Un stand d'informations dans la cité tourangelle suscite attention et soutiens

C'est dans la cité tourangelles que le 9 septembre 2024, des pratiquants de Nantes, Vannes et Paris, ont installé un stand d'information à propos du Falun Dafa et de la persécution en Chine

Tours a un passé prestigieux. Ville d’artisans et première ville de l’industrie de la soie sous Louis XI, elle est capitale royale sous les Valois. Une des figures marquantes de son histoire est saint Martin de Tours , un ancien militaire devenu épris du message chrétien, qui partage son manteau avec un démuni, puis se fait moine. Le manteau de saint Martin (cappa) serait aussi à l'origine du nom "Capet", qui est celui de la dynastie des rois de France, les Capétiens.

A peine la mise en place terminée, deux sœurs et retraitées, Françoise et Michelle se sont approchées pour en savoir davantage ; Elles ont signé la pétition sitôt appris la cruauté de la persécution lancée à l'encontre de la discipline spirituelle par le Parti communiste chinois, jaloux de sa popularité. Toutes deux ont affirmé l'importance d'informer à ce sujet le maximum de gens. Revenues l'après-midi elles ont appris les exercices et dit qu'elles allaient acheter le livre Zhuan Falun , contenant les principaux enseignements de la pratique.

Clara 86 ans a passé une grande partie de sa vie dans l'humanitaire en Inde. Elle n'a pas été étonnée d'apprendre que le PCC orchestrait depuis 25 ans un crime d'état en toute impunité. Elle a souligné qu'être« témoins de cette barbarie, impliquait notre devoir d'en parler » et a remercié pour ces informations importantes.

Un jeune africain, à moitié étonné d'apprendre l'horreur des persécutions en Chine a dit son inquiétude que ce « rouleau compresseur » ne sévisse aussi en Afrique et dans le monde.

Un monsieur très distingué a lu attentivement l'information sur la persécution et a voulu en savoir davantage. Son jeune voisin qui passait à vélo s'est approché pour le saluer et a dit aux pratiquants que cet homme, autrefois médecin, était bon avec tout le monde et qu'il était très apprécié. Tous les deux ont été vivement intéressés en apprenant quel lien il y avait entre la pratique et le spectacle Shen Yun programmé à nouveau à Tours. Certes ils avaient vu la publicité mais ce qu'ils apprenaient sur l'ancienne discipline chinoise piquait leur curiosité et l'envie d'approfondir en allant voir ce spectacle.

Alexandre 19 ans s'est figé devant les panneaux, très étonné de découvrir qu'il pouvait exister une telle persécution dont il n'avait jamais entendu parler dans les médias. Il a signé de suite la pétition et a accepté avec bonheur la petite fleur de lotus rappelant les trois principes de Vérité-Bonté-Tolérance, au cœur de la pratique, qui lui a été offerte. Très intéressé par la pratique il a pris toute l'information disponible se réjouissant de la possibilité de pouvoir l'apprendre en ligne, puisqu'il n'existait pas de point de pratique à Tours. Il a demandé un dépliant de plus pour sa maman et encore quelques uns pour ses amis.

Une dame ayant pris connaissance de l'information affichée sur la pratique et la persécution en Chine a signé la pétition de Dafoh et Etac, visant à mettre fin aux prélèvements forcés d'organes visant les pratiquants prisonniers d'opinion en Chine. Elle a remercié les pratiquants de l’avoir « éclairée » sur le sujet.

De nombreuses personnes ont signé la pétition condamnant la persécution du Parti communiste chinois à l'encontre des pratiquants en Chine, étant allée jusqu'aux atrocités de saisie d'organes sur des pratiquants de leur vivant.

Un sans-domicile-fixe se disant ancien militaire a été très ému en apprenant la persécution en Chine.Il a signé de suite la pétition et a été très heureux de recevoir une fleur de lotus. Quelle ne fût pas la surprise des pratiquants en le voyant revenir quelques heures plus tard et déposer sur la table de pétition les pièces que les gens lui avaient donné dans la journée, en disant ça c'est pour les chinois qui sont persécutés. Il est parti si vite que les pratiquants n'ont pas pu lui rendre ses pièces qu'ils ont données à un autre sdf qui avait aussi signé la pétition.

C'était une belle journée, riche de rencontres avec des gens qui semblaient attendre ce moment. Il est arrivé plusieurs fois que certains disent : « je ne savais pas pourquoi je passais par là aujourd'hui, mais maintenant j'ai compris. C'était important cette rencontre ». Certains avaient vraiment envie de découvrir la pratique et d'en apprendre davantage sur la situation en Chine. Ils ont encouragé les pratiquants à continuer à faire circuler les précieuses informations.