Le PCC appelé à mettre fin à la persécution, à la campagne de transformation et à libérer tous les pratiquants du Falun Gong détenus lors du sommet de l'APEC

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Le 15 novembre 2023, les pratiquants de Falun Gong se sont rassemblés devant le Moscone Center, dans le centre-ville de San Francisco, lors du Sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC), exigeant que Xi Jinping, le dirigeant du Parti communiste chinois (PCC), mette immédiatement fin à la persécution et libère tous les pratiquants détenus en Chine.

Juillet 2023 a marqué vingt-quatre ans de persécution du Falun Gong par le PCC. D’innombrables pratiquants ont été arrêtés, détenus et torturés. Plus de 5000 décès résultant directement de cette persécution ont été confirmés, même si, en raison de la difficulté à faire sortir les informations de Chine, on considère que le nombre réel de morts est beaucoup plus élevé.


Depuis que Xi a pris ses fonctions à la tête du PCC il y a dix ans, tout comme son prédécesseur Hu Jintao, il a poursuivi la politique d’éradication de Jiang Zemin à l’encontre du Falun Gong en suivant les directives suivantes : « diffamer leur réputation, détruire leur corps et les ruiner financièrement ». Le coup monté des auto-immolations sur la place Tiananmen, orchestré par les anciens cadres du PCC Jiang Zemin, Luo Gan, Zeng Qinghong et Zhou Yongkang, reste le principal outil de propagande qui alimente la haine, la peur et la discrimination des Chinois à l’égard des pratiquants de Falun Gong et les rend complices de la persécution.


Bien que le Bureau chinois des publications ait levé l’interdiction sur les livres de Falun Gong le 1er mars 2011, la police, les procureurs et les juges de toute la Chine continuent d’arrêter et de condamner des pratiquants pour le « crime » d’avoir des livres de Falun Gong ou de distribuer des documents d’information sur le Falun Gong. Et si le tristement célèbre système des camps de travail, utilisé par la police pour détenir et exploiter arbitrairement les pratiquants de Falun Gong, a été aboli fin 2013, cela n’a pas non plus diminué la persécution. Au contraire, cela a conduit à des peines de prison plus longues et à l’incarcération des pratiquants dans d’autres types de lieux de détention, tels que les « prisons noires », les centres de désintoxication ou les hôpitaux psychiatriques.


En mars 2018, la dissolution du Bureau 610 (l’agence extra-légale de la Gestapo spécialement créée le 10 juin 1999 par Jiang Zemin pour persécuter le Falun Gong) a eu lieu pour éviter un examen international. Sous le nouveau nom de « Bureau du maintien de la stabilité », le Bureau 610 existe toujours et continue de diriger la persécution, notamment en condamnant les pratiquants âgés et en prélevant des organes sur les jeunes pratiquants. Aucun des responsables de ces crimes odieux n’a été traduit en justice.


Xi est pleinement responsable de la persécution et de la mort des pratiquants durant son règne. Plus vite la persécution cessera, moins il y aura de vies perdues et moins les auteurs de ces crimes auront à répondre de leurs actes.


Tout au long de l’histoire de la Chine, les personnes pratiquant un chemin spirituel ont été tenues en haute estime. Perturber leur cultivation était considéré comme une affaire grave, car la persécution de ceux qui suivaient un chemin spirituel entraînait un karma bien plus important que les mauvais traitements infligés à d’autres personnes. Il en va de même pour les persécuteurs des pratiquants de Falun Dafa aujourd’hui. Lorsque les responsables seront traduits en justice, ils devront faire face à une douloureuse rétribution karmique pour chacun des actes commis aujourd’hui. Toute pensée d’échapper aux conséquences ne peut être qu’un vœu pieux.


Des pratiquants de Falun Gong protestent pacifiquement contre la persécution lors du sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC) à San Francisco, le 15 novembre 2023.

Des pratiquants (en jaune) parlent aux délégués chinois à propos du Falun Gong et de la persécution en Chine.

Des pratiquants déploient des banderoles avec des informations sur la persécution.

Un pratiquant est interviewé par le San Francisco Chronicle.

Une pratiquante est interviewée par Fox News.

Un pratiquant est interviewé par un média indien.




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