En juin 2003, j’ai été enfermé dans le centre de détention du district de Changping à Beijing pour vol par effraction. Les pensées et les actions droites d’un pratiquant ont complètement changé mon attitude envers le Falun Gong et la vie elle-même. A travers cela, j’ai été capable de voir clairement la nature malveillante du Parti Communiste Chinois. (PCC)
Le 1er juillet 2003, un pratiquant du nom de Cui Xiangjun a été amené au centre de détention en pleine nuit. Quand il est entré dans la cellule, il s’est immédiatement assis, a croisé ses jambes et est resté ainsi jusqu’au matin. Le lendemain quand ils l’ont emmené pour l’interroger, dès qu’il fut en dehors de la cellule, il cria dans le corridor, « Falun Dafa est bon ! » Sa voix résonna à travers tout le centre de détention. Tous les prisonniers et les officiers de police furent choqués. Il continuait à crier, « Falun Dafa est bon ! » Un officier de police dit, « si tu continues à crier, nous allons remplir ta bouche de chaussettes puantes ». Mr Cui ne fit pas attention à lui et continua de crier, « Falun Dafa est bon ! »
Mr Cui était emmené chaque matin, chaque après-midi et chaque soir pour être interrogé. A chaque fois, il criait trois phrases, « Falun Dafa est bon ! Ne persécutez pas le Falun Gong ! Libérez tous les pratiquants de Dafa ! » Mais il ne criait pas la nuit quand les gens dormaient. Il pensait toujours aux autres.
Le 4 juillet, les officiers de police commencèrent à brutalement le nourrir de force. Ils nous demandèrent à moi et d’autres prisonniers de tenir ses bras et ses jambes et de le gaver de force sur seuil de la porte de notre cellule. C’est à ce moment que j’en appris plus à son sujet. Les officiers de police ordonnèrent aux prisonniers de mélanger de la poudre de lait dans un lavabo rempli d’eau et de le gaver de force. Comment l’estomac d’un homme pouvait-il contenir et supporter un aussi gros volume de liquide. Cependant, les officiers de police ne s’inquiétaient jamais pour la vie des pratiquants. Après avoir été gavé, Mr Cui vomit encore et encore. A chaque fois, les officiers de police utilisaient un balai et une pelle pour ramasser le vomi, le remettaient dans le lavabo et le gavaient de nouveau avec.
Une fois, un médecin du centre de détention vint pour observer l’état de Mr Cui. En regardant son visage fatigué, le médecin marcha d’un pas lourd sur les poignets de Mr Cui avec ses bottes tout en souriant avec un air diabolique. Il a presque tordu ses bottes sur les poignets de Mr Cui. Il s’agissait du médecin de la police du PCC. Quand il torturait les pratiquants, il riait constamment. Il ressemblait vraiment à un fantôme réincarné de l’enfer.
J’ai grandi dans la campagne de la province de Henan. Depuis mon enfance, la graine était déjà semée dans mon cœur de croire dans les divinités et de prier. Bien sûr, je n’ai jamais vu un être surnaturel. A ce moment, cependant, j’en ai vu un. Ce merveilleux pratiquant était vraiment un être surnaturel !
Après le 8 juillet, nous n’entendîmes plus jamais la voix de Mr Cui. Nous n’avions aucune idée de l’endroit ou il avait été envoyé. Cependant, les mots « Falun Dafa est bon ! » qu’il dit aux gens du plus profond de son cœur d’une voix retentissante sont gravés dans mon esprit pour toujours.
6 mois plus tard, ma peine était terminée et je fus libéré. Peu de temps après mon retour chez moi, je trouvai un pratiquant local qui me donna une copie du précieux livre
C’est ainsi que j’ai obtenu la loi.
Récemment, un pratiquant dans notre village me donna une copie des 9 neufs commentaires sur le Parti communiste. Le livre était très bien écrit. Je peux aussi donner d’innombrables exemples des actions mauvaises commises par le PCC. Parlons de l’un des mensonges du PCC : Le PCC clame que ses gardes traitent les prisonniers de la même façon qu’une mère s’occupe de ses enfants ou qu’un médecin traite ses patients. Pourtant n’importe quelle personne ayant eu une expérience directe de leurs traitements les qualifieraient plutôt d’animaux sauvages. Mentir aux gens est une caractéristique inhérente au PCC.
Les commodités vendues en prison étaient extrêmement chères. Le PCC fait une fortune en exigeant des profits sidérants et grâce à l’utilisation perpétuelle de la violence. Quand ils n’étaient pas de garde, certains officiers de police gagnaient de l’argent en exploitant les membres de la famille des pratiquants. Ils autorisèrent alors les prisonniers à utiliser un téléphone portable pour appeler chez eux de la prison. C’est de cette façon que la police du PCC exécute la loi. J’ai vu un officier de police tenant une barre en fer et hurler dans le couloir en s’esclaffant, « que ceux qui ne craignent pas la mort se lèvent ». C’est ainsi que se comporte la police du PCC !
Le 30 mai 2005
Version Chinoise :
http://minghui.org/mh/articles/2005/5/25/102599.html
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