Annonce de la China Mental Health Watch : enquête sur la Torture mentale et les abus des institutions psychiatriques dans la persécution des pratiquants de Falun Gong en Chine

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I. Raison de la Création de l'Organisation
Depuis que la persécution des pratiquants de Falun Gong a commencé le 20 juillet 1999, les médias et les organisations des droits de l'homme à travers le monde ont continuellement rapporté la cruauté du gouvernement chinois envers les pratiquants de Falun Gong, y compris les mauvais traitements psychiatriques Selon des données incomplètes, environ 1.000 pratiquants de Falun Gong en bonne santé ont été envoyés de force dans des établissements psychiatriques, et beaucoup ont reçu des injections forcées de drogues psychotropes. Ils ont été systématiquement électrocutés et certains ont été attachés et gavés pendant de longues périodes. Au moins 10 pratiquants sont morts de ce type de mauvais traitement. Plusieurs de ces pratiquants ont été détenus dans des hôpitaux pendant des périodes longues de deux ans et demi. Au moins quatre-vingt-dix établissements psychiatriques en Chine ont participé à cet aspect particulier de la persécution.

Le 23 juin 2000, le Washington Post rapportait le cas de Su Gang, un ingénieur informaticien pratiquant le Falun Gong à la Qilu Petrochemical Corporation de Weifang, province de Shandong. Su Gang est mort après avoir passé une semaine dans l'hôpital psychiatrique de Changle, où les médecins lui ont injecté deux fois par jour une substance inconnue (1).

En mars 2001, le Centre d’Information du Falun Dafa a envoyé un rapport spécial sur les abus en traitement psychiatrique à la Commission des Nations Unies sur les Droits de l'Homme (2). Dans le rapport il y avait les descriptions détaillées des participants à la persécution et des drogues qu'ils utilisaient pour torturer les pratiquants de Falun Gong. Le rapport a également énuméré les comptes rendus détaillés de plus de 300 pratiquants de Falun Gong en bonne santé qui ont été détenus dans les établissements psychiatrique en Chine. Ce rapport a été envoyé au Comité d’Enquête de l'Association Mondiale de la Psychiatrie avec comme requête d'étudier et d'aider à arrêter les violations des normes psychiatriques internationales de la profession et les violations des droits de l'homme.

Durant le printemps 2000, Robin Munro, un chercheur avancé à l'Université de l'Ecole des Etudes Orientales et Africaines de Londres, a publié un long rapport basé sur une recherche intitulée « Psychiatrie Judiciaire en Chine et ses Abus Politiques » (dans le Journal Colombien du Droit Asiatique, Volume 14, No.1 (3).) Il a récapitulé environ 3.000 cas de mauvais traitement psychiatrique en Chine pendant les deux dernières décennies et la tendance à l’augmentation des nouveaux cas durant les trois dernières années provoqués par la persécution du Falun Gong.

Le 26 Août, le Washington Post rapportait son entrevue secrète en Chine avec Fang Lihong (4). Fang Lihong était un officier de police et un pratiquant de Falun Gong. Il a été licencié et détenu dans des centres de détention et des centres de lavage de cerveau, aussi bien que dans l'Hôpital Psychiatrique de Kangning dans la ville d'Anshan, et pendant tout ce temps il a été forcé de prendre des drogues. Il est par la suite mort de torture dans la province de Fujian.

En août 2002, Human Rights Watch et la Geneva Initiative on Psychiatrie ont conjointement édité un rapport détaillé sur l'utilisation que fait la Chine de l'incarcération psychiatrique. Dans le rapport il y avait des cas de persécution de pratiquants de Falun Gong publiés dans les journaux psychiatriques en Chine. Le rapport a précisé que le gouvernement de Chine continental traite les pratiquants de Falun Gong qui persistent dans leur croyance comme mentalement malades, ce qui n’est pas conforme à la norme internationale en matière de diagnostic des maladies mentale (5).

En août 2002, pendant le XIIe Congrès Mondial de Psychiatrie (tenu tous les trois ans) dans la ville japonaise de Yokohama, AP et le journal japonais Yomiuri ont rapporté à la conférence de presse l'appel de Wu Lili pour la libération de sa soeur Wu Xiaohua (6), une professeur associé à l'université de technologie de construction de Hefei dans la province d'Anhui qui était détenue à l'hôpital psychiatrique de Hefei. Wu Xiaohua a été envoyée deux fois dans des établissements psychiatriques et a souffert d’abus et d’injections forcées de drogue. Sa vie était en danger. Avant son arrestation, Wu Xiaohua était une femme mentalement et physiquement en bonne santé, mais après avoir été détenue dans l'hôpital psychiatrique, elle pouvait à peine se lever du lit.

En mai 2001, le Comité de l'Association Américaine de Psychiatrie sur le Mauvais Usage et les Abus de la Psychiatrie a envoyé une demande au comité directeur de l'APA lors de sa réunion annuelle à Chicago pour qu’une enquête soit faite par l'Association Mondiale de Psychiatrie (WPA) sur les mauvais traitements psychiatriques en Chine (7) ; en juillet 2001, lors de son Assemblée Générale Ordinaire, le Collège Royal des Psychiatres du R-U a prioritairement fait passé une résolution afin d'étudier les preuves de l'abus politique de la psychiatrie en Chine en invitant l'Association Mondiale de Psychiatrie à envoyer une équipe d’enquête en Chine (8).

Le 26 Août 2002, lors du XIIeme Congrès Mondial de Psychiatrie à Yokohama, au Japon, les membres d'environ 120 organisations de psychiatrie à travers le monde ont voté une résolution afin d’envoyer une équipe d’enquête internationale indépendante en Chine pour étudier l’usage des mauvais traitements psychiatriques dans la persécution des pratiquants de Falun Gong et d'autres dissidents politiques dans les établissements Psychiatriques (9).

A la suite de la persécution systématique du gouvernement chinois pendant les quatre dernières années, des milliers de pratiquants ont souffert de mauvais traitement psychiatrique, harcèlement, de discrimination, de perte d'emploi, et parfois ont été forcés de devenir sans abris. Ils ont perdu leurs droits fondamentaux. Beaucoup ont été obligés de quitter leur travail ou ont été expulsés des universités ou même du lycée. Leurs familles ont du payer de grosses amendes, les conduisant à la faillite financière. Cette persécution, qui vise à briser financièrement les pratiquants, la diffamation, et la torture physique et mentale ont causé un grave préjudice à leur santé mentale. Beaucoup ont développé des troubles mentaux. La persécution a coûté beaucoup de vies. Plus de 10 pratiquants sont morts en raison des mauvais traitements psychiatriques. Beaucoup de femmes pratiquantes ont été violées collectivement, battues et tuées. Des familles ont été brisées et beaucoup de membres de la famille ont souffert de l'angoisse permanente de ne pas connaître le destin de leur bien aimé ou ont du identifier à la morgue les corps de leurs enfants, de leurs frères ou sœurs ou de leurs parents assassinés sous la torture parce qu'ils ne renonçaient pas à leur croyance. Il n'y a aucune discrimination d'âge, car les enfants ont également souffert de la persécution en étant détenus avec leurs mères aux centres de détention. Même un bébé a été torturé à mort. Les parents âgés des pratiquants sont morts en raison de la douleur en découvrant la mort de leurs enfants ou en vivant dans la crainte de leur propre persécution.

Les pratiquants, qu'ils soient dans les camps de travail ou enlevés de leurs lieux de travail ou dans des centres de détention, sont soumis au "lavage de cerveau" avec privation de sommeil et des mauvais traitements dépassant toute résistance physique. Le but est d'attaquer la conscience, l'affaiblir, amener les pratiquants à un état de confusion puis les forcer à renoncer à leur croyance. Beaucoup sont devenus délirants et ont perdu le contrôle de leurs émotions et de leurs capacités mentales. Les tortures brutales et sans fin visent à détruire la conscience. Les persécuteurs emploient la duperie, les mensonges et les rapports biaisés. Dans cet état d'esprit quelques pratiquants ont signé une déclaration pour renoncer à leur pratique. Parfois la torture atteint une telle ampleur que la mort physique et psychologique est imminente. Sans sommeil et nourriture ils sont poussés aux troubles mentaux. Certains ne peuvent même plus identifier leurs familles. Certains souffrent de graves dépressions, de stress post-traumatique ou de psychose. Ils sont devenus mentalement incapables.

Ceux qui ont été forcés de renoncer à leur croyance, après qu’ils aient retrouvé leur conscience, se rendent compte souvent que ce qu'ils ont abandonné était plus précieux que leur vie, car ce qu'ils ont abandonné est leur foi. Même après qu'ils aient fait des annonces publiques reniant ces déclarations de renonciation, le regret, la culpabilité, la honte, la douleur mentale et l'angoisse est insupportable, parfois cela les conduit vers une longue et profonde dépression , laissant des séquelles pernicieuses et invisibles.

Considérant que, le trauma émotif, la perte de la foi et de la dignité peuvent causer des séquelles psychiatriques durables avec douleur et souffrance. Beaucoup de victimes qui survivent à la torture ont manifesté des signes et des symptômes diagnostics psychiatriques tels que des troubles du stress post traumatique, des dépressions ou des psychoses causant des perturbations à leur fonctionnement normal ;

Considérant que, cette persécution du mental et de l’esprit de l'individu constitue une attaque contre l'humanité ;

Considérant que, les cas concernant les mauvais traitements psychiatriques en Chine, dans la persécution des pratiquants de Falun Gong rapportés par les médias internationaux et des organismes de défense des droits de l'homme, viennent de sources fiables ; que les rapports sont détaillés et objectifs, et ont attiré l'attention du monde ;

Considérant que le mauvais traitement psychiatrique en Chine dans la persécution des pratiquants de Falun Gong mentalement en bonne santé est sans précédent en termes de nombre de victimes, d’hôpitaux impliqués, de brutalité des méthodes employées et de la sévérité des conséquences ;

Considérant que le gouvernement chinois persécute les pratiquants de Falun Gong dans les hôpitaux psychiatriques, qu’il stigmatise les pratiquants de Falun Gong mentalement en bonne santé avec la maladie mentale en employant les médias et crée un malentendu, une confusion, un préjudice, une discrimination et même de la haine envers les pratiquants de Falun Gong parmi le peuple, ce qui permet, favorise et soutient la persécution du Falun Gong;

Considérant que dans les cas rapportés, le gouvernement de Chine continental abuse de la pratique de la psychiatrie et prive les pratiquants de Falun Gong des droits de l'homme de base dotés par le ciel ;

Considérant qu'en 1991, l'Assemblée Générale des Nations Unies a adopté des principes pour la protection des personnes malades mentales et l'amélioration de la santé mentale, encourageant le soin dans la communauté et les droits des individus victimes de désordres mentaux, souffrant d’une maladie mentale diagnostiquable identifiée par la communauté psychiatrique internationale :

Le principe 4.1, « La détermination qu'une personne a une maladie mentale sera fait selon des normes médicales internationalement admises », 4.2, « la détermination de la maladie mentale ne sera jamais faite directement sur la base du statut politique, économique ou social, ou de l'adhésion à un groupe culturel, racial ou religieux, ou de n'importe quelle autre raison ne relevant pas de l'état de santé mental » , et 4.3 « La famille ou les conflits professionnels, ou la non-conformité aux valeurs morales, sociales, culturelles ou politiques ou la croyance religieuse prévalant dans la communauté d'une personne, ne sera jamais un facteur de détermination dans le diagnostic d’une maladie mentale . » (10)

Le principe 10.1 déclare, « les médicament viseront à satisfaire pour le mieux les besoins de santé du patient, seront donnés à un patient seulement pour des buts thérapeutiques ou diagnostiques et ne seront jamais administrés comme punition ou pour la convenance des autres. »

Le principe 11.11 signale, « la contrainte physique ou la réclusion involontaire d'un patient ne sera pas utilisée excepté dans le cadre des procédures officiellement approuvées par le service de santé mentale et seulement quand c'est le seul moyen disponible pour empêcher un mal immédiat ou imminent au patient ou aux autres. »

Le principe 11.16 affirme que, « dans les cas indiqués dans les paragraphes 6, 7, 8, 13, 14 et 15 ci-dessus, le patient ou son représentant personnel, ou n'importe quelle autre personne intéressée, aura le droit de faire appel à une autorité juridique ou indépendante au sujet de n'importe quel traitement donné à celui-ci. »

Le principe 13 précise, « chaque patient dans un service de santé mental, en particulier, aura le droit au respect complet de : sa Liberté de communication….. sa liberté religieuse ou de croyance. »

Considérant que, la déclaration d'Hawaï (11) adoptée par l'Association Mondiale de Psychiatrie en 1977 et la déclaration de Madrid sur les Normes Ethiques pour la Pratique Psychiatrique déclarent que (11), « en tant que praticiens médicaux les psychiatres doivent se rendre compte des implications morales du fait d'être médecin, et des demandes morales spécifiques de la spécialité psychiatrique. En tant que membres de la société, les psychiatres doivent plaider pour un traitement juste et égal du psychisme du malade, pour la justice sociale et l’équité pour tous », « quand le patient est frappé d’incapacité et/ou est incapable d'exercer son propre jugement en raison d'un trouble mental, ou est gravement handicapé ou incompétent, les psychiatres devraient consulter la famille et, si nécessaire, demander des conseils juridiques afin de sauvegarder la dignité humaine et les droits légaux du patient.

Aucun traitement ne devrait être donné contre la volonté du patient, à moins que le refus du traitement ne mette en danger la vie du patient et/ou de ceux qui l'entourent. Le traitement doit toujours être donné dans le meilleur intérêt du patient » , « les psychiatres ne participeront à aucun processus de torture mentale ou physique, même lorsque les autorités essayent de forcer leur participation à tels actes » .

Considérant que, le gouvernement chinois et l'Association Chinoise de Psychiatrie refusent actuellement d'admettre le mauvais traitement psychiatrique, maintenant, toute prétendue « enquête » conduite ou soutenue par le gouvernement chinois ou l'Association Chinoise de Psychiatrie perdrait toute authenticité et mènerait à l'échec de l’enquête et à des résultats fallacieux ;

Considérant que les violations par la Chine des principes internationaux en matière de traitement psychiatrique violent l'éthique de la psychiatrie et entravent sérieusement la dignité de la profession ;

Considérant qu’après la seconde guerre mondiale, le procès de Nuremberg a avec succès reconnu coupable et condamné les médecins allemands qui ont participé à la persécution à mort des juifs et aux lourdes peines de prison (12) ; Par conséquent, un Comité d’Enquête sur la Persécution des Pratiquants de Falun Gong par la Chine qui fait un mauvais usage de la psychiatrie et se composant de médecins psychiatres, d’avocats et d’enquêteurs professionnels, conduira une recherche indépendante. Nous espérons que les psychiatres consciencieux, le personnel sanitaire psychiatrique, le personnel hospitalier, les victimes, leurs familles et amis à l'intérieur et à l'extérieur de la Chine nous fourniront des liens et des preuves. Travaillons ensemble pour protéger les droits de l'homme de base, la liberté de pensée, de conscience, et de croyance, et pour faire en sorte que les mauvais traitements psychiatriques ne soient plus utilisés comme une méthode de persécution de personnes innocentes.

Nous fournirons les noms des hôpitaux, des médecins, du personnel concerné et des personnes qui ont aidé les hôpitaux dans la persécution, y compris la police, l'unité de travail des victimes et leurs familles pour informer les organismes internationaux et les médias. Nous rechercherons avec détermination leurs responsabilités criminelles.

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Téléphone : 1-617-325-3481

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Page Web : www.upholdjustice.org

[L’organisation Mondiale pour Enquêter sur la Persécution du Falun Gong ] Pour enquêter sur la conduite criminelle de tous les établissements, les organismes, et les individus impliqués dans la persécution du Falun Gong ; pour mener une telle enquête, quelque soit le temps qu’elle prendra, quelque soit la distance et la profondeur ou nous devrons chercher, pour le plein aboutissement ; pour faire valoir les principes fondamentaux de l'humanité ; et pour restituer et soutenir la justice dans la société.

II- Cas de Morts sous la Torture :

Su Gang (32 ans , Ville de Zibo, Province de Shandong)

Ma Yanfang (33 ans, Ville de Zhucheng, Province de Shandong)

Yang Weidong (54ans, Ville de Weifang, Province de Shandong)

Lu Hongfan (37ans, Ville de Linwu, Province de Ningxia)

Shi Pei (49 ans, de Lanxi, Province de Zhejiang)

Zhao Fulan (59 ans, Jiamusi, Province de Heilongjiang)

Song Xiangzhen (Ville de Shenyang, Province de Liaoning)

Fang Lihong (37 ans, de la ville de Anshan, Province de Liaoning)

Jiang Rongzhen, (42 ans, Ville de Harbin, Province de Heilongjiang)

Xiao Guiying (Yueyang, Province de Hunan)

Ma Yanfang, Lu Hongfeng et Zhao Fulan

Cas 1 , Hopital Psychiatrique de Changle, Ville de Weifang, Province de Shandong

Su Gang, 32 ans , était un ingénieur informaticien travaillant à l'unité d'instrument et de mesure de l'usine Alkene Plant de la Qilu Petro-Chemical Company dans la ville de Zhibo. Les officiers de sécurité de l'usine Alkene ont envoyé de force Su à l'hôpital psychiatrique de Changle simplement parce qu'il pratiquait le Falun Gong. A l'hôpital, on lui injectait de force quotidiennement des surdoses de drogues qui détruisaient le système nerveux central. Après neuf jours de torture à l'hôpital psychiatrique, Su Gang a été renvoyé à la maison. A ce moment là, Su semblait malade, avec une pale lueur dans les yeux, et il était sans expression. Il était très faible, lent dans ses réactions, et avait les muscles tendus. Le matin du 10 juin 2000, Su Gang est mort d’un arrêt cardiaque à la suite de la torture dont il a souffert. (détails : Annexe 1)

Cas 2 : Hôpital du Peuple N°7 de la ville de Hangzhou, un hôpital psychiatrique

Shi Bei, une femme de 49 ans, habitait à Lanxi, dans la province de Zhejiang. Elle était une employée du gouvernement de la ville de Fuyang dans la province de Zhejiang. Après que le gouvernement chinois ait déclaré le Falun Gong illégal en juillet 1999, Shi Bei et son mari devaient faire un rapport au département de police presque chaque mois.

Lors d’un après-midi à la mi mai 1998, Shi Bei a été forcée de quitter sa maison par plusieurs policier en civils et n'a pas été libérée avant minuit.

En mai 2000, Shi Bei a été admise contre sa volonté à l'Hôpital du Peuple N° 7 de la ville de Hangzhou, (hôpital psychiatrique) par le département de police de la ville de Fuyang. Sous la pression de la police, les médecins et les infirmières lui ont injecté des soit disant "sédatifs." Pour l'empêcher de parler, la police ne lui a pas permis de manger pendant toute une semaine. Ils ont laissée mourir de faim Shi Bei. Le 10 septembre 2000, Shi Bei est morte des suites des tortures dont elle souffrait à l'Hôpital de Peuple N° 7 de la ville de Hangzhou.

Cas 3 : L’Hopital de Ankan de la ville de Shenyang

Song Xiangzhen, une femme de 46 ans, vivait dans la ville de Shenyang. Zhang Jianlin, le chef de l'hôpital et Xie Xiaobin, le médecin en chef ont entrepris des gavages forcés brutaux et inhumains sur Song Xiangzhen. Ils ont passé un tube en plastique rigide, qui était plus large que la taille normale de la narine humaine, dans son nez jusqu’à son estomac. Bien que cela ait provoqué des saignements dans son nez et son estomac, Zhang Jianlin a ordonné qu'ils continuent le gavage forcé. Refusant de coopérer, cette pratiquante a mordu le tube en plastique. Zhang Jianlin l'a vicieusement battue, avec des toxicomanes qui l'aidaient, jusqu'à ce que le visage de Song Xiangzhen soit sérieusement blessé et déformé. Song Xiangzhen a perdu conscience et mourut.

Personnes Responsables et Unités de Travail, et leurs Numéros de Téléphone pour l’Enquête :

Département de Police de l’Hôpital de Ankang de la ville de Shenyang, numéro de téléphone : 86-24-89347972

Directeur de l’hôpital , Zhang Jianlin, femme, 30 ans, à l'origine une garde du centre de détention de la ville de Shenyang ; Médecin en chef, Xie Xiaobin, homme ; Toxicomanes : Gao Ming, et Dong Hongtao ; Numéro de téléphone du centre de détention de ville de Shenyang : 86-24-23705590

Chef du centre de détention : He (Prénom inconnu) ; Poste de police de Taochang dans la ville de Shenyang, numéro de téléphone, 86-24-88113195

Cas 4: Le Département de Police de l’Hôpital de la Prison de Ankang de la ville de Xi’an, dans la province de Shaanxi

Sun Yuncheng de la province de Shaanxi était une employée du centre du centre d’observation satellitaire. À l'hôpital de la prison de Ankang du département de police de la ville de Xi'an, dans la province de Shaanxi, les médecins de la police l’ont torturée de diverses manières et lui ont injectée des drogues inconnues. Quand elle n'était pas d’accord qu’on lui fasse des injections de drogue, la police la frappait au visage. A chaque fois avant les injections, elle était attachée à un lit pendant environ dix heures, ce qui lui meurtrissait les mains. Parfois on la laissait dormir sur un lit nu sans édredons ni drap et ne l’autorisait pas à utiliser les toilettes, laissant l'urine dans ses dessous ou sur le lit. Pendant sa grève de la faim, elle a fréquemment vomi des fluides jaunes, et son urine était rouge. Elle ne pouvait plus dormir la nuit et ne pouvait pas avaler sa salive. Même dans un tel état, elle a été gavée par les policiers. Parfois le tube était inséré dans sa trachée. Presque chaque fois, son nez ou sa bouche saignait en raison de l'insertion de tube. Une fois, la police n’arrivait pas à insérer le tube dans sa bouche après plus de dix essais, l'infirmière principale Liu Qi ,fâchée, a violemment frappé Sun Yuncheng à la bouche.

Personnes responsables et Unité de travail pour l’enquête :

Département de Police de l'hôpital de la prison de Ankang de la ville de Xi'an, Province de Shaanxi

Infirmière en Chef : Liu Qi, Dong xx et Chen xx ; Chefs de section : Wei Yujun, Hong Kui

Cas 5 : Le Département de Police de l’Hôpital de la Prison de Ankang de la ville de Xi’an , Province de Shaanxi

Zhang Jinlan, une femme de 53 ans , a été illégalement envoyée à l'hôpital de la prison de Ankang de la ville de Xi'an, province de Shaanxi, où elle a fait une grève de faim pour protester contre la persécution. Un docteur de la police lui a injectée une drogue inconnue qui a rapidement rendue son corps entier paralysé, puis elle a perdu la conscience. Dans ces conditions, la police lui a injectée des drogues inconnues pendant sept jours. Personne ne se trouvait sur place pour la nourrir. Durant les premiers jours de ces injections, la partie inférieure de son corps a commencé à s'infecter. Après sept ou huit jours d’injections, elle était presque morte. C’est seulement à ce moment que l’hôpital a envoyé « une notification de situation critique » à sa famille, et elle a été renvoyé à la maison. Depuis lors, elle est paralysée, alité et incapable de reconnaître quiconque. Sa maison est toujours sous « la surveillance du bureau 610 » et le téléphone de la famille est sur écoute.

III. Hôpitaux psychiatriques apparentés à investiguer

1. Camp de travail Féminin de la province de Anhui et l’hôpital psychiatrique de la province de Anhui, province de Anhui,

2. hôpital psychiatrique No. 261, l'Armée de la Libération des Gens, Beijing,

3. Centre de Rééducation Suburbain Du nord de Beijing, Beijing,

4. L'hôpital psychiatrique Daliushu (Ville de Dabeiyao), District de Chaoyang, Beijing,

5. Hôpital psychiatrique de Hanzhuang, Pinggu, Beijing,

6. Hôpital psychiatrique de Qinglongqiao, Haiding, Beijing,

7. L'Hôpital Anding (un hôpital psychiatrique), Beijing

8. Hôpital Psychiatrique Zhoukoudian, Fangshan, Beijing,

9. L'Hôpital Huilongguan (un hôpital psychiatrique), Beijing

10. hôpital psychiatrique de la Ville de Hefei, province de Anhui,

11. hôpital psychiatrique No. 1, Ville de Chongqing, Sichuan,

12. Hôpital psychiatrique Pibaping, Ville de Chongqing, Sichuan,

13. L'hôpital psychiatrique Xiemachang (Beibei), Ville de Chongqing, Sichuan,

14. Hôpital psychiatrique Cangshan, province de Fujian,

15. hôpital psychiatrique du Comté de Weiwu, province de Gansu,

16. hôpital psychiatrique de la Ville de Huizhou, province de Guangdong,

17. L'hôpital psychiatrique Fangcun (Ville de Guangzhou), province de Guangdong

18. Hôpital de Rééducation Mental Baiyun (Ville de Guangzhou), province de Guangdong

19. L’hôpital psychiatrique d’Armée Guangxi, (Liuzhoulong), Guilin, province de Guangxi,

20. hôpital 191 (un hôpital psychiatrique de l'Armée), Guijiang, Guangxi,

21. Hôpital psychiatrique Longqianshan, Liuzhou, Guangxi,

22. L'hôpital psychiatrique de la division No. 8 du puits de pétrole de Shengli, province de Hebei,

23. hôpital d’Université Médicale No. 5 Hebei, Division Psychiatrie et de l'Hygiène, province de Hebei,

24. Hôpital psychiatrique Feixiang, province de Hebei,

25. L'Hôpital Ankang (Yuehe), un hôpital psychiatrique géré par la police, Ville de Tangshan, province de Hebei,

26. hôpital No. 2, Division de la Psychiatrie, province de Hebei,

27. hôpital No. 5, Salle de Psychiatrie, province de Hebei,

28. Hôpital psychiatrique No. 6, Baoding, Hebei,

29. Hôpital psychiatrique Shalingzi, Ville de Zhangjiakou, province de Hebei,

30. hôpital psychiatrique de la Ville de Shijiazhuang, province de Hebei,

31. hôpital psychiatrique de la Ville de Handan, province de Hebei,

32. Hôpital Psychiatrique Tangshan (5e Hôpital), Tangshan, province de Hebei,

33. Hôpital psychiatrique Jingbei, Ville de Harbin, province de Heilongjiang,

34. hôpital psychiatrique De la Ville de Jiamusi, province de Heilongjiang,

35. Un hôpital psychiatrique De la Ville de Yichun, province de Heilongjiang

36. hôpital psychiatrique No. 2 affilié de l’Hôpital de Recherche Médical De Xinxiang, province de Henan,

37. Un hôpital psychiatrique De la Ville de Kaifeng, province de Henan

38. Hôpital psychiatrique Macheng, province de Hubei,

39. hôpital psychiatrique De la Ville de Xiaogan, province de Hubei,

40. hôpital psychiatrique Yatai De L'Université Wuhan (ancien Hôpital No. 1 affilié De la province de Hubei), province de Hubei

41. hôpital psychiatrique De la Ville de Changsha, province de Hunan,

42. hôpital psychiatrique De la province de Hunan (94 Route Chiling, Changsha, Hunan)

43. Un hôpital psychiatrique De la Ville de Zhuzhou, province de Hunan

44. L'Hôpital du peuple No. 3, Section psychiatrique, Comté Wujin, De la province de Jiangsu,

45. Hôpital psychiatrique Chengbei, Kunshun, Jiangsu,

46. hôpital psychiatrique De la Ville de Jinjiang, province de Jiangsu,

47. Hôpital psychiatrique Wutaishan, Ville de Yangzhou, province de Jiangsu,

48. Hôpital psychiatrique Longgang, Ville de Yancheng, province de Jiangsu,

49. (précédent hôpital psychiatrique) Hôpital du cerveau de Nanjing, province de Jiangsu

50. Hôpital psychiatrique Qinglongshan, Ville de Nanjing, province de Jiangsu,

51. Un hôpital psychiatrique à Shangaï, province de Jiangsu

52. L'Hôpital Kaixuan (hôpital psychiatrique Xiaonan), Ville de Changchun, province de Jilin,

53. hôpital psychiatrique De la Ville de Jilin, province de Jilin,

54. Un hôpital psychiatrique De la Ville de Liaoyuan, province de Jilin

55. hôpital psychiatrique De la Ville de Shulan, province de Jilin,

56. hôpital psychiatrique De la Ville de Siping, province de Jilin,

57. Division Songyuan de l'hôpital psychiatrique Yiaonan, De la province de Jilin,

58. hôpital psychiatrique No. 102, Centre du Traitement pour les Maladies Mentales, Changzhou, province de Jiangsu,

59. Hôpital psychiatrique Changzhou, province de Jiangsu,

60. Hôpital Psychiatrique Nanjing, section 6, Nanjing, province de Jiangsu,

61. Hôpital psychiatrique Xuzhou, province de Jiangsu,

62. Centre de Rééducation des drogués de Dalian, Liaoning,

63. Hôpital psychiatrique Tangjiafang, Ville de Anshan, province de Liaoning,

64. Hôpital Psychiatrique Xiaolingzi, Anshan, province de Liaoning,

65. hôpital psychiatrique De la Ville de Yingkou, province de Liaoning,

66. Un hôpital psychiatrique De la Ville de Lingyuan, province de Liaoning

67. hôpital psychiatrique De la Ville de Lushun, province de Liaoning,

68. hôpital psychiatrique du District Tiexi, Ville de Shenyang, province de Liaoning,

69. Hôpital psychiatrique Lingwu, province de Ningxia,

70. Hôpital de Prison du Département de Police De la Ville de Xi'an Ankang, province de Shaanxi,

71. Hôpital psychiatrique Xianyang, province de Shaanxi,

72. hôpital psychiatrique De la Ville de Laixi, province de Shandong,

73. hôpital psychiatrique De Ville Beiluo, Ville de Shouguang, province de Shandong,

74. hôpital psychiatrique De la Ville de Jining, province de Shandong,

75. L'Hôpital No. 3 du peuple de Weifang pour les Maladies Mentales, quartier 3, Weifang, province de Shandong,

76. Hôpital psychiatrique Changle, province de Shandong,

77. hôpital psychiatrique Daizhuang De la Ville de Jining, province de Shandong,

78. L'Hôpital du peuple, Division de la Psychiatrie, Comté de Qishui, province de Shandong,

79. Centre de Traitement Psychiatrique de Ville de Qilin, District Linzi, Zibo, province de Shandong,

80. hôpital psychiatrique De la Ville de Zhucheng, province de Shandong,

81. La Salle de Rééducation des Malades Hôpital psychiatrique de Weifang, District Weicheng, Ville de Weifang, De la province de Shandong,

82. Hôpital psychiatrique Jiaozhou, Ville de Qingdao, De la province de Shandong,

83. Un hôpital psychiatrique De la Ville de Jimo (Qingdao), province de Shandong

84. Hôpital psychiatrique de Corée-Chine, Laoshan, Shandong,

85. Centre de Rééducation de Maladie Mental (Récupération Psychiatrique) Qixia, Ville de Yantai, province de Shandong,

86. Centre de Rééducation Psychologique (précédent hôpital psychiatrique Laiyang) Yantai, Ville de Yantai, province de Shandong,

87. Hôpital psychiatrique Beimen, Ville de Suining, province de Sichuan,

88. hôpital No. 6 (un hôpital psychiatrique), Ville de Pingdu, province de Shandong,

89. hôpital psychiatrique Provincial de Shandong, Jinan, Shandong,

90. Hôpital psychiatrique Laiyang, Laiyang, Shandong,

91. Hôpital psychiatrique Zhongshan, Laoshan, province de Shandong,

92. Hôpital psychiatrique Linyi, Shandong,

93. Hôpital psychiatrique de Jiaozhou (aussi a appelé Centre de Récupération Psychologique de Jiaozhou), Jiaozhou, Shandong,

94. Section de la Maladie mentale, Hôpital Kunlun, Bureau Minéral de Zibo, Shandong,

95. L'Hôpital No. 5 du peuple (précédent hôpital psychiatrique), District Zichuan, Ville de Zibo, De la province de Shandong,

96. L'Hôpital de Rééducation sous le Bureau Civil et de l'Administration De la Ville de Weifang, province de Shandong,

97. Un Centre de rééducation des drogués, Ville de Chengdu, province de Sichuan,

98. hôpital psychiatrique De la Ville de Pengzhou, province de Sichuan,

99. Hôpital psychiatrique Xiemachang, Sanatorium de la Mine de Minerai, Division de la Maladie psychiatrique), Chongqing, province de Sichuan,

100. Hôpital psychiatrique Beimen, Suining,

101. Hôpital psychiatrique Hemujing, Ville de Xinji,

102. Un hôpital psychiatrique dans Xinjiang (région autonome)

103. L'Hôpital Kangning (hôpital psychiatrique Kangzhuang), Ville de Ningbo, De la province de Zhejiang,

104. L'Hôpital No 7 du peuple (un hôpital psychiatrique), Ville de Hangzhou, province de Zhejiang,

IV. A investiguer:

Zhang Honglin: Du 10 à 29 septembre 2001, Zhang Honglin est venu dans neuf villes et districts De la province de Fujian pour la cinquième fois aider « le Bureau 610 local » pour persécuter directement des pratiquants de Falun Gong. Il était un des premiers propagandistes à soutenir la persécution des pratiquants de Falun Gong dans les hôpitaux psychiatriques. Il a demandé à participer activement à la persécution de première main et il a planifié la persécution activement. Il a publié les suggestions suivantes:

1. Le Gouvernement Central arrange que des psychiatres locaux expérimentés diagnostiquent les pratiquants de Falun Gong comme malades mentaux

2. D’abord, affaiblissez les pratiquant de Falun Gong avec les méthodes psychiatriques, ensuite « transformez-les » .

Crime principal:

Articles de calomnie:

1. « ' Falun Gong'... » publié sur le People's Daily le 2 février 2001.

2. Les . « professionnels Suggèrent Après avoir Étudié plusieurs Cas: pour ' Falun Gong'... » publié l’édition du 7 mars du People's Daily et la 103e édition de la Collection d’Information.

3. « Zhang Honglin, docteur médical et associé de la recherche d'Académie de Chine de Médecine chinoise Traditionnelle pense... » publié dans la 5414e édition de Référence Interne du 9 avril du Beijing Daily.

4. « Parler de ' Falun Gong'... » Un programme TV sur CCTV, rapporté sur http://www.minghui.org/mh/articles/2001/12/28/22191.html (version chinoise)

Appendice 1:

Le 23 juin 2001, Le Washington Post a publié un commentaire qui condamne la persécution la persécution des pratiquants de Falun Gong en cours par le Parti Chinois en les internant de force dans les hôpitaux psychiatriques contre leur volonté où ils sont maltraités, et il a appelé les gouvernements démocratiques dans le monde et les organisations des droits de l'homme internationales à exposer davantage les abus inhumains du parti. L'histoire de l’ingénieur informatique de 32 ans Su Gang qui a été arrêté par le département de la sécurité de sa compagnie à maintes reprises parce qu'il a refusé d’abandonner la pratique du Falun Gong était particulièrement choquante... après qu'il ait protesté de l’interdiction du Falun Gong à Beijing le 25 avril, Su Gang a été arrêté pour la deuxième fois. Le 23 mai, l'Alkene Plant de la Compagnie Petro-Chimique Qilu où il travaillait a autorisé la police à l’admettre contre son grès dans un hôpital psychiatrique.

D'après le père de Su Gang, le docteur a donné à Su Gang des injections forcé deux fois par jour, tous les jours, de drogues inconnues qui ont endommagé son système nerveux central. Une semaine plus tard quand il a quitté l'hôpital, Su Gang ne pouvait plus manger ni remuer ses membres. Le 10 juin 2001, le jeune homme jusque là sain, est mort d'un arrêt du cœur.

Article du 23 juin du Washington Post: le Père fait appel et il est arrêté

Le père de Su Gang, Su De'an a dit pendant l'entrevue hier qu'il a fait appel aux agences concernées du gouvernement concernant la mort de Su Gang mais a été détenu en résultat. Maintenant, il est sous surveillance policière et ne peut plus se déplacer librement.

Il s’est étranglé et a dit, « Ce sera difficile d’obtenir justice pour cela, mais je veux leur dire, ' vous ne pouvez pas faire quelque chose d’aussi mauvais! ' »

Mingpao: Un pratiquant de Falun Gong Meurt Soudainement Après sa libération et est Envoyé de force en hôpital psychiatrique et Injecté Avec des Drogues, rapporté sur :.

http://package.minghui.org/gb/0001/Jun/23/news media 062300.html (Chinese version)

http://package.minghui.org/gb/0001/Jun/23/news média 062300.html (version Chinoise)

Appendice 2: Centre de Renseignements du Falun Dafa: http://www.faluninfo.net

Appendice 3: Psychiatrie Judiciaire en Chine et Ses Abus Politiques, Robin Munro, Journal Colombien des asiatique. La loi Volume 14, no.1, 2000.

Appendice 4: Fang Lihong, homme, âgé de 37 ans, diplômé de l'école technique et agent de police de la circulation du Département de Police de la Ville de Anshan province de Liaoning. Quand il a été interviewé par le Washington Post, Fang Lihong a dit, « j'étais effrayé » , « je n'ai aucune maladie mentale mais j'ai été forcé à rester avec les autres malades mentaux pendant 16 mois » .

Fang Lihong a dit qu'il a été forcé de prendre chaque jour des drogues dans l’Hôpital Psychiatrique Kangning de la Ville de Anshan, province de Heilongjiang. Plus tard, l'hôpital lui a donné des pilules et a demandé qu'il les amène lui-même dans sa chambre. Il a raconté que le docteur lui a dit qu’ils savaient qu'il n'était pas malade mais qu’il devait encore le « traiter » d'après des ordres d’en haut.

Pendant l'entrevue de 45 minutes, Fang a parlé clairement et a paru rationnel. En février, d'après les pratiquants de Falun Gong aux Etats-Unis, la police l'a attrapé dans la province de Fujian du sud, et il est mort sous leur garde, apparemment d'abus physique. Un docteur à l'Hôpital Psychiatrique Kangning a confirmé que l'hôpital psychiatrique avait traité Fang et avait été informé de sa mort, mais il a refusé de discuter plus de l’affaire.

Zhu Jianlin, China Times: Fang Lihong battu à Mort, Taipei report du 27 août 2002, http://search.minghui.org/mh/articles/2002/8/27/35688.html (version chinoise)

Appendice 5: Esprits Dangereux. Robin Munro. Publié par Human Rights Watch et Initiative sur la Psychiatrie de Genève, 2002.

Appendice 6: Wu Xiaohua était professeur de faculté du Collège D'ingénieur de Construction De la province d'Anhui. En juillet 2000, elle a été détenue 50 jours dans hôpital psychiatrique de Ville de Hefei, province de Anhui. Fin octobre 2000, elle a encore été détenue et les docteurs à l'hôpital psychiatrique l’ont approchée et ont essayé de la déshabiller de force sans poser la moindre question concernant sa condition. Elle a été entourée par des infirmières qui l'ont attachée sur le lit; ils l’ont tirée par les cheveux et lui ont enlevé ses vêtements. Le docteur maudissait en coupant les sous-vêtements de Wu avec les ciseaux, alors ils l'ont attachée les bras et les jambes étirées sur un lit avec quatre cordes et lui ont électrocuté tout le corps; ils ont utilisé des aiguilles électriques sur elle, l’ont nourrie de force avec des drogues et lui ont donné des injections traitant les maladies mentales. En conséquence, l'esprit de Wu Xiaohua a été embrouillé, sa tête est devenue lourde et elle était instable. Depuis fin octobre 2000, elle a été détenue dans l'hôpital psychiatrique pendant plus de 130 jours. Le médecin en chef, Dr Wang Li a injuriée Wu Xiaohua pour avoir fait une grève de la faim. Wu Xiaohua a fait trois grèves de la faim pendant cette période et Dr Li a dit, « je n'ai pas peur que vous ne mangiez pas. Nous avons toutes sortes d'idées ici ». Elle a aussi dit, « si vous faites encore la grève de la faim, nous utiliserons la Thérapie Electroconvulsive sur vous » . L’ECT a été conçu pour soulager les gens malades, elle à présent devenue un outil de torture. L'hôpital a été utilisé pour torturer brutalement les pratiquants de Falun Gong.

Wu Xiaohua a été envoyée de force dans un hôpital psychiatrique pendant plus d’un an. Dans l'hôpital, elle a souffert un traumatisme indescriptible alors qu’elle était injectée et nourrie de force avec des drogues, et électrocutée. Après la prise des drogues, elle est devenue léthargique et presque inconsciente. Elle était mal à l’aise assise, debout et en dormant. Elle était prise de vertige et elle vomissait violemment. Sa menstruation est devenue irrégulière et son esprit était quelquefois vide. Sa mémoire a été atteinte et sa vision devenait par moment obscure. Elle voyait flou les objets proches et son audition a considérablement diminuée. Elle était extrêmement faible et par moment, elle perdait la conscience trois à quatre fois par jour. Après plus d’une année de détention forcée dans l'hôpital psychiatrique, début octobre 2002, deux gardes du Camp de travail féminin de la province d’Anhui ont emmené Wu Xiaohua.

Camp de travail féminin De la province d’Anhui; le bureau du chef: 86-551-5315739

Le bureau de camp de travail: 86-551-5312701; Xia Luping, directeur du Collège D'ingénieur de Construction De la province d'Anhui: 86-551-3516763 (bureau), 86-551-3510061 (maison)

Hu Chuanjian, secrétaire du parti du Collège D'ingénieur de Construction De la province d'Anhui

Appendice 7: À la réunion annuelle de l'Association Psychiatrique américaine en mai 2001, la direction a passé l’Article 12H « qui Condamne le Mauvais emploi de la Psychiatrie du Gouvernement chinois » proposé par Dr Nicolas Stratas et Dr Peggy Dorfman de Caroline du Nord

Appendice 8: http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2001/7/13/12190p.html

Appendice 9: http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/8/27/25831p.html

Appendice 10: Assemblée Générale de l’O.N.U.. Rapport du Troisième Comité, A/46/721. Principes pour la Protection des Personnes avec une Maladie Mentale et pour l’Amélioration des soins médicaux psychiatriques . 17 décembre, 1991,

Appendice 11: L'Association Psychiatrique Mondiale est passée et a demandé que toutes les 119 nations membre suivent des niveaux éthiques professionnels internationaux pour traiter la maladie mentale. La Déclaration de Hawaï est passée en 1977; la Déclaration de Madrid sur les Niveaux Éthiques Pour la pratique Psychiatrique est passé en 1996. http://www.wpanet.org/home.html

Appendice 12: Les procès de Nuremberg: Chronologie(c) 2000

http://www.law.umkc.edu/faculty/projects/ftrials/nuremberg/NurembergChronology.html le 29 novembre 1945

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