Quelques compréhensions à la lecture de "Me rappeler mon jeune frère, Liu Chengjun"

J’ai éprouvé une peine profonde en lisant “Ma rappeler mon jeune frère, Liu Chengchun (Photo) ” publié sur le site du Falun Gong Clearwisdom.net le 24 décembre 2004. Alors que j’étais accablé par le chagrin, j’ai pensé, « Chengjun, tu n’aurais pas du mourir ! » J’aimerais donc partager mes compréhensions avec tous.

La sœur de Liu Chengjun nous a dit dans l’article qu’après qu’elle avait dit à son plus jeune frère qu’elle essayait d’obtenir la parole médicale pour lui, Chengjun avait tout fait pour la dissuader et avait dit « Ne sois attachée à rien. » Puis il avait récité le poème de Maître*, « Pensées droites et actions droites » puis avait dit à sa sœur, « Après ma mort, tu dois être bonne avec lui (l’homme qui avait pris soin de lui). »

Je pense que Chengjun n’aurait pas du considérer les efforts de secours de sa sœur et des autres pratiquants comme un attachement et refusé en conséquence d’être secouru. En reconnaissant par ses mots sa mort imminente, Chengjun avait déjà accepté la fin de sa vie. Pensait-il que se préparer lui-même à mourir prouvait qu’il n’avait pas d’attachement à la vie et à la mort ?

Réfléchissons y un moment. Que se serait il passé si Chengjun avait renforcé ses pensées droites et pensé en lui-même, « je ne dois pas mourir ! Je dois surmonter la persécution démoniaque et sortir d’ici vivant ! Je coopérerais avec l’effort de secours de mes compagnons de pratique tout en demandant la protection de Maître et le renforcement de mes pensées droites ! Je dois nier complètement les arrangements des forces anciennes de la persécution contre moi ! Je n’accepterais que le chemin de cultivation arrangé pour moi par le Maître ! Je souhaite assister Maître jusqu’à son achèvement de la rectification de la Loi ! » Que serait il arrivé si Chengjun avait considéré les symptômes physiques de mort imminente comme une illusion démoniaque pour anéantir son esprit ? Que serait il arrivé si Chengjun avait pensé, « Tant que je suis en vie et que j’ai de l’énergie, je suis déterminé à sortir d’ici vivant ! » Peut-être qu’il serait encore en vie et continuerait à aider à révéler les faits de la persécution ! Maître a dit :

"C’est précisément parce qu’entre les êtres humains, il y a des émotions , et que les êtres humains ne vivent que pour ces émotions : les liens familiaux, l’amour entre un homme et une femme, l’amour filial, l’affection, l’amitié, les égards, tout est affaire de sentimentalité, dans aucun domaine les gens ne parviennent à se séparer de leurs émotions; vouloir faire quelque chose, ne pas vouloir faire quelque chose, être content, ne pas être content, aimer, détester, tout sans exception dans toute la société humaine provient des émotions ("Interférence démoniqua dans la cultivation" sixième leçon de Zhuan Falun)

Puisque “avoir plaisir à faire une chose” et “ne pas aimer faire une autre chose” sont ancrés dans la sentimentalité, la “peur” et l’intrépidité” ne sont pas aussi ancrées dans la sentimentalité ? Si tel est le cas, la “peur” et l’intrépidité” sont capables de faire prédominer notre côté humain. Maître a dit :

"Aucun attachement à la vie ou la mort
Francs et purs sur le chemin de la rectification de la loi

("Pensée droite comportement droit")

Je réalise à présent que nous devons enlever l’attachement à “vivre” et à “mourir”. C’est le véritable état de vide. Maître a dit :

"Qu’est la vacuité, l’inexistence des attachements est la véritable vacuité, et non le vide de la matière."
("Qu’est-ce que la vacuité?" in Points essentiels pour un avancement diligent)

En outre, je ne crois pas que ne pas avoir d’attachement à vivre signifie embrasser la mort ou accepter la mort. En tant que pratiquants de Falun Gong dans la période de rectification de la Loi, nous devrions choisir de vivre afin d’aider Maître à sauver des vies.

Moi aussi, j’ai eu quelques échauffourées avec la mort lorsque les hommes de main de Jiang Zemin m’ont torturé cruellement et lorsque j’ai été confronté à la persécution des démons pourris sous la forme de sérieux symptômes de karma de maladie. Durant ces périodes, j’ai souvent été interféré par de telles pensées : » je n’ai pas peur de la mort. Qu’elle vienne ! » , « je peux abandonner ces 70 kilos de corps, » ou « la mort n’est rien qu’abandonner ce corps physique dans le règne humain. » De plus, j’ai eu pendant longtemps la pensée, « je n’ai pas peur d’être arrêté, » lorsque je clarifiais la vérité à propos du Falun Gong. Après coup, j’ai vu que je n’étais pas très rationnel, j’ignorais ma propre sécurité. Superficiellement j’ai peut-être donner l’impression de bravoure, mais en fait j’étais attaché à la notion d’ « être brave. » Ce n’avait rien d’une pensée droite. C’était une omission majeure, parce que je m’étais soumis aux arrangements des forces anciennes, qui comprenaient d’être arrêté. La vérité, c’est que nous ne devrions rien penser mais aider le Maître dans la rectification de la Loi et offrir le salut du Maître au monde jusqu’à l’accomplissement de la rectification de la Loi. Autrement dit, lorsque nous sommes déterminé à n’avancer que sur le chemin arrangé pour nous par Maître, nous n’aurons jamais ces pensées mondaines.

" Tant que la pensée droite des disciples est suffisante (forte)
le Maître possède la capacité de faire changer l'univers "
(Traduction provisoire, "La grâce du Maître envers ses disciples" in Hongyin II)

Les paroles du Maître ne cessent de faire écho dans mon cœur. En 2005, renforçons nos pensées droites et accomplissions notre vœu en faisant bien les trois choses . Nous ne devons pas permettre au mal d’emporter d’autres compagnons de pratique !

Veuillez partager avec moi si vous trouvez quoi que ce soit d’inapproprié dans ma compréhension.

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