Le 6 juin, mon père a été victime d’un sérieux accident de voiture. Il était sur la route entre Xinzhu et son domicile peu après 4 heures du matin. Il faisait sombre dehors et il n’y avait aucun autre véhicule sur la route. Il conduisait à la vitesse maximale autorisée, approximativement 60-70 kilomètres à l’heure. A environ 4 heures et quart, en passant par la porte du Parc des Sciences, il a soudainement aperçu une barrière de sécurité d’environ 60 centimètres de hauteur juste devant lui. Comme il était trop tard pour stopper le véhicule, la voiture rentra dans la barrière de sécurité. Avec un très fort bruit dû à la collision, la voiture glissa sur quatre ou cinq mètres avant de se retourner et resta sur le côté des passagers.
Le cercle rouge montre le début de la barrière de sécurité. | La voiture après l’accident |
Après que la voiture se soit renversée, mon père s’est retrouvé accroupi devant le siège du passager. Il a entendu une femme crier à l’extérieur, alors il est sorti précipitamment par la vitre du côté conducteur, a glissé le long du toit de la voiture et s’est dirigé vers la femme en disant, « Je vais bien, je vais bien ! » La femme a dit, surprise, « Allez-vous vraiment bien ? » Mon père a répondu, « Oui, tout va bien. »
Cette nuit-là, j’ai reçu un appel de l’un de mes oncles. Il m’a demandé si mon père m’avait appelé (je vis à Taipei). Lorsque je lui ai dit, « Non », il m’a dit « Quelque chose de grave est arrivé, es-tu sûr que ton père ne t’a pas appelé ? » Je lui ai alors répondu : « Est-ce au sujet de son retour en voiture ? » Mon oncle a répondu, «Ton père a eu un accident de voiture ce matin. La voiture a été complètement détruite, mais ton père n’a même pas été légèrement blessé. Ton professeur (se référant au fondateur du Falun Gong, M Li Hongzhi) l’a sauvé. » Mon oncle a encore une fois mentionné qu’il était inconcevable que mon père n’aait pas du tout été blessé, alors que la voiture s’était transformée en épave.
Mon oncle a alors bavardé avec moi sur la façon dont les choses se passaient dans sa vie. Par la suite, il a soudainement dit qu’il voulait aussi apprendre le Falun Gong, et m’a demandé si c’était difficile à apprendre et s’il pouvait lui aussi pratiquer. A cet instant, j’étais profondément heureux pour lui parce que mes tantes et mes oncles savaient tous que notre famille pratiquait le Falun Gong et que c’était une bonne méthode. Lorsque nous nous réunissions chaque année, nous leur parlions toujours du Falun Gong, mais ils n’ont jamais voulu commencer la pratique. Après l’incident de mon père, mes oncles ont tous été choqués et ont dit, « Falun Gong est vraiment impressionnant.»
Par la suite, j’ai parlé à mon père. Il m’a dit qu’au moment de la collision, avant qu’il n’ai eu le temps ne serait-ce que de fermer les yeux, il a senti deux mains lui saisir le visage et le cou, puis le pousser pour qu’il s’accroupisse devant le siège du passager et qu’il évite ainsi d'être blessé par les vitres cassées et le volant. La seule « blessure » qu’il avait subie était une déchirure de 10 centimètres sur la jambe droite de son pantalon. Cela s’est passé si vite qu’il n’avait eu le temps ni d’y penser, ni d’avoir peur. La seule pensée qu’il a eue était qu’il avait eu de la chance que l’accident se produise tôt dans la matinée, car il n’y avait pas d’autres voitures sur la route ; sinon il y aurait eu un sérieux carambolage et d’autres personnes auraient été touchées.
Un commissariat de police se trouvait à proximité, ils ont alors appelé la police de la route pour contrôler la scène. La police a demandé à mon père, « C’est dangereux par ici. Avez-vous ralenti ? » Mon père a répliqué, « A cause de l’obscurité, la visibilité n’était pas bonne. De plus, la route s’est soudainement rétrécie et s’est transformée en zone fermée. J’ai transpercé la barrière en roulant à la vitesse normale, sans appuyer sur le frein. Mon Professeur m’a sauvé ! » L’officier de police était curieux et m’a demandé, « Quel professeur ? » Mon père a répondu, « Je pratique le Falun Gong. C’est notre enseignant qui m’a sauvé. »
La voiture a dû être envoyée à la casse. Dès que mon père est retourné à la maison après l’accident, il s’est approché du portrait du Maître, a mis ses paumes de mains l’une contre l’autre et a dit au Maître, « Merci Maître pour m’avoir sauvé la vie. Je promets d’être plus diligent dans ma cultivation pratique à présent. » Il a dit que le Maître avait continué de protéger avec compassion un élève peu diligent comme lui et avait sauvé sa vie.
Mon père voulait écrire cette histoire et la soumettre au site Internet, de manière à ce que chacun puisse être témoin de la grandeur du Falun Dafa. Il s’est rendu au commissariat local de Xinzhu pour demander des photos de la scène de l’accident. Un officier de police a dit à mon père qu’il n’y avait aucun moyen de lui donner les photos parce qu’ils devaient attendre que les 36 clichés de la pellicule soient pris. Mon père, cependant, voulait se procurer les photos le plus vite possible. Le policier a demandé d’un air curieux, « Pourquoi êtes-vous si impatient d’obtenir les photos ? » Mon père a répondu, « Je suis un pratiquant de Falun Gong. Mon maître a sauvé ma vie, alors j’aimerais soumettre ces photos à notre site et permettre à chacun de voir la grandeur du Falun Dafa. » L’officier de police a alors dit à mon père, « D’accord, venez les prendre à 17 heures ».
A 17 heures, mon père est arrivé au commissariat et a brièvement présenté le Falun Dafa, partagé quelques histoires de cultivation au sujet de citoyens qui ont bénéficié de la méthode, et a distribué quelques documents d’information au sujet du Falun Dafa. Il a vu que les photos étaient déjà posées sur la table. Après que mon père ai présenté le Falun Gong aux officiers de police et leur ai distribué les documents d’information, il les a quitté joyeusement en prenant avec lui sept photos de l’accident.
L’après-midi du 8 juillet, mon oncle qui m’avait raconté l’accident a appelé mon père et a raconté sa visite chez le médecin. Le Docteur Hu a raconté à mon oncle qu’il n’avait pas de maladie, mais qu’il était seulement stressé et paniqué à cause de la pression et de l’anxiété. Mon père a parlé avec lui pendant une heure, et lui a proposé de lire
, lui disant que ce livre pouvait répondre à toutes ses questions. Mon oncle a dit qu’il voulait le lire.
Mon père m’a raconté par la suite que dans le passé, quelque soit la manière dont il proposait à mon oncle de lire Zhuan Falun, il disait qu’il n’était pas intéressé et qu’il n’avait pas le temps de le lire. Maintenant, depuis l’accident, mon oncle a complètement changé son opinion et souhaite en savoir plus au sujet du Falun Gong.
Traduit de :
http://en.clearharmony.net/articles/200507/27917.html
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