4. Mensonges, haines et insinuations blessent des vies innocentes
Face aux atrocités commises par le Parti Communiste Chinois (PCC), le peuple chinois est seulement autorisé à voir les mensonges fabriqués par CCTV et l’agence de nouvelle Xinhua et ils restent ainsi dans l’ignorance face à la situation réelle. Les portes parole du PCC ont fabriqué la prétendue « immolation par le feu de la place Tienanmen » et diffament encore et encore le Falun Gong avec leurs mensonges fabriqués. En conséquence, cette haine instiguée infiltre le sol de Chine.
Une telle haine a apporté un traumatisme inimaginable aux pratiquants du Falun Gong et à leurs proches. La peine émotionnelle est plus douloureuse que les mauvais traitements physiques. Ceux qui ont été trompés par la propagande haineuse considèrent les pratiquants de Falun Gong comme des monstres et s’en tiennent éloigné, s’isolent d’eux, les méprisent et vont jusqu’à les insulter verbalement et à les diffamer. Les unités de travail des pratiquants de Falun Gong congédient ces pratiquants innocents. L’opinion publique a diabolisé le Falun Gong, a fait qu’une société entière se transforme en un environnement terrifiant pour les pratiquants tentant de vivre une vie normale.
Une élève du collège de Chongqing ne pouvait pas endurer le tourment spirituel a tenté de boire du pesticide
Melle Li Qingqing, 13 ans, est élève au collège Heping à Jiangjin. Elle vit dans la section neuf du village de Zhouwu, commune de Luohuang, ville de Jiangjin à Chongqing. Qingqing est devenue orpheline alors qu’elle n’avait que neuf ans. Son père, un pratiquant de Falun Gong, est mort de la persécution en 2001.
La mère de Qingqing, Zeng Fanshu, était une pratiquante de Falun Gong et une ancienne enseignante de l’école secondaire Xiangtang dans la commune Shuangfu, ville de Jiangjin. Elle a commencé à pratiquer le Falun Gong en 1996. Après le début de la persécution, les autorités l’ont enlevée à six reprises. Le 19 décembre 2001, la police locale a pénétré de force chez elle et a enlevé Zeng Fanshu. Comme Zeng Fanshu a refusé d’abandonner la pratique du Falun Gong, elle est morte de la torture le 2 janvier 2000 (calendrier lunaire chinois), dans la classe de lavage de cerveau Dongmen de la ville Jiangjin.
Li Qingqing a non seulement perdu l’amour de sa mère mais aussi la chaleur d’un environnement familial. Elle a dû aller vivre chez son oncle et pleure souvent parce que sa mère lui manque.
Les jeunes enfants des environs de Qingqing ne voulaient pas jouer avec elle parce que la diffamation du Falun Gong par la faction de Jiang est tellement perverse. Elle ne pouvait plus endurer de telles cruautés et a donc tenté de boire une dose importante d’une substance qu’on pensait être du pesticide. Bien que les autres savaient qu’elle avait ingurgité le pesticide, personne n’a osé lui venir en aide et n’a tenté de lui sauver la vie. Heureusement pour Qingqing, cette substance s’est révélée ne pas être du pesticide, alors sa vie a été épargnée.
Une fillette de sept ans n’ose pas révéler le nom de ses parents
Zhen Xianchu, surnommée Gege, est une fillette qui est née au mois de janvier 1997. Elle est présentement à l’école élémentaire.
Sa mère, Shen Jianli, était une pratiquante de Falun Gong, détenant une maîtrise en mathématiques et elle était membre de la faculté du département de mathématiques appliquées au campus de Nanling, université de Jilin à Changchun, province de Jilin. Elle est morte à cause de la persécution en avril 2002 à l’âge de 34 ans. Son père, Zhen Weidong, est également un pratiquant de Falun Dafa. Le 6 mars 2002, à la cours du district de Nanguan à Changchun, il a été condamné à 13 ans de prison. Il est présentement emprisonné dans la prison Shilingzi dans la ville de Siping, province de Jilin.
Gege a peur de mentionner le vrai nom de ses parents. La fillette de sept ans est terrifiée chaque fois qu’on parle de la police.
Due à la propagande haineuse du régime de Jiang Zemin, les enseignants et étudiants de plusieurs écoles en Chine ne sont pas conscients de la persécution du Falun Gong ou de la vérité concernant le Falun Gong. De plus, certaines écoles ont même donné l’ordre aux enfants de participer à une campagne de signatures attaquant le Falun Gong. Certains maîtres d’école et des enseignants convoquent les enfants des pratiquants de Falun Gong à des réunions, leur mettent la pression et leur créent un poids psychologique énorme. Les enfants qui ont perdu leurs parents se trouvent déjà dans un état d’angoisse profonde. En plus, leur école et leurs enseignants leur mettent la pression et leurs camarades de classe ne les comprennent pas et cela leur causent encore davantage de pression. En conséquence, ils sont incapables de se concentrer en classe et leurs notes en souffrent également. Cela affecte aussi leur santé.
La politique d’insinuations cause une tragédie familiale.
Mme Yang Lirong, 34 ans, vivait rue Beimen à Dingzhou dans les environs de Baoding, province de Hebei. Elle a commencé à pratiquer le Falun Gong en 1998. Au mois d’octobre 1999, elle s’est rendue à Pékin pour faire appel pour le Falun Gong et pour informer les gens à propos de la persécution du Falun Gong. Xiao Fudi, un officier de police de la ville de Dingzhou l’a arrêtée et détenue dans un centre de détention pendant deux mois. Les autorités lui ont extorqué 5000 yuans avant de la relâcher et la police n’a cessé de la menacer après son retour chez elle.
Durant la révolution culturelle, ses parents âgés ont vécu des atrocités et étaient tout à fait effrayés. La police a profité de leurs faiblesses pour menacer souvent la famille de Yang. Le mari de Yang, un chauffeur du bureau de mesures et de météorologie, a eu peur de perdre son emploi et maltraitait souvent Yang Lirong physiquement. Yang Lirong vivait sa vie suivant les principes de Authenticité-Compassion-Tolérance et traitait son mari avec bienveillance.
Plus tard, les policiers se sont rendus chez Yang pour menacer sa famille et l’ont emmenée dans un centre de lavage de cerveau pour la persécuter davantage. Yang a persévéré à ne dire que la vérité et a refusé de délaisser ses croyances. On l’a obligée à assister aux classes de lavage de cerveau à trois reprises. À ce moment là, la famille de Yang ne pouvait plus endurer cette pression insupportable.
Dans la soirée du 8 février 2002, (calendrier lunaire du 28 décembre 2001, quelques jours avant le Nouvel An Chinois), la police s’est de nouveau rendue chez Yang pour rechercher des documents de Falun Gong. Ils sont partis découragés, sans avoir trouvé quoi que ce soit. Le mari de Yang ne pouvait plus endurer la pression insupportable des autorités. Tôt le matin suivant, profitant du fait que ses parents âgés étaient sortis, il a étouffé sa femme. Yang Lirong est morte tragiquement, laissant derrière un fils âgé de 10 ans.
Peu après, son mari a reporté l’incident aux autorités. La police s’est rapidement rendue sur la scène pour faire une autopsie sur le corps encore chaud de Mme Yang. Ils ont retiré plusieurs organes de son corps alors que les organes radiaient encore de la chaleur et que le sang sortait. Un membre employé du département de police de la ville de Dingzhou a dit, « Ceci n’est pas une autopsie, c’est une vivisection! »
Quand le pauvre enfant de Yang Lirong pourra-t-il se remettre de la tragédie de son père qui a tué sa mère ?
5. Les pratiquants de Falun Gong à l’étranger se font enlever leurs droits de rendre visite à leurs familles en Chine à cause de leur croyance
Durant les dernières années, le régime du PCC de Jiang a constamment continué ses crimes pervers à l’étranger. Partout dans le monde, la communauté internationale a condamné leurs actes pervers. Les organisations gouvernementales et non gouvernementales de plusieurs pays ont passé des résolutions apportant leur support au Falun Gong et faisant pression sur les autorités du PCC pour que cesse la persécution.
Le 16 octobre 2003, la membre du congrès des États-Unis Mme Ros-Lehtinen, se représentant elle-même et Mme Woolsey, a soumis la résolution 304 à la Place des Congrès du 108ème congrès des États-Unis, 1ère session, pour être enregistrée comme exposant, « La résolution du congrès face à l’oppression du Falun Gong aux États-Unis et en Chine par le gouvernement de la République Populaire de Chine. »
La résolution 304 stipule que le Congrès estime que le gouvernement de la République Populaire de Chine devrait cesser d’utiliser ses missions diplomatiques aux États-Unis pour répandre des mensonges concernant la nature du Falun Gong et devrait relâcher tous les prisonniers de conscience en détention, les pratiquants de Falun Gong inclus.
Le PCC, cependant, continue sur son chemin de perdition. Le PCC nie aux pratiquants de Falun Gong à l’étranger leurs droits de retourner en Chine pour se retrouver avec leurs proches en confisquant leurs passeports ou en refusant d’attribuer des visas à ceux qui sont devenus citoyens d’autres pays.
Selon les statistiques préliminaires, à ce jour, des poursuites sont en cours dans 17 pays par des pratiquants de Falun Gong qui ont vu les autorités chinoises soit leur confisquer leurs passeports, soit leur refuser une extension ou un renouvellement de passeport ou qui ont refusé d’émettre un visa pour qu’ils retournent en Chine. Ces pays sont le Canada, le Japon, l’Italie, la Suisse, la Hongrie, Singapour, le Royaume Uni, l’Irlande, les Pays-Bas, la France, le Danemark, l’Australie, l’Espagne, la Belgique, les États-Unis, l’Allemagne et la Nouvelle-Zélande.
Les pratiquants de Falun Gong qui vivent dans des pays étrangers ont un statut légal et détiennent des passeports valident. Ils devraient avoir le droit de retourner en Chine pour rendre visite à leurs familles. Le PCC piétine gravement les droits humain, refusant non seulement aux pratiquants de Falun Gong à l’étranger l’opportunité de retourner en Chine pour se retrouver avec leurs familles mais le PCC est également responsable du fait que certains pratiquants sont incapables de retourner en Chine pour être présents aux obsèques de leurs parents.
Pendant les cinq dernières années, à l’occasion de tous les festivals traditionnels, les pratiquants à l’extérieur de la Chine ne peuvent qu’aspirer à se retrouver avec leurs proches en Chine. Les pratiquants de Falun Gong qui se sont fait confisquer leur passeport ou refuser l’extension de leur passeport ne peuvent s’empêcher de demander, « Est-ce que ceux qui cultivent « Authenticité-Bienveillance-Tolérance » ne méritent pas d’être des citoyens chinois ? »
“Maman, pourquoi est-ce qu’on ne peut pas retourner en Chine?”
Un jour au mois de mai dans une école chinoise du Kansas, tous les enfants discutaient à propos d’une nouvelle excitante. Avec l’aide de l’association des sciences de la province de Shandong, les élèves et les enseignants allaient se rendre dans un camp d’été en Chine. Exception faite de Qianqian, une fillette de huit ans et Chunzhi, six ans, qui elles restaient silencieuses. Que se passait-il? Lorsqu’elles ont annoncé la bonne nouvelle à leur mère, Wang Dongmei, leur mère leur a expliqué, « Nous ne pouvons pas aller en Chine cette fois-ci, parce que maman et papa pratiquent le Falun Gong; le consulat chinois a refusé de renouveler nos passeports. »
“Pourquoi est ce que pratiquer le Falun Gong signifie qu’on ne peut pas avoir un passeport valide?” En réalité, il n’est pas seulement difficile pour les enfants de comprendre cette affaire mais les adultes se posent également des questions. C’est absurde et irrationnel.
Cela fait plus de dix ans que Kuang Jiyun et Wang Dongmei vivent aux États-Unis. Ils vivent présentement à Kansas City. Au mois de janvier 2004, lorsque est venu le temps de renouveler leurs passeports, M. Kuang a suivi les indications sur le site Web du consulat chinois à Chicago et a rempli les formulaires de demande puis les a envoyés avec les montants appropriés.
Le courrier est parti le 5 janvier 2004. Au bout de deux semaines, leurs passeports ne leur avaient pas été retournés. Quelqu’un du consulat a téléphoné à Kuang à son bureau. La personne n’a pas expliqué pourquoi le consulat n’avait pas renvoyé leurs passeports; au lieu de cela, elle leur a demandé, « Est-ce que vous pratiquez encore le Falun Gong? » Kuang a répondu, « Bien sûr. Pratiquer le Falun Gong est très bon pour la santé. Pourquoi devrais-je cesser de pratiquer? » La personne lui a dit d’y repenser à deux fois et a raccroché.
Le 10 février, n’ayant reçu aucune nouvelle du consulat chinois, Wang Dongmei, sa femme, a appelé le consulat et les a questionné concernant son passeport. Un fonctionnaire du consulat lui a dit qu’il ne pouvait prendre aucune décision concernant son passeport et devait contacter son supérieur. Il lui a dit de continuer d’attendre.
À la fin du mois de février, les employés du département des visas du consulat chinois de Chicago se sont déplacés jusqu’à Kansas City pour aider les chinois étrangers locaux avec l’extension de leurs passeports. Wang Dongmei s’est également déplacée pour se renseigner à propos de ses passeports. Un fonctionnaire du consulat lui a dit, « Pourquoi ne trouvez-vous pas un autre Qigong à pratiquer? Si vous cessez de pratiquer le Falun Gong, je vous allouerai immédiatement une extension sur vos passeports. »
Cela démontre clairement que la seule raison pour laquelle le consulat chinois n’alloue pas d’extension au passeport de M. Kuang et à celui de sa femme est uniquement parce qu’ils pratiquent le Falun Gong.
L’ambassade chinoise à Bonn, en Allemagne, a confisqué le passeport d’une pratiquante avant Noël.
Mme Qi Luyi est une étudiante chinoise en économie à l’université de Tuebingen. Elle a commencé à pratiquer le Falun Gong en 1990 alors qu’elle travaillait dans la ville de Dalian. Au mois de juin 2004, elle a épousé un pratiquant de Falun Dafa allemand et a alors dû changé son nom de famille Qi pour le nom de famille de son mari. Plus tard, le bureau administratif pour les étrangers lui a dit qu’elle devait se rendre à l’ambassade chinoise pour faire le même changement de nom sur son passeport.
Un fonctionnaire l’a amené dans une pièce et lui a posé des questions. Il lui a demandé si elle avait pratiqué le Falun Gong en Chine, si elle pratiquait encore le Falun Gong, si elle s’était jointe à certaines activités de groupe, etc. Il voulait également savoir qui s’était joint à ces activités. Ensuite, il a dit qu’il devait consulter son supérieur concernant le passeport de Mme Qi.
Ce genre de chose sans importance, un changement de nom de famille, peu se régler par courrier. Cependant, Mme Qi n’a jamais récupéré son passeport, bien qu’elle se soit rendue à l’ambassade chinoise en personne.
Passeport de Mme Qi Luyi |
Mme Qi Luyi détenait un passeport valide. L’ambassade chinoise oblige à changer le nom de famille après le mariage. Cependant, l’ambassade chinoise ne s’est pas contentée de ne pas faire son travail; elle a en plus confisqué le passeport de Mme Qi. C’est un acte illégal, même s’il s’agit d’une confiscation d’une heure ou d’une journée. Plusieurs personnes en Allemagne qui ont entendu cette histoire ont exprimé leurs forts mécontentements. Elles ont déclaré que l’ambassade chinoise se comportait comme des vandales.
Un pratiquant de Falun Gong a essayé de se rendre aux obsèques de sa mère en Chine mais le consulat chinois de Nouvelle Zélande a refusé de lui émettre un visa.
M. Cai Quanyun est un citoyen de Nouvelle Zélande. Le 3 septembre 2002, sa famille en Chine l’a informé que sa mère était décédée. Il s’est rendu au consulat chinois à Auckland pour demander un visa. Les fonctionnaires lui ont causé des problèmes. Finalement, M. Cai a été incapable de retourner en Chine et n’a pas pu être présent aux funérailles de sa mère.
Le 10 septembre, M, Cai s’est rendu au consulat chinois pour demander un visa. Le consulat lui a remit un reçu disant de se représenter le 17 septembre pour venir chercher son approbation de visa. Le numéro du reçu était 454505.
Sans s’y attendre, lorsqu’il est retourné chercher son visa, l’employé lui a causé des problèmes. Premièrement, l’employé lui a dit que les informations remises étaient incomplètes alors qu’en réalité, il avait explicitement suivi les instructions et complété les informations demandées dans le formulaire. Ensuite, ils lui ont demandé qu’il indique par écrit s’il pratiquait ou non le Falun Gong. Puis ils ont remit à M. Cai une fiche et ils l’ont renvoyé chez lui, lui disant d’attendre qu’on le contacte.
Plus tard, le consulat chinois a traîné et à chaque fois que M. Cai se rendait personnellement au consulat pour un suivi de sa demande de Visa, on lui répondait d’attendre. M. Cai a également tenté de téléphoner au consulat à plusieurs reprises, mais à chaque fois, il est tombé sur un répondeur.
Entre temps, le consulat chinois de Auckland a averti la Chine à propos des informations personnelles de M. Cai fournies sur sa demande de visa. En conséquence, les membres de la famille de Cai et ses proches en Chine ont été interrogés par la police chinoise. M Cai a dit aux autres, « Le soir du 25 octobre, les membres de ma famille m’ont appelé et m’ont dit que la police à Shanghai s’était déjà rendue chez eux pour enquêter et savoir s’ils pratiquaient aussi le Falun Gong. »
M. Cai a dit, “Les funérailles de ma mère avait été prévues pour le 6 octobre, date que j’avais clairement indiqué sur ma demande de visa. Le 4 octobre, le consulat de Auckland a refusé de me remettre un visa et ne m’a pas non plus renvoyé mon passeport. Pour cette raison, je suis incapable de présenter mon dernier adieu à ma mère. Cela fait plus de deux ans que je pratique le Falun Gong. Depuis que j’ai commencé à pratiquer, j’ai facilement réussi à arrêter de fumer, une habitude vieille de dix ans. Je m’entends harmonieusement avec ma femme et mon fils et je traite les autres avec bienveillance. »
Il ne pouvait pas comprendre pourquoi le consulat chinois méprisait les droits humains les plus élémentaires et leur créait des problèmes. Pour cette raison, il lui a été impossible d’être présent aux funérailles de sa mère en Chine et de remplir sa responsabilité morale en tant que fils, selon la tradition chinoise.
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Questionnons ceux qui refusent aux pratiquants de Falun Gong leur droit élémentaire d’avoir une famille heureuse. Qui doit-on blâmer pour ces familles brisées? Ces cas frappants et ces histoires tragiques mentionnés ci-dessus concernant des pratiquants de Falun Gong témoignent de la période la plus noire de l’histoire humaine.
Lorsque d’innombrables familles sont déchirées en Chine, lorsque des centaines de millions de gens sont indirectement victimes de la persécution, lorsque des gens mauvais et injustes se trouvent partout dans le pays, ne devrions-nous pas nous lever pour que cesse le terrorisme d’état et le despotisme du régime du parti communiste chinois de Jiang? Ces meurtriers dont les mains sont tachées par le sang des pratiquants bienveillants de Falun Gong ne devraient-ils pas être amenés en justice?
Chacun de nous doit prendre la responsabilité de mettre fin à cette persécution et d’amener les auteurs des crimes en justice, écrivant ainsi avec nos propres actions une page pour l’histoire du futur.
3 février 2005
Traduit de l’Anglais au Canada le 21 février 2005
Version anglaise disponible à http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2005/2/17/57643p.html
Version chinoise disponible à : http://minghui.ca/mh/articles/2005/2/7/94853.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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