la bicyclette parce qu'il ne tenait pas debout, nous tombions tous les deux par terre." Mme Lin accompagnait M. Liu partout à la recherche de fameux médecins, mais sans résultat. Même plus tard, lorsque grâce aux bons soins de son oncle, la santé de M. Liu s'est un peu améliorée, sa vie ponctuée de prise de médicaments n'a pas changé.

M. Liu devait prendre toute une série de médicaments chaque jour afin d'aller travailler. Parfois, il oubliait d'en prendre quelques-uns, et même s'il était déjà arrivé à l'usine, il devait retourner chez lui les chercher. Le besoin jamais assouvi de médicaments chinois, occidentaux et d'une alimentation saine absorbait complètement le salaire de M. Liu. Sa femme courageuse ne se plaignait jamais, mais avait en charge de prendre soin de la famille, espérant que son mari pourrait un jour recouvrer sa santé. Mais la réalité n'était pas comme ce qu'ils avaient espéré. Les maladies de M. Liu persistaient, et Mme Lin, déjà affaiblie, commençait elle aussi à prendre des médicaments tous les jours étant à bout de forces.

Cultiver à la fois le corps et l'esprit et obtenir une nouvelle vie Zhuan Falun et comprenaient beaucoup de principes. Ils ont appris que le Falun Dafa cultivait à la fois le corps et l'esprit. En plus des exercices qui transformaient le corps, on devait aussi cultiver son coeur et accorder de l'importance au fait d'être bon. Le mari et la femme se sont diligemment améliorés eux-mêmes et ont utilisé les principes enseignés dans le Falun Gong comme une ligne de conduite sur la façon de traiter les autres. Ils ont employé un coeur bienveillant pour traiter chaque chose, faisant tout leur possible pour s'assimiler aux caractéristiques universelles de "Vérité, Compassion, Tolérance".

Après avoir pratiqué durant trois mois, un jour après le dîner, M. Liu s'est soudain senti très fatigué et s'est endormi sur le canapé sans prendre aucun médicament. Le jour suivant, il s'est réveillé tout requinqué et n'a plus jamais pris de médicament. Depuis lors, il a été libéré de sa vie cauchemardesque de ne pouvoir survivre sans médicament.

M. Liu dit: "Je ne pouvais pas lire beaucoup de mots auparavant, mais maintenant, je peux lire entièrement le Zhuan Falun. Avant de pratiquer, parce que j'avais mal au coeur en voiture, je ne voyageais jamais. Maintenant, je voyage souvent à l'étranger. Avant, j'avais peur d'attraper froid, et lorsque je marchais, je n'avais aucune énergie. Maintenant, je vais et je reviens de l'usine si facilement que même les jeunes ouvriers ne peuvent se comparer avec moi. Avant de pratiquer le Falun Dafa, il y avait beaucoup de choses que je ne pouvais pas manger; maintenant tout a si bon goût." Il sourit et dit: "C'est seulement après avoir cultiver le Falun Gong que j'ai réalisé qu'on pouvait vivre aussi confortablement."

Mme Lin nous a dit avec un sourire: "Après avoir pratiqué Falun Dafa, j'ai compris la relation entre la perte et le gain, et j'ai abandonné beaucoup de mauvais attachements. J'ai un coeur ouvert à présent, je recherche moins de choses et je suis plus heureuse. Je ne vois plus la nécessité de m'inquiéter des choses et prendre soin de ma famille est devenu pour moi plus facile et sans problème. Maintenant, je n'ai plus besoin de prendre de médicament. Aussi, j'avais souvent des sueurs froides, mais ma peau, qui auparavant était moite et froide, est à présent devenue douce. Tout le monde dit que nos visages paraissent en meilleure santé, si lumineux et plus jeunes." En voyant leurs sourires heureux, mon coeur a également ressenti une sensation de bien-être.

Traduit de l'anglais :
http://en.clearharmony.net/articles/200601/31041.html

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