Au stand d’exposition anti-torture de Times Square, j’ai aidé à distribuer des documents de clarification de la vérité et j’ai expliqué les faits aux passants.
A environ 13 heures, quand j’ai essayé d’expliquer les faits sur le Falun Gong à un homme, il a dit : « Vous ne devriez pas exposer les méthodes de torture dans les rues. Ce n’est pas bien pour les enfants qui regardent. » Il a montré quelques jeunes pratiquants et a dit : « Vous voyez, ce sont des enfants. » Pendant un moment, je ne savais pas quoi répondre.
À ce moment-là, un autre homme qui passait par là est venu et a dit: « Comment se fait-il que ce ne soit pas bien ? Ils ont été approuvés par la police, alors c’est approprié pour les enfants. Les enfants vivent aussi dans ce monde et ils devraient aussi avoir le droit de connaître la vérité. Toutes ces choses se passent autour de vous et vous devriez également en être conscient. » Le premier homme a dit : « Non, cela ne se passe pas autour de moi. » Ce à quoi le second a répondu : « Alors habitez-vous sur terre ? La Chine n’est-elle pas située sur la terre ? »
J’ai remercié le second homme de m’avoir aidé à expliquer la situation et j’ai discuté avec lui pendant un moment. Il se trouvait qu’il venait d’Israël et qu’il était Juif. Il m’a dit que je n’avais rien besoin de lui expliquer car il avait compris en profondeur ce que nous essayions de dire. En voyant ces pratiquants suspendus et battus, ceux qui étaient attachés au Banc du Tigre, etc, il a dit d’une voix agitée : « C’est tellement horrible ! » Il a dit que nous devrions demander à quelques pratiquants occidentaux de venir nous aider. Je lui ai dit que nous manquions de personnes.
Il est alors resté et nous a volontairement aidés. Il a demandé à ses deux amis qui étaient venus avec lui de signer la pétition. De plus, ils disait au passants : « Bonjour, avez-vous signé la pétition ? L’avez-vous signé ? » Il a dit : « ça ne vous coûtera pas un centime. Vous n’êtes même pas obligés d’écrire votre adresse. Votre signature peut aider à arrêter cette persécution. »
Il s’est tenu là et n’a cessé de demander aux gens de signer la pétition. Il est resté là et a fait tout cela volontairement pendant environ une heure avant de partir. Quand il est parti, il m’a serré la main et a dit : « J’espère que la persécution s’arrêtera aussi vite que possible. »
Sur le chemin de retour, j’ai raconté cette histoire de l’homme d’Israël à mon fils et à ma fille et leur ai demandé ce qu’ils en pensaient. En fait, je voulais connaître leur sentiment sur l’exposition anti-torture. Au début, ma fille ne savait pas quoi répondre. Plus tard, en voyant des magazines et des publicités vendues ou affichés dans la rue, ma fille a dit : « Ces choses là, il n’est pas souhaitable que les enfants les voient, mais tenir l’exposition de torture était une bonne chose à faire. »
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| Mise en scène de tortures | ||
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| Les passants prêtent attention à la persécution | ||
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| Les passants prêtent attention à la persécution | ||
Traduit en France le 28 août 2004 de l’anglais
http://clearwisdom.net/emh/articles/2004/8/26/51764p.html
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