Congcong a huit ans il est en deuxième année de cours élémentaire. Une nuit, après être rentré de l’école, le jeune visage innocent de Congcong était emprunt de tristesse. Sa tante lui a demandé ce qui s’était passé. Concong a dit que le professeur avait demandé à tous les élèves d’écrire trois souhaits qui leur tenaient à cœur. Sa tante a demandé à Congcong avec un sourire : « Que veux tu écrire ? » Après un temps de réflexion, Congcong a dit « avant tout je souhaite une vie de famille stable. Ensuite, j’espère que mon père et ma mère ne seront pas emmenés par la police et que je n’aurais plus jamais à m’inquiéter pour eux. Enfin, je veux être heureux comme les autres enfants. » Après avoir entendu cela, le sourire sur le visage de sa tante s’était figé et les larmes ont commencé à couler sur son visage.
Pourquoi Congcong, qui a huit ans et devrait jouer et être heureux comme les autres enfants endure-t-il tant de pression à son âge ?
Le père de Congcong et sa mère sont tous les deux pratiquants de Falun Gong. Par la pratique de Falun Dafa, les parents de Congcong ont non seulement acquis une très bonne santé mais ils exigent d’eux-même de vivre selon les principes du Falun Dafa, traiter chacun avec compassion. La mère de Concong a une relation beaucoup plus harmonieuse avec sa belle-mère après avoir pratiqué Falun Dafa. Mais, depuis que le régime de Jiang a commencé à persécuter le Falun Gong, le père et la mère de Congcong ont souvent été harcelés par la police, et forcés plusieurs fois à partir de chez eux pour échapper à l’arrestation. Pourquoi ? Parce qu’ils disent aux gens la vérité sur comment Falun Dafa a été persécuté et les belles choses que Dafa a apporté aux gens.
Congcong est si sensible qu’il n’a jamais parlé à personne de la pression. Chaque fois qu’il voit des policiers sur son trajet vers l’école, son jeune esprit commence à se sentir nerveux et inquiet pour la sécurité de ses parents. Une fois, son père est allé chercher sa sœur à l’école dans la soirée. Leur maison est loin de l’école, et les rues ne sont pas sûres, il a vu une voiture blanche (habituellement la couleur des voitures de police) et il y avait deux personnes se tenant à côté de la voiture. Lorsqu’il a revu son père, la sœur de Concong pleurait et disait « Papa, tu n’a plus besoin de venir me chercher. Je n’ai pas peur de marcher seule. » Le père a regardé la nuit sombre et sa fille en pleurs, et s’est senti très triste.
Il y a beaucoup de familles comme celles de Congcong parmi les pratiquants de Falun Gong en Chine continentale et ce n’est que la pointe de l’iceberg sous la tyrannie mauvaise du régime de Jiang.
Le petit Concong est une victime de la terreur que Jiang a causée. Il n’et pas difficile de voir d’après la conversation entre le petit Congcong et sa tante la profonde blessure que cette persécution a causé à son jeune cœur. Combien d’enfants comme Concong y-a-t-il en Chine ? Un tel tord fait aux enfants est irréprable et ne pourra jamais être compensé.
Traduit de l'anglais :
http://www.clearharmony.net/articles/200501/24367.html
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