Le 9 juillet 2005, des pratiquants parisiens et provinciaux se sont retrouvés à Caen pour exposer au grand jour les tortures dont sont victimes les pratiquants de Falun Dafa dans les prisons et les camps en Chine. L’exposition s’est tenue dans un petit jardin public du centre de Caen. L’ambiance était paisible sur le lieu de la présentation.
Beaucoup de personnes ont profité de la proximité de bancs pour s’asseoir et lire tranquillement la documentation proposée par les pratiquants ou regarder les pratiquants en train de présenter les exercices.
Beaucoup de gens à Caen sont venus et revenus. La première fois, ils acceptaient les dépliants. La fois suivante, ils venaient pour discuter avec les pratiquants et pour signer les pétitions.
Une femme policier est venue à plusieurs reprises pour soutenir les pratiquants et discuter avec eux. Alors qu’une pratiquante lui expliquait que certains policiers étaient plus occupés en Chine à persécuter les pratiquants qu’à arrêter les criminels, elle a réagi en disant « Les criminels ne s’arrêtent pas entre eux. »
Un couple est passé dans l’après-midi. En voyant les tortures et en lisant les panneaux, la jeune femme a fondu en larmes. Elle est partie en sanglotant et elle a attendu son compagnon un peu plus loin, sur un banc, le visage baigné de larmes.
Un jeune de 13 ou 14 ans a passé un long moment à regarder comment on fabriquait les fleurs de lotus. Il voulait aussi discuter avec les pratiquants, comprendre la différence entre le Taï Chi et le Falun Gong. On lui a parlé de patience, de tolérance, de bienveillance, et il a écouté avec attention, avec sérieux.
Un jeune homme a souhaité apprendre les mouvements des exercices du Falun Gong. Il a déclaré après : « Je suis très nerveux, mais je sens que ces mouvements m’ont vraiment fait du bien »
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
* * *
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.