Aujourd’hui, j’ai lu un article sur Clearwisdom publié le 28 décembre 2005, intitulé “Crimes haineux commis contre des pratiquantes de Falun Gong au Camp de travail forcé pour femmes de Shibalihe. (http://fr.clearharmony.net/articles/200512/24027.html. Dans cet article, la pratiquante révélait les actes terrifiants, dangereux et sans scrupules des policières et finissait l’article en disant : « Je ne sais pas quel genre d’état d’esprit ces policières peuvent avoir. Pourquoi détruisent elles et insultent elles d’autres femmes ? Ont elles oublié qu’elles aussi sont des femmes ? »
Ceci me rappelle une de mes expériences. Au printemps2001, le Bureau judiciaire de la ville de Shenyang avec le
Ce premier soir dans la notoire “Maison Zhangshi,” une jeune pratiquante de l’Université d’Agriculture ( qui était en grève de la faim pour protester contre la persécution) a été tabassée par les “assistantes à l’éducation” (des détenues incitées par les gardes à persécuter les pratiquantes). Les « assistantes à l’éducation » l’ont attrapée par les cheveux et lui ont lancé la tête contre le mur. Puis elles l’ont forcée à rester assise par terre en lui poussant la tête entre ses jambes et frappaient sa tête sur le sol. Elles n’ont arrêté que lorsque la pratiquante a crié à l’aide. Plus tard une policière est entrée dans la pièce et a demandé ce qui s’était passé. Lorsqu’elle a appris la situation, elle n’a pas été surprise du tout d’ une telle brutalité. Finalement la pratiquante lui a demandé : « Nous sommes toutes des femmes et les femmes devraient avoir un cœur aimant. Pourquoi traitez vous si cruellement d’autres femmes ? » La policière a répondu : « c’est mon travail ! » puis elle a tourné les talons et a quitté la pièce.
Le Camp de travail de Zhangshi a alors obtenu les dix pratiquantes les plus fermes du camp de travail de Masanjia et les a persécutées à la “Maison Zhangshi.” Un jour, une pratiquante qui avait été soumise au lavage de cerveau a relevé ses pantalons et leur a dit : «Vous ne devriez plus être dupées. Le soi disant « changement en bougeant » est trompeur. Regardez mes jambes. » D’autres ont vu les cicatrices laissées par un muscle pourri à l’intérieur de ses jambes. La pratiquante a dit : « La cause de ces cicatrices est que des policières, des prostituées et des toxicomanes ont attrapé mes jambes avec des pinces et ont avec méchanceté tordu le muscle. »
La directrice du Camp de travail N°2 au Camp de travail forcé de Masanjia, la policière Su Jing, est apparue à la télévision et a annoncé de fausses nouvelles sur la
Sur l’Internet, les méfaits de la police contre des pratiquantes dans de nombreuses régions sont régulièrement dévoilés. Un trait commun est que ces policières participent toutes activement à la persécution, utilisent des moyens brutaux et n’ont aucune gentillesse ni la sympathie que des femmes devraient avoir. « La policière Kou Caicai se comportait même comme un truand et a enlevé son uniforme de police jusqu’à ses sous-vêtements et a dit : « Je ne suis plus une policière j’ai juste envie de te battre. » (« Mme Deng Jianmei ne cesse de trembler après avoir été persécutée et qu’on lui ait ponctionné son sang à la prison pour femmes de la province de Heilongjiang » publié le 19 décembre 2005 sur Minghui) Ces deux policières qui perpétuent aveuglément la persécution ont elles vraiment voulu être des femmes sinistres et haineuses dès leur enfance ?
"Au début de sa vie, chacun a une nature de bonté.” Je ne crois pas que quiconque naisse démon. Ces policières doivent avoir été des petites filles adorables, sentimentales ou désobéissantes. En bavardant avec des élèves à une académie de police, elles m’ont dit qu’elles avaient appris dans la pratique policière que « si quelqu’un est battu à mort, le cadavre soit être secrètement enveloppé et enterré. » J’ai demandé : ne trouvez pas cela trop cruel ? » Elle a dit : « nous ne pouvons rien faire pour changer ça et graduellement nous nous y habituons. Nos professeurs à l’académie de police nous disent cela, dans notre profession, nos cœurs ne doivent pas être faits de chair. Il faut utiliser tous les moyens possibles pour parvenir à votre but ! »
Dans ce pays qui a été “kidnappé” par le PCC, cette éducation déviante transforme ces natures de fille aimantes et charmantes en robots qui « écoutent les instructions du parti pervers et suivent ses ordres. » Le lavage de cerveau avec la théorie fasciste dans les académies de police transforme ces filles en machines virtuelles qui perdent leur être véritable. C’est cette sorte d’éducation de l’école de police chinoise qui amène ces filles à graduellement abandonner leur simplicité, et à devenir des « Su Jing » et des « Kou Caicai. » Telle est l’éducation que l’esprit pervers du PCC utilise pour assurer son régime malin. Afin de stopper cette persécution, nous devons attacher de l’importance à envoyer des pensées droites et à clarifier la vérité afin d’aider davantage de gens à réaliser la nature perverse du PCC et éliminer tous les esprits malins.
Ecrit le 21 décembre 2005
Version chinoise :
http://www.minghui.org/mh/articles/2005/12/22/117065.html
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