L'exposition d'affiches "Stop à la saisie d’organes vitaux par le PCC" a été organisée à Chikaho, le passage souterrain de la gare de Sapporo, du 18 au 21 mai 2023, par l'Association de recherche sur le tourisme de transplantation (TTRA) au Japon.
Chikaho est un passage souterrain reliant deux gares principales de Sapporo. Plus de 60 000 personnes l'empruntent chaque jour. Les gens peuvent demander à utiliser les côtés de la voie pour des activités telles que la promotion de marchandises, des ventes ou des expositions.
Vingt affiches décrivant le crime de prélèvement d'organes sur les pratiquants de Falun Dafa par le Parti communiste chinois (PCC) ont été exposées. En semaine, la plupart des passants étaient des employés de grandes sociétés commerciales et des étudiants. Le week-end, de nombreuses familles et voyageurs ont étudié attentivement les affiches et signé une pétition pour mettre fin au prélèvement d'organes sur des personnes vivantes. De nombreux jeunes ont pris des photos de l'exposition et les ont partagées sur les réseaux sociaux.
Plusieurs étudiants universitaires sont venus le dernier jour de l'exposition. Ils ont écouté, posé des questions et fait part de leur réaction. Ils ont déclaré que l'exposition les avait amenés à réfléchir sérieusement aux questions de saisie d'organes vivants et du tourisme de transplantation.
B>"J'espère sensibiliser le public à la saisie d'organes vivants à travers mes œuvre."
Mlle Ohashiwa, qui a conçu l'affiche ayant remporté la médaille d'argent, "Reserved", est étudiante en art dans une université de Sapporo. Elle a expliqué qu'au moment de créer son affiche, elle avait recherché des informations sur la saisie d'organes vivants et avait eu le cœur brisé en découvrant que même les enfants n'échappaient pas à ce fléau. Elle a donc décidé d'utiliser le thème d'un enfant qui représente l'avenir du pays pour dénoncer la cruauté du prélèvement d'organes vivants. Elle a elle-même fait des recherches et vérifié les prix des organes indiqués sur l'affiche. Les cases cochées en rouge et les dates précises montrent que les organes ont été réservés, faisant ainsi comprendre que le prélèvement d'organes vivants est bien réel et très cruel.
"Les Japonais ne savent pas grand-chose sur la saisie d'organes vivants, c'est pourquoi je veux leur faire connaître ce qui se passe à travers le travail d’art", a-t-elle déclaré. "J'espère que les gens pourront comprendre la saisie d'organes vivants d'un seul coup d'œil. J'espère que les Japonais et le monde entier prêteront plus d'attention à cette question."
Mme Hasegawa a déclaré que, sans le PCC, ce mal [la saisie d'organes] n'existerait pas, et qu'il en allait de même pour le virus COVID.
Mme Sasakawa, une infirmière, est allée directement à la table et a signé la pétition. Elle a déclaré qu'elle entendait des choses similaires depuis longtemps. "Si vous restez assis à regarder, un jour ce sera votre tour", a-t-elle dit.
M. Cui, professeur d'université à Sapporo pour le compte de la ville d'Asahikawa, a écouté attentivement les explications et a déclaré : "C'est un crime contre l'humanité tout entière." Après avoir signé la pétition, il a pris quelques photos et a déclaré qu'il les partagerait avec ses étudiants.
M. Aoki, qui a des investissements et des affaires en Chine, entendait parler pour la première fois de la saisie d'organes vivants. Après avoir signé la pétition, il a pris une photo et l'a partagée sur Twitter. Il est revenu plus tard et a déclaré que certains de ses amis d'affaires, y compris des Chinois, avaient répondu à son message en disant qu'ils étaient au courant. Il a ajouté qu'il espérait avoir l'occasion de connaître les vraies informations sur la Chine.
Version anglaise
https://en.minghui.org/html/articles/2023/5/31/209649.html
Version chinoise
日本北海道举办制止中共活摘器官海报展
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