Le 20 mars 2023, des pratiquants de Falun Dafa de Roumanie ont organisé une journée d’information près des résidences étudiantes de l’Université Politechnica Bucarest. Les étudiants ont reçu des fleurs de lotus et des brochures informatives rendant compte de la discipline ancestrale de raffinement corps/esprit et de la perspective qu’elle offre sur la relation entre l’homme et l’univers. Les pratiquants ont constaté que de plus en plus de jeunes sont désireux d’apprendre la réalité de la situation en Chine.
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Un monsieur a demandé où nous étions basés, voulant se joindre à la pratique. Il a appris que Falun Dafa n’accepte pas les dons, que la pratique est gratuite partout dans le monde et que les exercices se font souvent à l’extérieur. Les pratiquants l'ont informé que par exemple à Bucarest, les pratiquants font la démonstration des exercices dans le Parc du Roi Michel Ier de Roumanie (anciennement Herastrau) chaque samedi et dimanche et que tout le monde peut venir les apprendre. Ces exercices peuvent aussi être pratiqués quotidiennement à la maison, et participent à une bonne qualité de vie en accord avec le principe de Vérité, Bonté et Tolérance.
Lors de l’événement, une dame ne comprenant pas vraiment ce qui se passait en Chine ni pourquoi les pratiquants du Falun Dafa se tenaient là dans la rue, a exprimé son indignation que l’évènement soit en soutien aux Chinois, se demandant même s’ils étaient payés pour faire cela.
Les pratiquants ont expliqué comment la culture et les traditions inspirés par le divin avaient été systématiquement détruites et remplacées par la culture du Parti en Chine et comment le peuple chinois avait été dépouillé de son histoire et de ses traditions vieilles de 5000 ans.par le Parti communiste au pouvoir; Ils ont rappelé comment ce même parti avait été la source de bien des malheurs également en Roumanie; notant que son influence négative sur le monde avait culminé avec la pandémie de COVID-19 bloquant le monde entier et détruisant des millions de vies.
"Nos compagnons sont torturés et tués en Chine” ont-ils dit "Quel genre d’êtres serions-nous si nous ne donnions pas une voix à ces gens qui défendent le principe universel de Vérité-Bonté-Patience au prix de leur vie ?" dissipant par ces mots ce qui restait d’incrédulité dans l’esprit de cette femme.
Une famille de passage dans la région a demandé la raison de la manifestation à l’ambassade de Chine le 25 mars. Lorsqu’une pratiquante leur a remis un dépliant d’information, l’homme a demandé quelles étaient ses attentes et ce qu’il était censé faire après l’avoir lu.
C’est juste pour votre information", a été la réponse.
-- Est-ce tout ? a demandé le monsieur, curieux.
"Peut-être voudrez-vous aussi apprendre une si bonne pratique qui a amélioré la qualité de vie de tous ceux d’entre nous qui l’avons suivie sincèrement."
La dame a souri en entendant cela, et a acquiescé de la tête , tandis que le monsieur se détendait et manifestait son intérêt. Apprenant comment la pratique, transmise depuis les années 1992, était devenue rapidement populaire en Chine avec un effet positif sur la société toute entière, la dame a interrogé sur le pourquoi de la persécution. Finalement elle a d’elle-même déclaré que sans doute les principes de Vérité-Bonté-Tolérance de la pratique ne pouvaient trouver grâce auprès d’un tel régime.
Un jeune homme au visage serein et à l’expression ouverte s’est arrêté lorsqu’une pratiquante lui a remis un dépliant. Prenant connaissance de ce qui était arrivé aux pratiquants en Chine, il a reconnu là le style caractéristique du communisme. Il ignorait cependant tout des prélèvements forcés d’organes sur des pratiquants de Falun Gong de leur vivant au profit de la lucrative industrie des greffets en Chine. Fort d’informations d’une telle importance, le jeune homme a remercié et souhaité aux pratiquants le succès dans toutes leurs actions.
Alors qu'un pratiquant se tenait à côté d’une bannière en tenant un portrait d’un pratiquant chinois mort en détention, une jeune femme ést venue lui demander ce qu’il faisait là. Il a expliqué qu’il protestait pacifiquement contre le prélèvement forcé d’organes sur les pratiquants de Falun Dafa en Chine, et lui a remis un tract. La jeune femme a écouté attentivement et l’a finalement remercié.
Environ 20 minutes plus tard, deux gendarmes - une jeune femme et un homme – sont arrivés pour photographier la bannière à côté de laquelle se trouvait le pratiquant. Comme ils étaient sur le point de partir, ce dernier a demandé s’il pouvait leur remettre un dépliant. Ils ont acquiescé de la tête et il a donné un dépliant à chacun d’eux, puis il a commencé à expliquer le but de la manifestation mensuelle. Comment la pratique avait été introduite en Chine par Maître Li en 1992, qu'il y avait en 1999, des dizaines de millions de personnes qui la pratiquaient en Chine, et comment la persécution avait été lancé par Jiang Zemin l'ex-dirigeant à l'époque, le 29 juillet 1999, prenant ombrage de l'immense popularité du Falun Gong et avait abouti au prélèvement forcé d’organes quelques années plus tard.
Vers la fin de l’événement, une dame qui promenait son chien s’est approchée. La dame a accepté un dépliant en anglais, et a dit qu’elle était professeur d’anglais dans une école à Bucarest, et était originaire de l’Alaska aux USA, qu’elle vivait à Bucarest depuis trois ans et aimait être ici.
Le pratiquant lui a remis un dépliant en anglais tout en lui révélant le but de la présence du groupe sur place. La dame a répondu qu’elle était au courant, ayant vu le groupe démontrer les exercices de nombreuses fois dans le parc du Roi Michel Ier de Roumanie.
Version originale :
România: Activităţi Falun Dafa în zona universitară Politehnica Bucureşti şi la Ambasada Chinei
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