Le 20 juillet, il y a six ans, un imbécile éhonté de connivence avec le Parti communiste chinois (PCC) a conduit la Chine à un stade extrêmement sombre de l'histoire, apportant des désastres infinis au peuple chinois.
Durant les six dernières années, le PCC pervers a utilisé les moyens les plus méprisables pour persécuter brutalement les pratiquants de Falun Gong qui croient en "Vérité, Compassion, Tolérance". Les dictats du PCC sont au-dessus de la loi chinoise, ils sont malveillants, et ils ont pour effet de réprimer la conscience des chinois. En plus de ses méthodes manifestement illégales, telles que la détention illégale, mettre à sac et fouiller les maisons sans mandat de perquisition, les amendes illégales, la torture, etc, le PCC tire avantage de la loi pour paraître légitime.
Jetons un regard sur le crime infâme du PCC "d'utiliser une organisation de culte pervers pour perturber l'application de la loi". Cette soi-disant loi a été ratifiée par le Congrès National du Peuple, puis utilisée par tous les niveaux de la magistrature pour poursuivre les pratiquants de Falun Gong. Qui est réellement la secte perverse? Ce n'est pas le Falun Gong. Les "Neuf Commentaires sur le Parti communiste" ont parfaitement analysé les faits et prouvé que le PCC est une secte perverse. Jiang Zemin a utilisé l'organisation de culte pervers du PCC pour détruire l'application correcte de la loi chinoise et piétiner les droits de l'homme en Chine.
L'application de la loi signifie mettre des statuts légaux en pratique, à savoir que la loi est mise en vigueur, se conforme ou s'applique à chacun avec justice. Perturber l'application de la loi signifie que les statuts légaux ne peuvent s'appliquer équitablement ni de manière cohérente, et que les droits des gens, comme définis sous la loi, ne peuvent pas être sauvegardés. Dans cette situation, l'autorité donnée par la loi s'affaiblit et devient inexistante. En Chine, aujourd'hui et à travers l'histoire du règne du PCC, le fait de perturber l'application de la loi est devenu quelque chose de commun et d'omniprésent.
Dans ce monde, le seul parti politique qui peut vraiment ignorer toutes les lois et tous les principes, traitant le mensonge comme une seconde nature et se conduisant de manière éhontée, c'est le PCC. Aucun autre parti politique ne peut le battre sur le terrain de détruire la loi.
Dans une société moderne, régie par la loi, les lois sont considérées comme sacrées. Même au sein d'une société traditionnelle, la loi du pays était quelque chose de suprême. Ceci est un principe pour toutes les nations et pour toutes les générations. Cependant, puisque le PCC, avec sa nature malhonnête et sa mascarade de communisme, ne pratique pas le communisme, mais fait plutôt ce qu'il veut, il a méprisé et détruit les règles juridiques à volonté. Qui plus est, l'effet le plus dévastateur du règne du PCC est qu'il distille des concepts anti-humanité extrêmement pervers dans la tête du peuple chinois. Cela fait que les chinois s'engourdissent et s'accoutument à la destruction de leur cadre juridique. Aussi, nous pouvons dire que si dans la Chine moderne quelqu'un se lève pour protéger la dignité de la loi, ce sera considéré comme inhabituel.
Dans les pays actuels, l'autorité de la loi est restreinte par les constitutions respectives de ces dits pays, et la constitution contient des principes fondamentaux inviolables. Les droits accordés sous la constitution sont initialement dérivés de l'autorisation démocratique. Ainsi, la constitution elle-même, agissant comme la loi suprême du pays, doit être légiférée ou amendée par le corps électoral sous des directives strictes et sous le contrôle de la procédure. La légalité de tout pouvoir d'état provient de l'autorisation accordée par la constitution. Tout pouvoir d'état, sans le pouvoir législatif, le pouvoir exécutif ou la juridiction, est ainsi limité et restreint par la constitution. Afin de sauvegarder la constitution, chaque pays possède tout un système reposant sur l'équilibre des pouvoirs qui a pour objectif d'empêcher les violations constitutionnelles et de sauvegarder les libertés octroyées à ses citoyens.
En Chine, la promulgation et l'amendement de sa constitution sont uniquement votés de manière superficielle par le Congrès National du Peuple, lequel se vante alors d'être un corps démocratique. En réalité, chaque amendement et tout le contenu—pas même un mot de la constitution chinoise—n’est écrit ou amendé par le Congrès National du Peuple. Tous les changements constitutionnels sont rédigés par l'esprit du parti pervers et donnés au Congrès National du Peuple comme une simple formalité. Lorsque la constitution a été amendée l'année dernière, le Congrès National du Peuple a seulement changé une ponctuation pour faire disparaître une phrase sans en changer le sens. Cette action a été appelée un "un grand bond en avant" par certains érudits de la constitution chinoise.
De nombreux droits humains fondamentaux, dont les chinois ont le plus besoin, font toujours défaut sur les pages de la constitution chinoise. Ces droits comprennent le droit de se déplacer librement à travers le pays, le droit à la propriété et le droit à l'équilibre des pouvoirs qui préserve contre les violations de la constitution.
Bien que la soi-disant constitution ait été écrite par le PCC, excepté la clause stipulant que la direction du PCC doit être soutenue indéfiniment, toutes les autres lois comprises dans la constitution sont constamment violées et piétinées par le PCC. La constitution accorde la liberté de religion, mais le PCC ne permet pas la liberté de croyance aux chinois. Ils ont détruit et interféré avec les trois religions traditionnelles du Taoïsme, du Bouddhisme et du Christianisme et ils ont systématiquement et brutalement persécuté le Falun Gong. La constitution accorde aux gens la liberté d'assemblement, de défilé et de démonstration. Cependant plus tard, le parti pervers a ordonné au Congrès National du Peuple de voter une loi pour précisément réguler et violer cette liberté. La constitution dit que le pouvoir judiciaire est indépendant de l'administration du pays, cependant après tant d'années de l'avancement de la soi-disant justice, la Chine n'a jamais exercé d'indépendance vis-à-vis de l'autorité juridique. Selon la loi législative de la Chine (la loi constitutionnelle), les règles qui limitent la liberté personnelle ne peuvent être formulées qu'à l'intérieur de la loi, et seul le Congrès National du Peuple et son Comité Permanent sont autorisés à légiférer un tel règlement. Néanmoins, la règle administrative illégale de "l'éducation par le système du travail forcé" a existé pendant longtemps et est considérablement utilisée en violation de ce statut constitutionnel. L'éducation par le travail forcé peut restreindre la liberté personnelle pendant plus de trois ans, ce qui est encore plus long que la punition légale autorisée sous la loi criminelle. A travers les années, beaucoup de citoyens bien intentionnés ont soumis des déclarations écrites au Comité Permanent du Congrès National du Peuple afin de suggérer l'abolition de l'éducation-par-le-travail-forcé. Mais le Comité Permanent, toujours outil et complice du PCC, a constamment ignoré de telles déclarations. Bien que la constitution ait donné au Comité Permanent le statut de la plus haute autorité, il n'a jamais exercé son pouvoir d'état le plus haut de sa propre initiative. Il est en réalité un ornement et un outil de l'esprit pervers du PCC.
Concernant les autres lois ordinaires, le PCC les a détruites sans relâche et les a méprisées sans sourciller. Au cours des dix dernières années, avec l'aide de la communauté internationale, la Chine a vraiment établi un cadre légal plus complet, mais à présent, il est uniquement utilisé comme un écran de fumée. La réalité est que les droits des gens écrits dans la loi n'ont jamais été sauvegardés. Le PCC supplante toutes les lois avec son pouvoir, et il ne doit se soumettre à aucune restriction légale. En parcourant le pays, toutes les antennes gouvernementales chinoises agissent également selon la volonté du PCC.
Selon la loi, le Congrès National du Peuple devrait détenir le plus grand pouvoir dans le pays, mais il n'a aucune possibilité de l'exercer. Le parti pervers peut voter toutes les lois qu'il veut et élire des fonctionnaires à volonté.
Le pouvoir judiciaire devrait être le symbole de la justice sociale et l’ultime protecteur de l'injustice sociale, mais son statut "indépendant" n'existe que de nom, il ne lui est pas possible d'agir indépendamment. Le pouvoir judiciaire de la Chine n'a jamais été indépendant de l'administration. Qui que ce soit que le parti pervers souhaite condamner, le pouvoir judiciaire doit signer son approbation. Le pouvoir judiciaire est forcé d'ignorer la réglementation juridique existante ainsi que toute considération envers l'équité et la justice. Sous la direction de tous les niveaux des comités du parti, chaque niveau de l'administration obéit au parti pervers sans objection. Aussi, le droit juridique ne deviendra pas une réalité en Chine. Quiconque souhaite rechercher une assistance pour violations des droits de l'homme affrontera la brutale persécution du parti pervers et de ses organismes de contrôle.
Ce qui est le plus répugnant est que pour persécuter le Falun Gong, le PCC a mis en place une nouvelle organisation illégale, appelée le bureau 610. Le bureau 610 a le pouvoir absolu sur toutes les agences locales et nationales. Il peut à volonté priver le citoyen de ses droits légaux. Le Bureau National de la Sécurité Publique ainsi que tous les bureaux gouvernementaux judiciaires et de surveillance ne prennent pas les règles existantes pour loi, mais obéissent à tous les ordres secrets du PCC. Le PCC impose le travail forcé, les arrestations, la condamnation, les amendes, la torture et le meurtre. Les lois fondamentales du pays sous la constitution, toutes les lois criminelles, les lois de procédure criminelle et les lois de châtiment administratif ne valent même pas les papiers sur lesquels ils sont écrits. Le pays, la constitution, les lois, les droits et tous les discours officiels sont des mots vides.
Un érudit allemand, Rudolf von Jhering, a dit dans son livre, "Le combat pour la loi", que les gens qui n'ont aucun droit ne diffèrent pas des animaux domestiques, et que les esclaves romains était vendus comme animaux domestiques. Les chinois ont été traités tout comme l'a dit Jhering. Les chinois n'ont aucun droit humain fondamental. Mais, ce qui est le plus regrettable, est que la majorité des chinois ne résistent plus et sont devenus impuissants. Ils ont choisi d'endurer en silence, d'approuver et de tolérer un tel traitement.
Cependant, en dépit d'une telle perversité, les pratiquants de Falun Gong ont survécu à six années de règne de terreur, et y ont répondu pacifiquement. Ils ont persisté dans leurs croyances avec diligence et ténacité, ils ont défendu la conscience humaine et la dignité et ils ont maintenu leurs droits ainsi que leur dignité légale.
Aujourd'hui, six ans plus tard, le PCC pervers a déjà atteint une impasse, tandis que le Falun Dafa s'est répandu largement à travers le monde et est pratiqué dans 78 pays.
Depuis cet été 1999, quand la persécution contre le Falun Gong a été déclarée, "le rêve de la Chine d'être régie par les lois a été piétiné et est devenu un rêve stérile". La Chine fait face à un réel désastre. D'un autre côté, depuis le 20 juillet 1999, la diligence et la ténacité des pratiquants de Falun Gong, ainsi que leur foi juste et leur courage ont bouleversé le monde, et finalement a apporté un réel et nouvel espoir au peuple chinois.
Cet espoir se rapproche de plus en plus de la Chine au fur et à mesure que les jours passent. Nous voyons déjà le jour se lever après la longue aurore.
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