Les pratiquants de l'ouest de la France ont installé un stand d'information à Saint Gilles Croix de vie en Vendée, station balnéaire offrant aux touristes près de 4 km de plages de sable fin et l'animation d' un important port de pêche.
A peine arrivés alors qu'ils étaient encore en train de déployer affiches et dépliants et commençaient à installer une table de pétition un jeune homme s'est arrêté et a demandé « Qu'allez vous faire ici ? » Un des pratiquants lui a répondu : " Nous allons informer le public toute au long de la journée, présenter la pratique et dénoncer la persécution du Parti communiste chinois (PCC) étant allée jusqu'à l'extraction forcée d'organes sur des pratiquants de Falun Gong encore vivants. Nous devons rompre un silence qui n'a duré que trop longtemps sur ces atrocités ". « Je veux signer la pétition tout de suite »s'est exclamé le jeune homme, ce que vous faites est très bien, ce sont là de vraies raisons de faire quelque chose pour sauver des vies » il a signé la pétition avant même que la table ne soit montée.
Une pratiquante a tendu un dépliant à un couple, prête à leur demander de signer la pétition. Ils ont répondu qu'ils avaient déjà reçu le flyer. Alors qu'elle continuait à appeler les passants à signer sans que personne ne s'arrête, le couple a soudain fait demi-tour et la femme lui a dit « Ce n'est pas possible personne ne s'arrête pour mettre fin au trafic d'organes, je vais signer ! ». Elle a discuté avec son mari et lui a dit de signer aussi. La pratiquante leur a suggéré d'aider à diffuser ces informations autour d'eux et de les encourager à signer la pétition en ligne. La femme a félicité l'initiative des pratiquants et leur a souhaité bon courage.
Panneaux et affiches se voyaient de loin, et les passagers dans les voitures qui passaient à proximité du stand ralenties par un trafic routier très dense, avaient le temps de lire l'information sur les panneaux .
L'après-midi beaucoup de gens se sont approchés du stand pour en apprendre davantage. Un grand nombre d'entre eux ne connaissaient pas Dafa ni la cruauté de la persécution infligée par le PCC à ceux de sa population adhérant au principe de Vérité-Bonté-Tolérance au coeur de la discipline ancestrale du Falun Dafa.
Hugo, la quarantaine, de la région Parisienne s'informait en lisant l'information affichée et à la question : « étiez vous au courant des ces atrocités sévissant depuis plus de 25 ans en Chine ? », il a répondu par la négative, très étonné car se rendant deux fois par an en Chine pour son travail. Il a toutefois dit ne pas être étonné étant donné le régime totalitaire. Il a hésité un bref instant à signer, craignant de s'attirer des ennuis dans son négoce, lorsque le pratiquant lui a dit « Si vous avez peur ne le faites pas, l'homme a répondu ; « Si, si, je dois le faire, c'est trop horrible ce qu'ils font. »
Un couple a manifesté sa surprise en lisant les panneaux. La femme a dit que bien que travaillant pour Amnesty international et œuvrant pour faire libérer des prisonniers en Chine elle ignorait tout de la persécution du Falun Gong. Le couple a manifesté son intérêt pour la pratique et ils ont pris les coordonnées des pratiquants les plus proches de chez eux. Ils ont dit également qu'ils iraient voir le documentaire Organes d'état qui serait diffusé prochainement dans la région.
Christine 67 ans, se déplaçant de ville en ville avec son sac à dos, se disait qu'il serait temps qu'elle se pose et trouve comment être utile sur cette terre. Elle a été très émue en ouvrant le Zhuan Falun et en voyant la photo du Maître, elle a dit que tout son corps vibrait, qu'elle sentait une énergie très puissante. Elle a acheté aussitôt les livres « Zhuan Falun » et « Pourquoi l'humanité existe-t-elle ».
Une dame d'origine pakistanaise a mentionné l'existence dans son pays de vols d'organes sur des enfants, organisés par la mafia. Elle a été émue en apprenant que cela existait en Chine à une telle ampleur et avalisé par le gouvernement chinois. Elle est repartie après avoir signé la pétition contre les prélèvements forcés d'organes non sans remercier les pratiquants pour leurs efforts et assuré qu'elle allait se renseigner davantage sur internet.
Toute une famille, les parents, les grands parents et trois enfants voulaient en savoir davantage sur la persécution. La plus concernée était Alice une fillette de onze ans qui a posé de nombreuses questions avec lesquelles elle ne voulait pas repartir : Pourquoi le gouvernement chinois fait cela ? Pourquoi il fait torturer des personnes innocentes ? Est-ce que ce sont de vrais hôpitaux qui font ça ? Est-ce que ce sont de vrais médecins qui font ça ? Pourquoi ce gouvernement est si méchant ? Pourquoi les autres pays ne font rien pour empêcher le gouvernement chinois de faire du mal aux gens qui pratiquent le Falun Gong ? Alice a finalement dû partir pour rejoindre ses parents.
Lorsqu'une des pratiquants a abordé un groupe d'une dizaines de jeunes hommes leur présentant la pétition, ils ont commencé par dire « non, non merci » mais deux secondes plus tard un d'entre eux est revenu et a demandé de quoi il s'agissait, finalement tout le groupe a écouté la pratiquante leur clarifier les faits et tous ont signé la pétition.
La capacité des jeunes gens à s'indigner immédiatement face aux atrocités commises en Chine encourage d'autant les pratiquants à poursuivre leurs activités de sensibilisation.
C'était une belle journée émaillée de belles rencontres et pas moins de 130 personnes ont signé les pétitions.
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