La persécution systématique et le prélèvement d’organes sur des pratiquants vivants de Falun Dafa (aussi appelé Falun Gong), lancés le 20 juillet 1999 par le Parti communiste chinois (PCC), durent depuis vingt-cinq ans. Les 19 et 20 juillet 2024, les pratiquants d’Istanbul ont organisé des activités devant le consulat chinois. Ils ont fait les exercices et informé de la persécution. .
De nombreux automobilistes qui passaient ont klaxonné, applaudi ou fait le signe du loup avec leurs mains, symbole de soutien parmi les Turcs, afin de montrer leur soutien.
Le 19 juillet, des pratiquants ont organisé un rassemblement pacifique devant le consulat chinois, appelant à la fin de la persécution qui dure depuis vingt-cinq ans.
Certains automobilistes se sont arrêtés et ont pris des brochures proposées par les pratiquants. Une personne est passée, a lu les affiches et est revenue chercher une brochure. En passant, les employés du consulat ont également lu attentivement les affiches. Des personnes en bateau se sont approchées du rivage et ont pris des brochures.
Certains automobilistes se sont arrêtés et baissé leurs vitres pour prendre des documents d’information que les pratiquants leur proposaient. D’autres sont passés puis revenus pour en apprendre davantage.
Vous répandez la bonté
Le samedi 20 juillet au soir, les pratiquants ont organisé une cérémonie de commémoration devant le consulat chinois en l’honneur de ceux qui ont perdu la vie sous la persécution.
De nombreuses personnes sont venues s’informer. Elles ont dénoncé la persécution et pris des brochures d’information. Plusieurs ont enregistré l’événement avec leur téléphone portable et ont pris des photos. Les personnes qui entendaient parler de la persécution pour la première fois se sont dites choquées. De nombreuses personnes ont signé la pétition demandant la fin de la persécution.
Le 20 juillet au soir, des pratiquants ont organisé une veillée aux chandelles devant le consulat chinois pour commémorer ceux ayant été persécutés à mort en Chine.
Un jeune diplômé de l’université a voulu connaître tous les détails de la persécution. Il l’a condamnée à plusieurs reprises. Il a dit aux pratiquants : « J’espère que cette persécution prendra bientôt fin et que les gens seront libres. Quel grand combat vous menez ! Vous répandez la bonté. » Il a signé la pétition et a souhaité aux pratiquants de réussir.
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