Aux heures de rush matinal le 7 juillet, une série d’attentats ont eu lieu à Londres. Au moins 49 personnes ont été confirmées mortes et des centaines ont été blessées. Le Premier ministre Tony Blair a taxé l’incident de « barbare ». Cette activité terroriste n’a pas seulement causé des dommages physiques mais a aussi amené une frayeur et une anxiété à long terme en Grande-Bretagne.
Nous avons vu dans l’histoire que les crimes résultant de la haine peuvent être très graves. La propagande de haine peut susciter et instiller le sens de la haine chez les gens, agissant par conséquent comme un motif invisible pour attaquer. Les terroristes publient des articles et des vidéos dans un seul but – engendrer la haine chez les lecteurs. Cela incite ceux qui suivent les terroristes à commettre des actes impardonnables.
Le 4 décembre 2003, le Tribunal Pénal des Nations Unies pour le Rwanda a déclaré trois patrons de médias coupables d’avoir incité au génocide en 1994. Deux d’entre eux ont été condamnés à la prison à vie, tandis que le troisième a été condamné à 35 ans en prison. Les trois plaignants travaillaient pour une station radio et un journal.
Le juge les a déclarés coupables d’avoir incité à la haine de race, résultant en des tueries de masse de gens innocents, dans les églises, les écoles et les hôpitaux. La station radio a même annoncé des noms d’individus, des plaques d’immatriculation et des lieux de résidence, ne leur laissant nulle part où se cacher au sein du génocide.
Un média de langue chinoise au Canada, à Montréal, a été poursuivi pour avoir utilisé des articles publiés par le Parti communiste chinois (PCC) pour attaquer le Falun Gong et son fondateur. Le résultat du procès reste à voir, mais une nouvelle d’il y a quelques jours a donné quelques indications.
Fin juin, la police d’Edmonton, dans la province d’Alberta, au Canada a dit qu’après une année d’enquête, ils avaient conclu que les documents distribués par le Consulat chinois à Calgary en 2004 avec de l’information négative sur le Falun Gong étaient de la propagande de haine. La distribution de ces documents a violé la Section 319.2 du Code criminel. La loi a interdit l’ « encouragement délibéré à la haine » contre un « groupe identifiable. »
La décision de la police canadienne peut nous aider à comprendre la nature et les motifs de la distribution d’informations calomniant le Falun Gong qui a été répandue largement par les consulats et les ambassades chinoises, certains médias de langue chinoise outre mer, et certains soi-disant « représentants de la communauté chinoise ».
Une société civilisée doit se garder de la haine et de la violence. Avons-nous tous la capacité de distinguer et de réagir contre les « graines de haine » semées autour de nous ?
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