Les pratiquants de Falun Gong ont souffert plus de cinq ans de persécution. Malgré qu’il y ait peu d’informations sur cela à la TV, la persécution continue et des pratiquants meurent presque chaque jour. Le 26 décembre 2004, les nouvelles de Chine ont rapporté que les expositions contre la torture tenues par les pratiquants de Falun Gong à l’étranger étaient une distorsion de la réalité. Manifestement, les expositions qui ont révélé la torture et les mauvais traitements des pratiquants ont rendu ceux qui sont au pouvoir fous furieux, alors ils ont arrêté davantage de pratiquants de Falun Dafa dans notre région. La torture qui est révélée par ces expositions manifeste-t-elle la vérité ou est-t-elle une distorsion de la réalité comme le prétendent les nouvelles chinoises ?
Les voix dissidentes n'ont aucun moyen de se faire entendre sous un dictature. Qui est capable d’assurer l’exactitude et la fiabilité des reportages des médias du PCC ? Les gens ont même décrit les agences de presse chinoises comme les chiens du Parti. Les paroles d’une chanson populaire disent « C’est un chien élevé par le parti, gardant la porte du parti. Il mordra celui que le parti veut qu’il morde, et autant de fois que le parti le voudra. » La chanson dépeint correctement la vraie situation. Le régime de Jiang a incité les gens à la haine envers ceux qui croient dans la vérité, la compassion et la patience. Il a utilisé les médias modernes pour propager des histoires fabriquées et de la propagande parmi le peuple, qui, n’étant pas clair sur la véritable situation, a cru ce qu’il entendait. La propagande a fait que des centaines de millions de personnes ont haï le Falun Gong (comme cela a été décrit dans les médias chinois).
Depuis 1999, les
à propos du Falun Gong. A ce jour plus de 1200 morts dues à la torture ont été confirmées. Des dizaines de millions de pratiquants ont été arrêtés. Une fausse information par les médias chinois peut elle faire que ces faits deviennent faux.
En fait, les expositions contre la torture ne montrent que la pointe de l’iceberg. De nombreuses méthodes de torture ne peuvent tout simplement pas être dépeintes parce qu’elles sont trop horribles et brutales, même au-delà de ce que les êtres humains peuvent imaginer.
A 7h du matin un jour de juin 2003, dans la salle de conférence de la Cinquième brigade du Camp de travail forcé pour hommes de Changlinzi dans la ville de Harbin, le directeur Zhao Shuang a dit dans une réunion à laquelle assistaient plus de 60 personnes (dont 41 pratiquants de Falun Dafa) : « Puisque le PCC me fait confiance, j’ai été envoyé à la Cinquième brigade pour traiter la question du Falun Gong. Une fois que vous êtes là, vous perdez toute liberté personnelle. Selon une stipulation des plus hautes autorités, je devrais payer 200 yuans si un pratiquant meurt. Je n’aimerais pas que vous mouriez facilement. Je préfère faire de votre vie un enfer vivant. Si vous ne vous comportez pas bien, je pincerai vos parties génitales. Certains ont été pincés ainsi jusqu’à ce qu’ils poussent des cris. Le PCC m’a récompensé d’un bonus et avec de la bière à boire chaque jour (il buvait continuellement de la bière pendant les heures de travail). Par conséquent je dois être digne de la confiance du PCC. Vous avez dit sur internet que je suis une crapule ? C’est juste, je suis une crapule, je ne suis pas un voleur. Mon trait principal est la débauche. Pour flirter avec les femmes je suis … ( ses allusions sexuelles ont été omises). » Il est clair que les « gardes » qui sont très cruels et sans moralité ont été utilisés et poussés en avant dans la persécution du Falun Gong, l’effet de leur cruauté durant la persécution n’est que trop évidente. Zhao Shuang a souvent employé différentes sortes de torture comprenant les chocs électriques, la suspension par les menottes, et les coups de poing dans la bouche. Il a réprimandait ceux qui ne supportaient pas de frapper les autres : « Vous devez bien employer le pouvoir que je vous ai donné. »
Dans les services de police de la province de Heilongjiang situés sur la route Zhongshan dans la ville de Harbin, durant l’été 2000, les pratiquants de Falun Dafa ont été suspendus par les menottes avec les mains attachées derrière le dos de sorte que leurs pieds ne touchent pas terre et leurs têtes étaient recouvertes de sacs plastiques. Lorsqu’ils étaient sur le point de s’évanouir, le sac était enlevé et ils étaient interrogés. Si la police n’était pas satisfaite de leur réponse, le sac était de nouveau placé sur leurs têtes, répétant le processus jusqu’à ce que leurs réponses soient satisfaisantes. Après qu'ils aient fait cela à une jeune femme portant une jupe, trois officiers de police ont pincé le haut de ses cuisses en utilisant des pinces et lui ont frappé les seins et la poitrine.
Les gardes dans le Centre de détention de Taiping dans l’agglomération de Harbin ont incité des détenus à déshabiller complètement des pratiquantes en plein hiver et les arroser d’eau froide. Ils appelaient cette torture « prendre un bain. » Les gardes et la police militaire ont pris des pratiquants dehors, les ont déshabillés et les ont obligés à s’accroupir en tenant leurs têtes avec leurs bras. Ils ont appelé cette torture « chercher des biens de contrebande. »
L’hôpital du camp de travail forcé pour femmes de l’agglomération de Harbin a été spécialement créé pour les détenues emprisonnées. C’est exactement comme un camp de concentration et les pratiquantes y ont souffert toutes sortes de persécution. Les gardes ont donné pleine garantie administrative aux détenues sélectionnées, tandis qu’ils prenaient secrètement l’argent que les détenues extorquaient. Les détenues forçaient les pratiquantes hospitalisées à rester dans la couchette du bas [des lits superposées] par groupe de cinq personnes. Elles étaient empilées là toute la journée, incapables ni de s’étendre ni de s’asseoir. Certaines d’entre elles pendant deux ou trois mois. Certaines qui ont subi ce genre de tourments, de coups et d’injures sont mortes d’une mort tragique. De plus, l’hôpital enfonçait des aiguilles dans le corps des patientes qui mouraient pour ne pas avoir reçu un traitement à temps afin d’échapper à l’investigation des familles.
Extorquer de l’argent aux pratiquantes est une pratique commune pour les gardes. Le conducteur de la fourgonnette du Centre de détention, qui transporte les pratiquantes au Camp de travail forcé de Wanjia, a extorqué de l’argent à des membres de familles de pratiquantes en public. S’il ne pouvait extorquer suffisamment d’argent, il coopérait avec le camp de travail et aggravait la persécution de ces pratiquants. Les excuses utilisées pour obtenir de l’argent incluaient, honoraires de bridge, honoraires de route, les frais pour payer une connaissance pour les surveiller, etc.
Dans la quatrième brigade du Camp de travail force de Changlinzi, il y a un instructeur politique du nom de Sun qui tabasse particulièrement brutalement les pratiquants. Il n’a pas installé de vitres aux fenêtres des ateliers durant l’hiver. Les pratiquants étaient forcés à travailler 14 heures par jour dans l’atelier glacé et beaucoup de pratiquants ont été gelés et physiquement dévastés au point de ne plus pouvoir prendre soin d’eux-mêmes. Même ainsi, ils étaient forcés à porter les ordures gelées. Lorsqu’ils se sont plaints des conditions de froid, ils ont été forcés à acheter des vitres pour les fenêtres de l’atelier avec leur argent personnel.
Les descriptions énumérées ci-dessus ne sont qu’une minuscule fraction de la persécution barbare que d’innombrables pratiquants de Falun Gong ont soufferte depuis 1999. Alors qui est en train de mentir et de présenter une distorsion de la réalité ?
Version chinoise disponible à: http://minghui.ca/mh/articles/2005/1/16/93602.html
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