Central News Agency : Un ancien fonctionnaire communiste chinois accuse le PCC d’avoir maltraité les pratiquants de Falun Gong

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Selon une informatin du 6 août de Central News Agency, l'ancien directeur adjoint au bureau de la sécurité public de Shenyang a fait sa première apparition publique. Lors d’une conférence de presse, Guangshen Han accuse le parti communiste chinois (PCC) de violation des droits de l'homme, de maltraiter les dissidents politiques et les pratiquants de Falun Gong. La demande de statut de réfugié de Han a été rejetée par le gouvernement canadien et il cherche maintenant l'appui et la sympathie du public pour renverser la décision.

Lors de la conférence de presse, Han a dit qu'il avait personnellement été témoin de dissidents politiques et de pratiquants de Falun Gong qui avaient été torturés avec des matraques électriques lorsqu’il travaillait au bureau de la sécurité public. Han a dit que les mains du PCC sont souillées du sang d’innocents civils.

Han a dit que le PCC a des réseaux d'espions à l'étranger et quelques espions se sont déguisés en reporters. En outre, le PCC vérifie régulièrement le courrier des citoyens. Han a dit que la corruption du PCC est plus poussée que pour tout autre parti politique dans le monde.

En septembre 2001, Han est venu au Canada en visite d'affaires. Il a alors demandé le statut de réfugié. Il a dit qu'il regrettait son passé après avoir réalisé la nature perverse du PCC.

Han a dit que les actions des deux fonctionnaires qui ont déserté en Australie l’avaient fortement encouragé et il a donc choisi de révéler publiquement la nature perverse du PCC.

Han a également invité tous les membres du PCC ayant une conscience à dénoncer le PCC et à se faire une nouvelle vie.

Au mois d’avril, Han s’est vu refusé l'offre de réfugié et il fait face à la déportation. La raison pour laquelle le conseil canadien d'immigration et de réfugiés a refusé l'application de Han est qu'ils croient que Han était également un complice du régime pervers et ne remplit donc pas les conditions d’un réfugié. Han s’inquiète qu'il pourrait être condamné à la peine de mort s'il était déporté en Chine. Han fait maintenant appel à la cour fédérale canadienne.

Han gère actuellement une petite entreprise. Il ne regrette pas son choix de s’être échappé de Chine et de dénoncer publiquement le PCC.

Traduit au Canada le 13 août 2005

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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