Reportage d’un Journal allemand: Voice of Heilbronn

15 Février 2002

On n’a pas besoin de connaître “Cinq Tibetains,” on peut considérer le Zen comme un non-sens et sourire avec condescendance à propos Falun Gong – mais le courage manifesté par tous les disciples tandis qu’ils décrivent leurs idéaux dans leurs vies quotidiennes est digne de respect. En Allemagne où 2000 membres pratiquent paisiblement, l’état les laisse tranquilles

Selon quelle croyance les citoyens d’une nation se conduisent eux-mêmes n’est pas du tout notre affaire aussi longtemps qu’ils obéissent aux lois et adhèrent aux règles. Le parti au pouvoir en Chine a un point de vue différent. Les médias ont le même esprit, ils mentent les dents serrées et crachent ce que la clique régnante leur dit de diffuser. Il en est ainsi parce que la liberté d’expression et la liberté de conviction gênent le contrôle et la restructuration qui est supposée mener au changement vers une économie de marché basé sur les exemples Occidentaux.

Ce sont des signes inconfortables à une époque où la Chine est tout particulièrement sur la scène et ouverte à l’investigation pour ses futures possibilités économiques, celles de performances ordonnées dans le secteur économico-commercial. C’est pourquoi les activistes étrangers venus d’autres pays sont particulièrement maudits et importuns, dérangeants et déstabilisants, particulièrement parce que qu’ils sont bougrement sans force, plutôt des gêneurs, qui pointent le doigt sur le déficit de cet énorme pays, l’absence de liberté personnelle de ses citoyens.

Mais sans liberté personnelle ce nouveau libéralisme économique n’a pas de valeur, parce qu’il change la nation en rien d’autre qu’une machine à faire du profit où les individus doivent soit abandonner soit périr. Les disciples des mouvements spirituels qui fleurissent en Chine ont intégré ce fait il y a longtemps. Les dirigeants à Pékin ne le captent pas.