1. A la recherche de mon moi intérieur
J’étais enseignante et je me considérais comme athée. Pendant des vacances en 1983, avec sept de mes élèves nous sommes partis ensemble en voyage au Mont Emei et avons visité d’innombrables temples. Parce que je ne croyais pas aux divinités, j’ai dit certaines paroles outrageantes, ce qui a provoqué de la colère.
Juste au moment où mon cœur était arrogant, j’ai été punie par des êtres invisibles. J’ai chuté d’une certaine hauteur et ai perdu connaissance. Au début, je n’ai entendu que des hurlements et des pleurs. Puis le chaos a disparu peu après. J’ai senti que j’avais une connexion prédestinée avec Bouddha, donc je ne pouvais pas manquer de respect envers Bouddha.
Quand je me suis réveillée, ces pleurs et ces réprimandes sont réapparus, et je ne pouvais pas répondre. Je pensais simplement que je ne croyais pas en Bouddha, comment pouvais-je avoir une relation prédestinée avec Bouddha ? En redescendant de la montagne, je suis encore tombée et je me suis cassée une cheville. Mes compagnons de voyage m'en voulaient, et tout le monde était submergé par l'anxiété, mais je n'étais pas pressée. Parce que lorsque je suis tombée, une voix m'a dit : "Ne t'inquiète pas. Quelqu'un va venir te sauver." Au loin, une personne est vraiment venue et portait un sac à dos. Je l'ai rapidement salué et lui ai demandé de m'aider. Il a dit qu'il était là pour soutenir les gens. Il m'a demandé deux boîtes de bons d'alimentation et vingt yuans, pour me transporter dans un hôpital en bas de la montagne. Le médecin semblait avoir une dent contre moi, il m'a tordu le pied si fort que j'ai failli m'évanouir à cause de la douleur. À ce moment-là, j'ai regretté d'avoir dit des bêtises.
De nombreuses années ont passé. En 1997, un jour au domicile de mon plus jeune frère, ma nièce s’est également cassée la cheville. Ce jour-là, j’avais vraiment envie de lire un livre, incapable de rester tranquille. Je suis allée dans la bibliothèque de la maison de mon frère, mais il n’y avait aucun livre sur les sciences humaines, tous étaient des livres d’ingénierie. J’étais si anxieuse que j’ai reproché à mon jeune frère de n’avoir aucun livre sur les sciences humaines. Ma mère m’a demandé : " Qu’as-tu dit ? " J’ai dit : " Je veux lire des livres, mais il n’y avait aucun livre dont j’avais besoin. " Je n’avais pas l’intention de lire des livres de Qi Gong d’autres écoles. Je n’avais jamais ressenti ce désir de lire des livres, et n’étais pas non plus le genre de personne qui aime apprendre, comment pouvais-je être si anxieuse ?
Ma mère avait eu son rhumatisme guéri après avoir pratiqué les exercices du Falun Gong, ce qui était en soi un miracle ! Les enseignements semblaient justes, mais j’étais quelque peu perdue en raison des impacts négatif de l’athéisme. Plus tard, ma mère et moi sommes allées dans une école pour regarder les conférences vidéos du Maître. Pendant que je regardais la vidéo, les cors de mes pieds étaient très douloureux. Après que nous soyons rentrées à la maison, les cors avaient disparu. Depuis lors j’ai décidé d’apprendre Dafa avec ma mère. Nous avons coopéré avec les compagnons de pratique et passions tous les jours fériés à diffuser le Fa. Le nombre de gens embrassant la pratique augmentait rapidement dans des dizaines de cantons voisins. En l’espace de deux ans, des centres d’assistance de Falun Gong ont été établis.
Dès le début de la persécution de Dafa, nous sommes allés à Pékin pour faire appel en faveur de Dafa. À ce stade, ma motivation provenait de ma gratitude et de ma confiance envers le Maître. Il était un peu difficile de comprendre ce qu'était la cultivation
Face à la persécution, je savais seulement que le Maître et Dafa étaient bons, mais interdits par le gouvernement communiste chinois. Plus de vingt pratiquants de ma région ont adressé des lettres de clarification de la vérité aux ménages, aux lieux de travail et au gouvernement local avant de se rendre à Pékin pour faire appel pour Dafa. Nous nous disions que nous devions dire la vérité concernant Dafa aux autorités locales et aux policiers. Une fois qu'ils sauraient que nous étions d'honnêtes gens, ils arrêteraient la répression. Contre toute attente, nous avons été arrêtés et condamnés à tort.
Parce que Dafa est le principe le plus juste, il a été persécuté par le PCC. Nous ne pouvions jamais espérer changer le mal, mais seulement l’éliminer. Nous avons réalisé que nous ne devrions jamais reconnaître le Parti pervers, pas plus que nous faire la moindre illusion au sujet du PCC.
La mentalité compétitive a été encouragée par la culture du parti, donc j'étais contre ces malfaiteurs. Quand les responsables ont essayé de me persuader de me laisser transformer, je leur ai dit : "S’il vous plaît n’interférez pas avec ma croyance. Je ne suis pas une mauvaise personne." Quand les responsables locaux du
Les vingt années d’expérience m’ont permis de graduellement comprendre les connotations de la
Maître a dit dans Zhuan Falun : (...)
- " Quand la nature de Bouddha surgit chez quelqu’un, le Monde des Dix Directions en est ébranlé.» Celui qui voit cela viendra l’aider et l’aidera inconditionnellement.(…). "
Je me suis éveillée au fait que les gens autour de nous étaient là pour nous aider dans la cultivation. Certaines personnes m’ont aidée dans le processus de trouver mes lacunes, tandis que certaines m’ont persécutée. Dans ces circonstances, le Maître jugera si je peux ou non réussir dans la cultivation. Petit à petit, j’en suis venue à comprendre que la société humaine tout entière est un vaste site de pratique et j'ai commencé à rester tranquille et à cultiver véritablement.
Parce que j’étais emprisonnée depuis trop longtemps, j’étais incapable de nier totalement les forces anciennes. Avant que je ne sois libérée, deux femmes policiers m’ont demandé : " Vous avez été emprisonnée pendant presque dix ans ; vous n’avez jamais pratiqué les exercices, ni n’êtes tombée malade. Est-il possible que vous arrêtiez de pratiquer les exercices du Falun Gong et que vous ne tombiez pas malade après votre libération ? " Je lui ai dit :" Mes maladies ont été guéries en faisant les exercices. " Elle a été enthousiasmée et m’a dit : " Tous les pratiquants détenus ont déclaré que le Falun Gong avait guéri leurs maladies. S’il vous plaît, faites-moi vite savoir ce qu’il en est pour vous. " J’ai dit : " La cultivation n’est pas pour renforcer la forme physique. Quand vous vous sentez malade, vous êtes dans l’incapacité de cultiver. C’est seulement quand mon Maître a éliminé ma maladie, que j’ai pu commencer à pratiquer. Je ne trahi pas mon Maître, donc la maladie ne me reviendra pas et je reste en bonne santé. "
Elles sont restées silencieuses pendant un petit moment et ont soulevé une seconde question : " Avez-vous un tempérament emporté ? " J'ai répondu à la hâte : " Oui, assurément." Elle a dit : " Durant votre emprisonnement, nous ne vous avons jamais vu perdre votre sang-froid que ce soit avec les collègues ou les détenues. Nous n’en avons enregistré aucune trace. " J’ai dit : " Je suis pleinement consciente de la vérité à propos du Falun Gong, tandis que vous ne l’êtes pas. Contre qui puis-je être en colère ? " Je me suis sentie satisfaite de ma réponse. Cependant, quelque chose d’inattendu s’est produit. Peu après que je sois rentrée chez moi, j’ai perdu mon calme avec un compagnon de pratique. J’ai réalisé que mon ressentiment n’avait pas été dissipé. Au regard de dix années d’emprisonnement, comment se faisait-il que ma colère ne s’était jamais manifestée en prison ?
Une fois, je marchais dans la rue et j’ai vu une mère frapper son enfant. L’enfant n’arrêtait pas de pleurer, de hurler et de courir après sa mère. J’ai commencé tout à coup à comprendre : l’enfant ne se n'en voulait pas à sa mère parce qu’il reconnaissait tacitement que sa mère avait le droit de le battre ; Les élèves n’argumentent pas avec le professeur parce qu’ils estiment que le professeur a le droit de les éduquer et de les sermonner. Je n’avais eu aucun problème avec les prisonnières et la police pendant de nombreuses années, avais-je tacitement accepté qu’ils avaient le droit de me persécuter, ou du moins je n’avais pas complètement nié les forces anciennes ?
En me remémorant mon emprisonnement, les choses avaient été vraiment comme ça. En détention, je me suis dit que tant que tous les pratiquants détenus ne faisaient aucun aveu, nous ne serions pas condamnés. Penser ainsi n'était-ce pas reconnaître que la police avait juridiquement le droit de nous condamner ? N'était-ce pas accepter la persécution ? Pas étonnant que j'aie été lourdement condamnée. En prison, la police m'a demandé pour la première fois : "Quand voulez-vous rentrer chez vous ?". J'étais confuse et j'ai répondu : "J'ai été kidnappée par vous. Je rentrerais chez moi quand vous m'aurez libérée." Pour la deuxième fois, la police a posé la même question. J'ai répondu : "On va voir comment ça va se passer." La troisième fois, ils m'ont à nouveau demandé : "Quand voulez-vous rentrer chez vous ?" Je me sentais impatiente et je voulais exprimer ma détermination à ne pas me transformer, alors j'ai dit : "À l'âge de cinquante ans." Quand j'aurai cinquante ans, j’aurais entièrement purgé mon terme. La police s'est sentie irritée et a dit : "Pourquoi n'êtes-vous pas sûre de vous ?". J'étais abasourdie et je n'arrivais pas à comprendre. Maintenant, je suis devenue lucide, alors j'ai demandé l'aide du Maître. J'ai envoyé des pensées droites pour chasser complètement les interférences des forces anciennes.
Après quelque temps, j'ai fait un rêve très clair : Je suis allée voir le directeur et j'ai demandé à être surveillante cette année. Dès que le directeur a accepté, il m'a tendu une liste, comme une facture sur papier, et m'a dit :" Voici la liste des surveillants. Veuillez l'apporter au Comité des affaires des examens demain." J'ai ouvert la fermeture éclair du petit sac que je portais, j'y ai mis la liste avec soin et je suis partie. Le lendemain, je me suis présentée et j'ai croisé de nombreux enseignants. Il y avait beaucoup de monde sur le site. Le directeur a dit : " Quelqu'un travaille aussi comme surveillante aujourd'hui. Elle est aussi sérieuse. " Je lui ai tout de suite répondu : " Oui, c'est moi. En tant que surveillante, je n'ai pas fait d'erreur. Soudain, l'expression du visage du directeur a changé et il m'a dit : " Sortez votre mandat d'arrêt. Nous allons vous arrêter aujourd'hui." J'ai demandé : "Quel genre de mandat d'arrêt ?" Il a répondu : "C'est celui que je vous ai donné hier." J'ai ouvert la fermeture éclair et j'ai sorti la liste. Avant de voir ce qui était écrit dessus, j'ai déchiré la liste. À ma grande surprise, une si petite liste avait mis si longtemps à être déchirée avec des bouts de papier amoncelés sur le sol. À ce moment-là, j'ai eu l'impression que quelqu'un disait que j'avais déchiré le contrat et l'accord avec les forces anciennes. J'ai vu le directeur et tous les professeurs me regarder fixement, et je me suis réveillée en sachant clairement que j'avais rompu mon contrat avec les forces anciennes.
2. Des principes supranormaux me guident sur le chemin de la divinité
Le maître nous a indiqué le chemin de la cultivation, en veillant sur nous à chaque instant. La vie d'une personne ordinaire c’est la naissance, la vieillesse, la maladie et la mort. En revanche, les véritables pratiquants n'ont besoin que de se purifier, de se débarrasser des désirs humains, afin de s'élever à des niveaux supérieurs. Le Maître nous a enseigné les lois et principes supranormaux du Fa. Sous les soins compatissants du Maître, nous avons emprunté la voie divine. Nous sommes transformés par le gong 24 heures sur 24 ;
Si nous agissons dans le nouvel univers en suivant les anciens principes, agirions-nous comme des démons célestes ? Tout ce que nous rencontrons est étroitement lié à notre cultivation. Au cours de la cultivation, nous devrions nous considérer comme de véritables pratiquants, attentifs à chaque pensée et notion et gérer les choses avec droiture. Indépendamment des bonnes ou mauvaises choses, vous pouvez vraiment avancer et sortir de l’état humain.
Pendant la répression, les responsables du gouvernement chinois et du PCC à tous les niveaux dans notre ville, du secrétaire adjoint du comité municipal du parti, du directeur de la publicité, etc. aux dirigeants de l'école, ont passé beaucoup de temps à essayer de me transformer, par tous les moyens. Pendant un certain temps, ils ont utilisé des voitures officielles pour m'envoyer regarder des programmes culturels et dessiner des gâteaux d'anniversaire. De même, le secrétaire adjoint de la commission des affaires politiques et juridiques m'a reconnue comme une sœur. De plus, le Bureau de la sécurité publique voulait nouer une amitié avec moi. Des fonctionnaires de tous niveaux me suivaient de près. Même mes parents et mes amis ont été incités à changer ma façon de penser.
Un après-midi, j'assistais à une réunion. Soudain, quelqu'un m'a appelée pour me dire qu'une pratiquante avait été arrêtée. Sans aucun à priori, je me suis précipitée au bureau municipal de la sécurité publique et je leur ai demandé : " Pourquoi avez-vous arrêté une pratiquante ? " Ils m'ont répondu :" Parce qu'elle a distribué des CD de Falun Gong." J'ai demandé :" Je n'ai pas pris mon repas, et je suis arrivée ici à la hâte. Pourquoi avez-vous arrêté à tort ma compagne de pratique ? J'ai besoin de la rencontrer. " Ils ont répondu : "Très bien, nous pouvons vous inviter à un repas. Mais vous ne serez pas autorisée à la rencontrer. " J'ai dit : " Je peux prendre un repas ici, et je demande qu’elle mange avec moi. » Ma compagne de pratique a alors été autorisée à prendre un repas avec moi à la cantine du Bureau de la sécurité publique. J'ai demandé à ramener la pratiquante détenue chez elle après le repas. Mais les policiers avaient encore d'autres questions à lui poser. Ils ne pouvaient pas l'interroger en ma présence, mais ils pouvaient le faire en privé. Je n'avais pas d'autre choix que de leur dire : " Je pourrais aller au bureau 610 avec vous, et j'y attendrais cette pratiquante. " On m'a alors envoyé au bureau 610, avec quelques policiers qui m'accompagnaient. Je les ai exhortés à libérer la pratiquante à l'heure en passant des appels téléphoniques. Ce n'est qu'à minuit que ma compagne de pratique a été libérée. Puis le personnel du 610 m'a renvoyée chez moi. C'était incroyable !
J'ai passé deux tests psychologiques en prison. Un jour, la policière qui était chargée du test est venue me voir et m'a dit qu'elle voulait avoir une bonne discussion avec moi, mais elle n'a jamais mentionné le "Falun Gong" au cours de la conversation. Pendant de nombreuses heures, nous n'avons pas pris de repas et je ne me sentais pas en confiance. Tout le monde me parlait du Falun Gong. Pourquoi faisait-elle exception ? Lorsque la conversation s'est terminée, elle m'a dit avec enthousiasme : "Je veux vous dire une chose. Je dois vous dire que vous avez une très bonne santé mentale. Vos deux indices de test ont atteint le point le plus élevé, et personne d'autre ne l'a atteint. En fait, je ne suis pas autorisé à divulguer cette information aux prisonniers, mais je vais faire une exception pour vous aujourd'hui. Pour vous dire la vérité, on supposait généralement que les pratiquants de Falun Gong n'étaient pas du tout en bonne santé psychologique. Comment pouvez-vous atteindre un indice aussi élevé ? Je soupçonne donc que les tests ont été conçus de manière non scientifique. C'est pourquoi je dois le vérifier avec vous en personne. Les résultats sont au-delà de mes attentes. Laissez-moi vous dire que les questions de ces tests ont été élaborées de manière scientifique et précise. Vous êtes très saine mentalement, et je veux discuter avec vous à l'avenir. Cela vous plairait-il ?" J'ai répondu oui. En apparence, la policière ne respectait pas leurs règles. En fait, mon état de cultivation lui donnait la force d'interagir positivement avec moi.
À cause de la persécution, j'ai perdu mon emploi et j'ai travaillé en dehors de ma ville natale. Maman m'a dit : "S'il te plaît, quitte ton travail et rentre à la maison pour t'occuper de moi. Ma santé se dégrade. Je te remettrai mon livret de banque". Quelques jours plus tard, j'ai démissionné de mon travail, et ma mère a joyeusement appelé mon jeune frère devant moi et a dit : " Ta sœur a quitté son travail et est venue nous chercher. Je vais te donner mon livret de salaire." Il a répondu à maman : "Tu peux le donner à ma sœur." Maman a dit : "Je ne le lui donnerai pas." Il a demandé : "Pourquoi ?" Maman a répondu : "Je ne pense pas qu'elle puisse gérer le livret correctement."
J'ai été choquée d'entendre son commentaire. Maman n'était pas comme ça d'habitude ; elle n'avait pas encore de vertiges. Je devrais abolir l'attachement aux gains personnels. Maman a remis le livret à mon frère, qui n'a pas voulu l'accepter et l'a donné à son jeune frère. J'ai dépensé mes propres revenus pour m'occuper de maman. Mes frères venaient la voir assez souvent. Maman a été hospitalisée cinq fois en six mois. Je m'étais occupée d'elle sans me plaindre. Se salir et se fatiguer n'était rien. Je pensais que ma mère s'occupait aussi de moi quand j'étais enfant. Je devais laver le corps de ma mère tous les jours. Heureusement, mes frères m'ont donné un coup de main.
Un jour, mon frère cadet a demandé à maman de lui vendre la maison. Il ne voulait pas faire de paiement, alors qu'il ne pouvait que passer par la procédure de transfert. Je me suis dit que la maison lui serait donnée. Poussant ma mère dans un fauteuil roulant, mon jeune frère, ma belle-sœur et moi avons terminé la procédure. Je n'avais aucune idée de l'héritage de la maison. Bien que mes deux frères avaient des maisons suffisantes, j'avais été emprisonnée pendant de nombreuses années. Maintenant, mon fils travaille ; mon logement social d'origine a été repris depuis longtemps, nous n'avions donc pas de maison. Malgré cela, j'ai toujours dit à mon fils que nous n'avions pas à nous battre pour quoi que ce soit. Nous pouvons travailler, louer une maison ou demander un logement à loyer modéré. Mon fils était d'accord avec moi.
Un jour, mon parent a interrogé ma mère : " Ta fille s'est bien occupée de toi. Pourquoi as-tu refusé de lui donner le livret et la maison ?" Maman a répondu : "Elle est incapable de gérer correctement l'argent et les biens. Mon fils devrait hériter de la maison, tandis que ma fille a été l'eau versée." Ma parente était tellement en colère qu'elle a grondé ma mère pour avoir été une idiote. Je l'ai rapidement prise à part et lui ai dit : "C'est une tradition de donner des biens à son fils. N'as-tu pas donné ta maison à ton fils ? Comme ma mère se sentait malade, laissez-la se sentir à l'aise et ne la mettez pas en colère." Mais quelques jours plus tard, mon frère a soudainement pris plusieurs accords et a dit : "La maison doit toujours être héritée par ma sœur. J'ai écrit l'accord." Puis il a demandé à ma mère et à nous trois de signer et d’apposer nos empreintes digitales. Pendant tout le processus, j'étais dans un état d'inaction. Il n'y avait ni ressentiment, ni excitation, ni joie. Tout s'est déroulé dans le calme.
Quelques jours plus tard, ma mère s’est éteinte paisiblement. Ma mère avait un cancer de l'estomac, qui était avancé, mais elle n'avait pas mal. Elle n'a ressenti de la douleur qu'une fois en six mois, pendant environ dix minutes. Le médecin a dit que cela ferait mal, et beaucoup de gens ont aussi dit que le cancer de l'estomac serait douloureux. Mais elle n'a pas beaucoup souffert et elle est partie tranquillement la veille de Noël. Je savais fort bien que ma mère pratiquait le Falun Gong depuis 20 ans. Comme elle était analphabète, elle était incapable de comprendre le Fa. Mais elle croyait que le Maître avait enlevé sa maladie, et elle est restée en bonne santé pendant 20 ans. Elle n’a donc cru qu'à la forme physique, et non à la cultivation.
Elle ne croyait pas que les gens pouvaient s’envoler au ciel. Mais elle croyait que les êtres humains mourraient effectivement, alors elle a acheté un caveau au cimetière à l'avance. Elle jouait au mah-jong de temps en temps, considérant la cultivation comme des exercices physique. Pour cette raison, elle devait suivre le principe de la société humaine de naissance, vieillissement, maladie et mort. Elle m'a dit qu'elle se sentait satisfaite. Ses anciennes maladies corporelles avaient été guéries par le Maître en un court laps de temps. Elle n'avait pas pris de médicaments pendant 20 ans et était restée en bonne santé. Elle était très reconnaissante ! Durant sa maladie, elle a continué à réciter Dafa est bon et à étudier le
Ma belle-mère, qui se cultive également, a vécu une expérience étonnante. À un moment donné, à l'âge de 89 ans, elle s'est sentie abattue et ne pouvait plus bouger. Elle a alors été envoyée à l'hôpital et on lui a diagnostiqué un infarctus cérébral tardif. Lorsqu'elle s'est réveillée du coma, elle a dit qu'elle n'était pas malade et qu'elle ne voulait pas être hospitalisée, si bien que sa famille a dû la transporter chez elle. Après trois jours, elle était capable de marcher et de sortir. Ses jambes et ses pieds étaient plus souples qu'avant ; elle a 90 ans cette année, et est tombée à nouveau ce mois-ci. On lui a diagnostiqué une fracture lombaire, dont elle mettra environ un an à se remettre. Mais elle n'a pas été hospitalisée. Cela faisait quinze jours qu'elle était tombée et je lui ai rendu visite. Elle était capable de marcher avec aisance, et elle se sentait bien à présent. Ces expériences sont extraordinaires.
3. Ne pas se focaliser sur la terminologie du Qigong
Au début, j'ai trouvé les livres de Dafa très bons. Mais je me contentais d'une compréhension de perception. J'ai appris beaucoup de lois et de principes du Fa, mais je n’étais pas vraiment entrée dans l'état de cultivation.
Un jour, j'ai demandé à une compagne de pratique : "Comment vois-tu la question du vol de Qi et de la collecte de Qi ?". Elle a répondu : "Le Qigong est comme ça. J'ai pratiqué certains Qigong, qui parlent de voler le Qi et de collecter le Qi." Elle semblait presque se concentrer sur les terminologies du Qigong. Je suis devenue soudainement alerte et j'ai dit : "Ne parle pas de qigong. Nous devrions pratiquer une seule méthode de cultivation." Le Maître a dit dans le Zhuan Falun :
- «(...) Il y a même des gens qui se sont plongés dans des recherches sur le terme qigong, mais il n’y a rien à chercher: dans le passé cela s’appelait simplement xiulian, cultivation et pratique;(...) .”
Qu'est-ce que la cultivation ? Ne s'agit-il pas d'élever notre niveau de Xinxing ? J'ai compris que le vol de Qi est une chose dégénérée. Nous cultivons parmi les gens ordinaires, donc nous ne devrions pas dire quelque chose pour créer des conflits ou dire quelque chose d'inapproprié. Collecter le Qi, c'est faire du mal à d'autres personnes en personne, comme jurer, frapper et voler. Le Maître a dit dans le Zhuan Falun :
- «(...)Si vous ne le croyez pas, nous pouvons faire un test: lorsque quelqu’un veut vraiment voler votre qi, restez là debout et laissez-le faire en imaginant que le qi de l’univers s’engouffre en vous pendant que lui vous le vole par derrière. Voyez comme c’est avantageux, il vous aide à purifier plus rapidement votre corps et vous épargne la peine de faire chong guan.(...) »
J'ai alors réalisé que lorsque j'étais blessée par les autres, je devais me comporter selon les critères du Xinxing d'un pratiquant. Lorsque je tolère quelque chose de dérangeant, je me sacrifie. En faisant cela, le Maître m'aidera à accélérer la purification de mon corps.
De plus, le Maître a dit dans le Zhuan Falun :
- (…) Les voies de cultivation des écoles de Bouddha et du Tao sont orthodoxes, non pas parce que la nature de l’univers se conforme à celles-ci, mais au contraire parce que ce sont elles qui se conforment à la nature de l’univers. Si la cultivation et la pratique des méthodes de la Porte singulière se conforment aussi à la nature de l’univers, alors elles ne sont pas des Lois perverses, elles sont aussi des Lois justes, car la nature de l’univers est le seul critère pour juger ce qui est bon ou mauvais, bien ou mal.(...) »
Cet enseignement du Fa m'a éclairée. Si notre façon de penser est conforme à la caractéristique de l'univers, nous cultivons la loi juste. Si notre façon de penser n'est pas conforme à Zhen-Shan-Ren, nous pratiquons peut-être une voie perverse sans le savoir.
C'est pourquoi, lorsque nous étudions le Fa, nous devons essayer de comprendre les connotations, et pas seulement le sens littéral. Lorsque nous cultivons dans la réalité, nous ne devons pas nous contenter d'examiner les défauts des autres. Au contraire, nous devons vraiment cultiver dans l'école orthodoxe.
Dafa a des connotations sans limites. J'ai toujours eu un grand plaisir à pratiquer Dafa. J'en suis fière.
Veuillez signaler avec bienveillance tout ce qui ne serait pas en phase avec le Fa.
Version chinoise : www.zhengjian.org/node/272834
Traduit de l’anglais de : https://www.pureinsight.org/node/7714
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