L'ampleur de la persécution brutale du Parti communiste chinois visant le Falun Dafa en particulier les atrocités de prélèvement forcé d'organes avec l'aval de l'État scandalise tant le public que les responsables britanniques..
Responsables et parlementaires continuent de condamner haut et fort ces atrocités et les déclarations se succèdent en opposition à la répression transnationale du PCC et défendant la liberté de croyance.
Le secrétaire d'État écossais exprime son inquiétude face à la situation critique des droits de l'homme en Chine
Angus Robertson, secrétaire du Cabinet pour la Constitution, les Affaires étrangères et la Culture, Écosse
Lettre du secrétaire Angus Robertson
Angus Robertson, secrétaire d'État écossais à la Constitution, aux Affaires étrangères et à la Culture, a déclaré dans sa lettre adressée à Daniel Johnson, député écossais (MSP), le 16 octobre 2025 : « Le gouvernement écossais est vivement préoccupé par la situation des droits de l'homme en Chine et continuera de faire part de ses préoccupations directement au gouvernement chinois. Le respect des droits de l'homme et de l'État de droit est l'un des principes directeurs de l'engagement du gouvernement écossais envers la Chine. »
Il a souligné : « Nous restons profondément préoccupés par la persécution des chrétiens, des musulmans, des bouddhistes, des adeptes du Falun Gong et d'autres personnes en raison de leur religion ou de leurs convictions en Chine. Le gouvernement britannique nous a indiqué avoir soulevé publiquement la question de la liberté de religion ou de conviction en Chine. Par exemple, le Premier ministre a évoqué la question des droits de l'homme lors de sa première rencontre avec le président chinois Xi Jinping en août. »
Nous prendrons au sérieux toute preuve de prélèvement forcé d'organes. Si cela s'avérait une réalité, la pratique systématique de prélèvement d'organes, commanditée par l'État, constituerait une grave violation des droits humains. Le gouvernement britannique devrait continuer de surveiller et d'examiner les preuves relatives aux signalements de prélèvement forcé d'organes en Chine et maintenir le dialogue avec les principales ONG et partenaires internationaux sur cette question.
« J’espère que cela contribuera à vous rassurer, vous et vos électeurs, sur le sérieux de cette affaire que nous continuons de surveiller. »
Ministre d'État pour l'Europe : Défenseur de la liberté de religion et de conviction
Stephen Doughty, député, ministre d'État pour l'Europe, l'Amérique du Nord et les territoires d'outre-mer du Royaume-Uni, et sa lettre
Stephen Doughty, député et ministre d'État pour l'Europe, l'Amérique du Nord et les territoires d'outre-mer du Royaume-Uni, a déclaré dans sa lettre de réponse au député Mike Kane : « Le gouvernement britannique défend la liberté de religion ou de conviction pour tous. Au Royaume-Uni, nous sommes fermement engagés à promouvoir et à protéger le droit à la liberté de religion ou de conviction, et à défendre haut et fort ce droit fondamental au niveau international. »
Concernant la persécution du Falun Gong par la Russie sous l'influence du PCC, il a déclaré : « Le gouvernement britannique condamne la dégradation du bilan désastreux du Kremlin en matière de droits humains et appelle l'État russe à respecter ses engagements internationaux en matière de liberté de religion ou de conviction. Nous utilisons régulièrement nos communications publiques et notre position dans les forums multilatéraux pour mettre en lumière et demander des comptes à la Russie sur ses violations des droits humains. Par exemple, le 31 juillet, le Royaume-Uni a soulevé la question de la répression de l'opposition politique interne par les autorités russes devant le Conseil de sécurité de l'ONU. L'ambassadeur britannique aux droits humains a réitéré notre appel aux autorités russes pour la libération de tous les prisonniers politiques le 4 août. »
Concernant la persécution du Falun Gong par le PCC, il a souligné : « Le contexte de la liberté de religion ou de conviction en Chine est restrictif, ce qui inclut la persécution des pratiquants de Falun Gong tant sur le territoire national qu'à l'étranger. Nous œuvrons pour le respect du droit à la liberté de religion et de conviction par notre position à l'ONU, au G7 et dans d'autres enceintes multilatérales, ainsi que par notre engagement bilatéral avec la Chine. Le Premier ministre, l'ancien ministre des Affaires étrangères, le chancelier, le secrétaire à l'Énergie et le ministre de l'Indo-Pacifique ont tous abordé la question des droits de l'homme avec leurs homologues chinois ces derniers mois. »
Un député : Le prélèvement forcé d'organes est l'une des violations les plus graves des droits de l'homme
Le député Dr Zubir Ahmed a déclaré dans sa réponse à son électeur : « Les récits que vous décrivez sont profondément troublants. Les rapports du China Tribunal et de nombreuses organisations de défense des droits humains continuent de suggérer que la persécution des minorités religieuses et ethniques en Chine reste généralisée. Les allégations de prélèvement d'organes, si elles sont avérées, constitueraient l'une des violations les plus graves des droits humains et de la dignité humaine. »
« Je prends note de votre appel à de nouvelles mesures de la part du Royaume-Uni, notamment des sanctions ciblées et un contrôle plus strict de la collaboration médicale avec la Chine », a-t-il écrit. « Je comprends pourquoi beaucoup estiment que ces mesures sont nécessaires pour garantir que le Royaume-Uni ne se rende pas complice d'abus. Le Royaume-Uni doit continuer à exiger la transparence et la responsabilité du système chinois de transplantation d'organes, et je pense que tous les partenaires internationaux devraient redoubler d'efforts pour garantir une vérification indépendante de ces pratiques. »
MP : Allégations extrêmement inquiétantes concernant le prélèvement d'organes humains
Mark Ferguson, député, et sa lettre
Le député Mark Ferguson a écrit : « Je demeure profondément préoccupé par la persécution de personnes en raison de leur religion ou de leurs convictions en Chine, qu'il s'agisse de musulmans ouïghours du Xinjiang, de chrétiens, de bouddhistes ou de pratiquants de Falun Gong. La liberté de pratiquer, de changer ou de partager sa foi ou ses convictions sans discrimination ni opposition violente est un droit humain dont chacun devrait bénéficier. »
Je suis conscient des allégations extrêmement inquiétantes qui circulent depuis plusieurs années concernant les prélèvements d'organes humains en Chine. Je comprends également que des groupes minoritaires et religieux, notamment les pratiquants de Falun Gong, pourraient être spécifiquement ciblés.
Il a poursuivi : « Fin 2014, les autorités chinoises ont annoncé que le pays mettrait fin au prélèvement d'organes sur les prisonniers exécutés. La mise en œuvre de cette politique constituerait une étape importante. Cependant, je sais que des rapports plus récents indiquent que cette pratique perdure, notamment le jugement du China Tribunal, initié par la Coalition internationale pour mettre fin aux abus de transplantation en Chine (ETAC). En effet, le China Tribunal a conclu que le prélèvement forcé d'organes est pratiqué depuis des années à grande échelle dans toute la Chine, les pratiquants de Falun Gong et les Ouïghours en étant les principales victimes. »
« Je sais que le gouvernement continue d'exprimer ses préoccupations en matière de droits humains au plus haut niveau. Je crois savoir que le Premier ministre, le ministre des Affaires étrangères, le chancelier et le ministre de l'Énergie ont tous récemment évoqué la question des droits humains avec leurs homologues. Je sais également que le gouvernement continue de suivre de près la situation des minorités religieuses en Chine », a-t-il déclaré.
Il conclut : « Je continuerai à soutenir le gouvernement dans sa défense de la liberté de religion ou de conviction pour tous à l’étranger. »
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