Les médias ont joué un rôle clé en tant que complices lors des grandes calamités apportées par les régimes fascistes et communistes, affectant des millions de personnes de par le monde. Le rôle des médias sous le Communisme ou le Fascisme est d'endoctriner les gens par le lavage de cerveau et la propagande et d'inciter à la haine de certains groupes. Un tel média est vraiment inhabituel et unique dans sa fonction et son impact sur les gens. Il peut être utilisé comme un outil politique dans un mouvement de persécution massif. Son pouvoir et le préjudice causé peuvent être énorme, aussi devrait-il y avoir un moyen de surveiller et d'évaluer sa conduite et son fonctionnement.
C'est un acte criminel grave que de faire un mauvais usage des médias pour inciter à la persécution. Mais dans une dictature, une telle conduite criminelle peut être exécutée sans rencontrer d'opposition. Les médias peuvent rapporter des informations fabriquées comme étant des faits réels et lancer une campagne de diffamation afin de répandre la haine et la violence envers des groupes de gens.
Jusque là, la façon d'évaluer et d'analyser la conduite et la nature des médias qui rapportent des informations fabriquées et qui initient la persécution sous les dictatures n'est pas aussi claire. En d'autres mots, les gens n'échappent pas à cela et sont souvent incapables d’en détecter les intentions criminelles.
Il n'existe pas non plus de référence ou de cadre approprié, de loi internationale ou de pacte afin d'évaluer, de condamner, de sanctionner ou bien même d'interdire de tels comportements médiatiques. A cause de cela, une machine de propagande sous le contrôle d'une dictature peut librement distiller et répandre des mensonges sans peur de l'autorité de la loi.
D'un autre point de vue, lorsque le monde est conscient du pouvoir de la propagande médiatique, les médias eux n'osent pas directement commettre des crimes. Leurs rôles devient plus indirect et les conséquences mortelles plus cachées. Plus leurs actes criminels seront dissimulés, plus le préjudice sera difficile à détecter et à reconnaître. Il est également plus difficile pour les gens de reconnaître la gravité des crimes des médias et la façon de s'en protéger. En fait, l'impact résultant de la propagande perverse est même plus grand que le crime initial.
Depuis 1999, le Parti communiste chinois a une fois de plus utilisé sa machine de propagande d'état contre son propre peuple dans la persécution du Falun Gong.
Afin de protéger les droits de l'humanité, il est d'une importance capitale d'identifier et d'analyser la nature de la conduite des médias et d'éduquer les gens avec une telle connaissance afin qu'ils puissent avoir la capacité de les détecter et de les analyser eux-mêmes. Une telle stratégie chercherait à éviter les tragédies de propagande du passé, lesquelles n'étaient pas limitées par l'idéologie ou la loi. Cet effort exposerait également l'acte criminel de la propagande médiatique.
Nous proposons donc de mettre en place une organisation internationale pour surveiller les médias. Une telle organisation sauvegarderait l'impartialité dans l'usage des médias, surveillerait l'utilisation des médias et publierait une évaluation de la conduite des médias.
Une telle organisation internationale travaillerait:
1. À analyser et définir la nature d'un groupe de médias. Est-ce un média libre ou bien un outil de lavage de cerveau contrôlé par un dictateur?
2. À publier une analyse au jour le jour du média et un rapport d'évaluation, comprenant la véracité du média et s'il provoque un préjudice ou un impact négatif.
3. À publier, dénoncer et condamner toute information mensongère ou blessante rapportée par un groupe de médias.
4. À louer et honorer les excellents reportages et leur contribution à une honnête couverture médiatique.
5. À établir une banque de données afin d'enregistrer à la fois les comportements criminels et honnêtes des médias dans le but d'évaluer, d'analyser, de compiler des statistiques et de pouvoir faire des recherches.
6. À publier un rapport d'évaluation journalier et annuel.
Cette organisation internationale agira comme une plate-forme pour dénoncer et répertorier les crimes commis par un groupe de médias sous le contrôle d'une dictature perverse. Ceci peut effrayer les tortionnaires qui veulent utiliser les médias comme un outil et aider les gens à comprendre la nature malveillante d'un tel comportement.
Une telle organisation de surveillance aiderait les gens à comprendre les problèmes associés à l'usage inapproprié des médias. De cette façon, l'organisation contribuerait à la compréhension commune qu'un système standard peut être mis en place qui évaluerait, définirait et analyserait la conduite des médias. Par ailleurs, un accord international et un système juridique appropriés pourraient aussi être mis en place dans le but de stopper l'usage inapproprié du média. Les gens sous une dictature pourraient alors être prémunis d'un mauvais usage des médias. Lorsqu'une dictature utilise les médias pour laver le cerveau de son peuple, le peuple pourrait mieux reconnaître et évaluer une telle conduite et ainsi serait capable de suspecter, de questionner et de s'opposer à un tel comportement. De cette façon, ceux qui veulent utiliser les médias pour commettre des crimes feront face à des obstacles, et les désastres récurrents dus à l'usage inapproprié des médias seraient évités.
Lorsque les gens ont une compréhension correcte de la nature du journal People's Daily et de la télévision du PCC, et quand ils possèdent la capacité d'évaluer proprement cette conduite, ils sont plus à même de détecter et de résister aux informations mensongères des médias communistes chinois. Les gens verront alors clairement la vérité de la persécution du Falun Gong, et finalement, élimineront les effets pervertis du média.
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