Le 8 juillet 2005, des pratiquants parisiens et provinciaux se sont retrouvés à Rouen pour apprendre à la population comment le Parti communiste chinois traite ceux qui suivent les principes du Falun Gong « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » en Chine. Ils se sont installés sur la place du Vieux Marché. Après avoir déployé des banderoles dénonçant la persécution, ils ont montré quelques unes des très nombreuses méthodes de torture utilisées pour tenter de faire renoncer les pratiquants à leur croyance.
Le 8 juillet 2005, des pratiquants parisiens et provinciaux se sont retrouvés à Rouen pour que la population puisse apprendre comment le Parti communiste chinois traite ceux qui suivent les principes du Falun Gong « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » en Chine.
Ils se sont installés sur la place du Vieux Marché, la place où a été brûlée Jeanne d’Arc en 1431. Après avoir déployé des banderoles dénonçant la persécution insensée que subissent quotidiennement les pratiquants de Falun Gong en Chine, des pratiquants (ils) ont présenté les tortures du Banc du tigre et de la petite cage.
Plus loin certains faisaient les exercices du Falun Gong au son d’une musique douce rendant encore plus choquant le contraste entre la paix de la pratique et la violence de la torture. D’autres distribuaient une information. Les pratiquants ont aussi fait signer des pétitions demandant à ce que Jiang Zemin soit amené devant la justice des hommes.
Une pratiquante a fait des fleurs de lotus toute la journée. Souvent, lorsque les pratiquants offraient ces fleurs, les gens étaient tellement émus qu’ils en avaient presque les larmes aux yeux.
Un Kabyle est resté longuement à discuter avec une pratiquante. Il ne pouvait pas admettre qu’une telle cruauté puisse encore exister de nos jours. Et pourtant, il avait vécu des choses difficiles et cruelles en Kabylie.
Une femme allemande qui ne parlait pas français a échangé avec deux pratiquantes qui ne parlaient pas allemand. Malgré la barrière de la langue, elle a bien compris l’horreur et l’aberration de cette persécution qui cible des pratiquants paisibles et doux. En quittant les pratiquantes, elle a dit avec des mots et des gestes : « Nous n’avons pas de problème de langue. Nous parlons avec nos yeux et avec nos cœurs. »
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