AFP : Bush est encouragé à soulever [le sujet de la] répression du Falun Gong avec les dirigeants chinois

Le 14 novembre 2005

Au mois d’octobre 2005, des pratiquants et des défenseurs du Falun Gong se sont rassemblés à l'ambassade chinoise à Washington, D.C. USA. Le Président George W. Bush a été invité à soulever la question de la répression du Falun Gong par Pékin lors de ses entretiens cette semaine avec les dirigeants chinois
(AFP/File/Nicholas Kamm)

Le Président George W. Bush a été invité à soulever la répression de Pékin contre le groupe spirituel Falun Gong lors de ses entretiens cette semaine avec les dirigeants chinois.

Erping Zhang, le porte-parole du groupe a déclaré "Le Président Bush doit évoquer le Falun Gong lors de ses réunions publiques avec le président Hu Jintao et les dirigeants de la Chine, et exiger, sans aucune ambiguïté, la fin de la répression".

Il a déclaré "Il est crucial que le leadership de la Chine entende en termes puissants que ce qu'ils font au Falun Gong est inacceptable et doit cesser".

Zhang a déclaré qu'il y avait eu une augmentation rapide du nombre de décès du Falun Gong suite à la "torture et aux abus en prison."

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La semaine dernière, le département d'Etat des Etats-Unis a exprimé du regret pour la '"souffrance" des adpetes du Falun Gong en Chine en publiant son rapport annuel sur la liberté religieuse internationale. Dans le rapport, la Chine a reçu une "piètre" mention pour le respect de la liberté religieuse et de la liberté de conscience.

John Hanford, un envoyé spécial des Etats-Unis pour la liberté religieuse internationale, a dit "bien que le Falun Gong ne soit pas officiellement une religion, mais un mouvement spirituel, la souffrance qu'ils ont subie est inexprimable.

"Il y en a eu tellement qui ont été arrêtés -- des milliers et des milliers, beaucoup qui sont morts en détention policière et le problème ne semble pas diminuer. C'est donc quelque chose qui nous inquiète tous profondément."

Vingt et un législateurs des Etats-Unis ont écrit à Bush pour souligner les abus présumés des droits de l'homme, y compris la torture, lors de sa visite à Pékin le 19 octobre.

Nancy Pelosi le chef des Démocrates de l'opposition à la chambre des députés, a dit que les droits de l'homme devraient être "une première priorité" de l'agenda bilatéral.

Elle a dit "Nous invitons de nouveau Pékin à libérer les milliers de prisonniers de conscience dont le seul crime est d’avoir exiger leurs droits humains fondamentaux."

Version Chinoise disponible à :
http://www.yuanming.net/articles/200511/46858.html
Traduction non officielle de l’anglais le 16 novembre 2005

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