Devenue piétonne depuis quelques mois, la place Royale avec au centre sa statue monumentale symbolisant la vocation fluviale et maritime de Nantes ,est un incontournable tant pour les nantais, que pour les touristes venus nombreux au cours de ce long week-end de Toussaint.
Le stand pas encore mis en place, un jeune homme s'est arrêté et a demandé aux pratiquants s'ils avaient besoin d'aide. Un pratiquant lui a parlé de la situation des pratiquants en Chine et des persécutions qu'ils subissent de la part du gouvernement chinois . Lorsque ce dernier lui a tendu un dépliant le jeune homme a éclaté en sanglots manifestant sa compassion envers les pratiquants. Il n'a pas signé la pétition et est reparti pour revenir plus tard en fin de journée saluer le pratiquant qui lui avait appris les faits.
Une jeune femme, Léa, étudiante aux beaux-arts de Nantes, a été très touchée par l'action des pratiquants. Elle a signé de suite la pétition et a proposé d'aider à dénoncer ces atrocités en Chine, elle a demandé des flyers de la pratique et des cartes de pétition G7+7 pour qu'elle puisse en déposer dans son école des beaux-arts.
Élodie d'origine congolaise, a été bouleversée quand elle a vu les panneaux parlant des prélèvements forcés d'organes en Chine. Cela lui a rappelé ce qu'elle avait vécu dans son pays. Elle a dit qu'on lui avait prélevé un rein alors qu'elle n'était pas consentante. Elle a tout de suite signé la pétition avec son mari disant qu'il fallait dénoncer ces atrocités.
En entendant une discussion compliquée avec un homme certifiant qu'on ne pouvait rien faire contre la Chine, un second pratiquant s'est joint à la conversation. Après avoir lu l'article du Parlement européen du 18 janvier 2024 qui impose à la Chine d'arrêter immédiatement ses actes criminels sur les pratiquants du Falun Gong, l'homme a manifesté son étonnement et a remercié les pratiquants de l'avoir éclairé.
Deux hommes qui lisaient les panneaux, dont l'un travaille à la Préfecture, ont immédiatement signé la pétition et l'un des deux a dit qu'il était allé en Chine et n'était pas étonné de ce qu'il lisait aujourd'hui. Il a raconté que lors de son séjour en Chine il a voulu aller dans un endroit que le policier lui interdisait, il y est quand même allé, mais à son retour, lorsqu'il a voulu retirer de l'argent sa carte bancaire a été bloquée, il a vu le même policier près de lui qui lui a dit que ce n'était pas la peine d'insister, que sa carte était bloquée. Il devait partir le lendemain à 150 km de là et voulait récupérer sa carte bancaire. Le responsable de l'hôtel lui a proposé de l'accompagner au poste de police pour expliquer la situation.
On lui a dit de donner l'adresse où il se rendait et qu'on lui remettrait sa carte bancaire à sa nouvelle adresse. Il n'y croyait pas beaucoup mais finalement c'est ce qu'il s'est passé, on lui a rendu sa carte à 150 km de là où elle avait été bloquée. Il a dit que ce pays était une dictature et qu'il ne retournerait plus en Chine.
Une dame âgée très élégante n'avait jamais entendu parler de la persécution en Chine. Elle a été très émue en lisant les panneaux et a signé de suite la pétition. Elle a dit que même si elle n'entendait pas bien et ne voyait plus très bien elle était très sensible à la souffrance d'autrui et au respect de la liberté de croyance.
Il y a eu énormément de monde en fin d'après-midi, c'était une journée incroyable, environ 250 personnes ont appris la vérité en discutant avec les pratiquants. Certaines personnes ont été extrêmement choquées et indignées par les crimes du parti communiste chinois. Beaucoup ont signé la pétition G7+7 et ont même souhaité être photographiées avec le panneau : " Signez la pétition pour le G7+7." Un monsieur a dit : «" c'est la moindre des choses que l'on puisse faire, je vous ai déjà vu ici plusieurs fois, bravo à vous et merci pour ce que vous faites. "
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