Une série de photos tirées des activités tenues en Amérique; des méthodes de tortures effrayantes

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Depuis le 20 juillet 1999, où le régime de Jiang a commencé la persécution du Falun Gong, dans les centres de détention, les camps de travaux forcés et les prisons chinoises les pratiquants de Falun Gong qui persistent dans leur croyance ont subi de différentes sortes de tortures inhumaines. Avec l’intention d’élimination systématique, toutes les sortes de tortures extrêmement violentes ont été vigoureusement utilisées par le régime de Jiang. Tous les instruments et les méthodes de tortures utilisés sont communs et similaires dans toutes les prisons et camps de travaux forcés à travers le pays.

Afin de faire toucher du doigt à beaucoup plus de personnes la nature brutale de la persécution, les pratiquants du Falun Gong ont utilisé récemment des peintures et des personnes réelles pour faire des démonstrations et illustrer certaines des tortures subies par les pratiquants du Falun Gong en Chine.

Bien que la démonstration des tortures soit déjà effroyable en soi, le degré et la variété des tortures ne représentent que la partie visible de l’iceberg comparé à ce qui arrive quotidiennement en Chine durant cette persécution impitoyable.

Avortement forcé. Ils forcent les pratiquantes de Falun Gong à avorter pour deux raisons : 1- parce que c’est pratique pour la détention des pratiquantes. 2- pour renforcer la souffrance physique et psychologique afin de forcer les pratiquantes à renoncer à leur croyance.

Les pratiquants sont ligotés sur le « lit de la mort » et on leur injecte une grande quantité de substances inconnues afin de détruire leur système nerveux. Comme les médecins et les policiers qui participent à la persécution reçoivent les ordres « d’en haut » que « La mort des pratiquants sont considérées comme un suicide » et « Pas besoin de les faire identifier, vous pouvez directement incinérer leur corps », ils sont souvent impitoyables et n’ont peur de rien, puisque ils savent qu’ils seront protégés.

Travail d’esclave. Dans les camps les pratiquants illégalement détenus sont obligés de faire jour et nuit du travail d’esclave. Ils sont obligés de faire du travail manuel dans un environnement extrêmement hostile et sans liberté. Leurs travaux sont soit exportés ou vendus localement. C’est devenu un des premiers moyens de profits pour les camps. Souvent le travail d’esclave continue sur une longue période apporte insidieusement des changements psychologiques chez les gens. Ils deviennent souvent indifférents à la persécution et semblent même prêt à l’accepter. Cela a laissé sur les pratiquants des séquelles psychologique et personnelles graves.

Le Banc du Tigre (Les pratiquants sont forcés de s’asseoir sur un petit banc de fer haut approximativement de 20 cm) avec les genoux attachés ensembles. En général on met des briques sous les jambes ou les chevilles et les policiers appuient sur les jambes avec un bâton. Celui qu’on torture ressent une douleur extrême comme si ses os étaient brisés et ses muscles déchirés.

Brûler la peau des pratiquants avec du fer chauffé. Pendant qu’ils subissent cette torture, les pratiquants voient de leurs propres yeux leurs peaux et leurs muscles brûlés et ils sentent l’odeur des brûlures de leurs peaux et muscles.

Plier et ligoter fermement les corps des pratiquants afin de les mettre sous un lit de bois très bas pendant des douzaines d’heures. En outre plusieurs adultes tapent du pied sur le lit pour intensifier la douleur.

Avant les lits des morts étaient parfois utilisés pour les criminels. Aujourd’hui ils sont largement utilisés pour torturer les pratiquants, homme ou femme. Cette torture a été subie par des grands-mères de 50 à 60ans ainsi que des jeunes filles non mariées.

Les personnes ligotées sur le “lit des morts” et exposées non seulement éprouvent des douleurs intenses comme si on les écartelait, mais ils font aussi leurs besoins sur le lit. Chaque seconde ils sont torturés mentalement et physiquement.

Dans la prison n°2 de Shenyang on donne l’ordre aux détenus de ligoter les pratiquants de Dafa sur « le lit des morts » puis d’insérer dans leur estomac un tube servant au gavage forcé et de l’y laisser Ils gavent les pratiquants à des heures fixes chaque jour. Plusieurs pratiquants y compris Zhang Zhenxue, Bai Mingsheng, Cui Dejun, Li Shangshi, Yan Haizhi and Cong Zhongxiao ont subi cette torture.

La situation dans la prison de Jilin est encore plus dure. Ils utilisent des chaînes de fer pour enchaîner les membres des pratiquants sur le lit et mettent le lit à la verticale de manière à ce que le corps du pratiquant soit suspendu en l’air. Les pratiquants sont torturés ainsi pendant 3 ou 4 jours consécutifs, parfois même plus. En conséquence les chevilles, les poignets et les articulations des pratiquants sont disloqués. Quand ça dure trop longtemps la personne torturée devient handicapée.

Quand ils utilisent le “lit des morts” certains policiers mettent quelque chose sous les fesses des pratiquants, après les avoir ligotés fermement, afin d’intensifier l’étirement quand le lit est mis à la verticale et que le corps des pratiquants est suspendu en l’air. Puis les fonctionnaires de police utilisent un marteau pou frapper les articulations des pratiquants jusqu’à ce qu’ils se disloquent et deviennent noires.

Gavage forcé Pratiquants suspendus et battus Insérer des pointes de bambous sous les ongles des pratiquants

Plier les pratiquants et les ligoter fermement Pratiquants enchaînés dans une petite cellule

Confiner les pratiquant dans une petite cellule en fer Enchainer les pratiquants dans une petite cellule

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