Les pratiquants de Falun Dafa ont organisé une série d'événements pour commémorer le 23e anniversaire de l'appel pacifique du 25 avril. Ces événements ont eu lieu le 23 avril devant l'ambassade de Chine à Stockholm, près du consulat de Chine à Göteborg et à côté du Musée Nobel. A cette occasion, ils ont expliqué aux gens ce qu'est le Falun Dafa et comment le Parti communiste chinois (PCC) le persécute. Ils ont également appelé le monde à mettre fin à ce crime contre l'humanité.
Des pratiquants ont fait une démonstration des exercices de Falun Dafa sur la pelouse en face de l'ambassade de Chine à Stockholm le 23 avril. Un pratiquant s'est adressé à l'ambassade via un haut parleur en lisant une lettre ouverte, et a conseillé au personne de distinguer le bien du mal et de prendre ses distances avec le PCC. Les pratiquants ont dénoncé la persécution du PCC et les atrocités de prélèvement d'organes sur des pratiquants de leur vivant.
L'atmosphère calme et paisible de leur manifestation a attiré l'attention de nombreux passants. La plupart des gens qui passaient ont ralenti pour lire les banderoles et prendre des documents d'information. Certains conducteurs ont klaxonné pour montrer leur soutien. De nombreuses personnes ont pris des photos ou des vidéos, et des jeunes on salué et fait des gestes de main à l'intention des pratiquants afin de montrer leur soutien. Certains passants ont parlé avec les pratiquants et ont demandé plus d'informations.
Johanna, de Göteborg, a commencé à pratiquer le Falun Gong en 1999. Elle a déclaré : "Bien que de nombreuses personnes en Suède sachent que le PCC persécute le Falun Gong, les gens n'en savent pas assez sur la vraie nature du PCC. Nous devons continuer et leur faire comprendre la vérité en profondeur."
Thomas, l'un des organisateurs de cet événement, a remarqué que de nombreux passants étaient très disposés à recevoir des informations. "Ils ont exprimé leur compréhension et leur soutien à notre appel pacifique à la justice."
Un pratiquant qui a participé à l'événement a déclaré : "La persécution dure depuis 23 ans. Nous demandons la fin de cette persécution. Nos activités visant à dénoncer la persécution du PCC et à clarifier la vérité se poursuivront jusqu'à ce que la persécution prenne fin."
À une heure de l'après-midi, les pratiquants se sont rendus au Musée Nobel dans le centre de Stockholm pour faire les exercices, afficher des panneaux d'information et recueillir des signatures. Ils ont parlé à la population locale et aux touristes de l'appel pacifique du 25 avril, de la persécution menée par le PCC depuis près de 23 ans et de la manière dont le PCC prélève des organes sur les pratiquants à des fins lucratives. De nombreuses personnes ont signé la pétition pour soutenir la fin de la persécution.
Deux sœurs américaines ont remarqué que des pratiquants faisaient des exercices. Elles se sont arrêtées et ont discuté avec eux pendant un long moment. Lorsqu'elles en ont appris davantage sur le Falun Gong, elles ont pris l'initiative de signer la pétition.
Elles ont expliqué qu'elles avaient vu une tournée en voiture que les pratiquants avaient organisée aux États-Unis pour clarifier la vérité et exposer la persécution du PCC. La beauté du Falun Dafa leur a laissé une profonde impression.
Une des sœurs a dit : "Je ne m'attendais pas à rencontrer des pratiquants en Suède. Vous diffusez les messages de diverses manières dans le monde entier, vous faites connaître aux gens les crimes commis par le PCC et vous aidez les gens à prendre conscience de la nature du PCC. C'est vraiment incroyable. Le PCC a fait tellement de mauvaises choses, et nous souhaitons tous qu'il disparaisse le plus vite possible."
Contexte : Qu'est-ce que l'appel du 25 avril ?
Le Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong) a été présenté pour la première fois au public par M. Li Hongzhi à Changchun, en Chine, en 1992. La discipline spirituelle est aujourd'hui pratiquée un peu partout dans le monde. Des millions de personnes ont adopté les enseignements - en guidant leurs vies selon les principes de la sincérité, la compassion et la tolérance et en pratiquant cinq exercices doux - ils ont constaté une amélioration de leur santé et de leur bien-être.
Les 23 et 24 avril 1999, des agents de police de Tianjin, une ville proche de Pékin, ont agressé et arrêté des dizaines de pratiquants qui s'étaient rassemblés devant les bureaux d'un magazine pour discuter des erreurs contenues dans un article récemment publié qui attaquait le Falun Dafa . Lorsque la nouvelle de ces arrestations s'est répandue et que de plus en plus de pratiquants se sont adressés aux responsables, on leur a dit qu'ils devaient faire appel à Pékin.
Le lendemain, le 25 avril, quelque 10 000 pratiquants de Falun Dafa se sont spontanément rassemblés devant le bureau central des appels à Pékin, comme les fonctionnaires de Tianjin le leur avait suggéré. Le rassemblement s'est déroulé de manière pacifique et ordonnée. Plusieurs représentants du Falun Dafa ont pu rencontrer le Premier ministre chinois, Zhu Rongji, et des membres de son équipe. Ce soir-là, les préoccupations des pratiquants ont reçu des réponses. Les pratiquants arrêtés à Tianjin ont été libérés et tout le monde est rentré chez soi.
Mais Jiang Zemin, ancien chef du PCC, a perçu la popularité croissante de la discipline spirituelle comme une menace pour l'idéologie athée du PCC et a émis un ordre d'interdiction du Falun Dafa le 20 juillet 1999.
Minghui.org a confirmé la mort de milliers de pratiquants du fait de la persécution, bien qu'en raison de la censure de l'information, on estime que le nombre réel devrait être beaucoup plus élevé. Un grand nopmbre d' autres ont été emprisonnés et torturés pour leurs convictions.
Il existe des preuves concrètes que le PCC approuve le prélèvement d'organes sur les pratiquants détenus, qui sont assassinés pour alimenter la florissante industrie des greffes.
Version anglaise :
https://en.minghui.org/html/articles/2022/4/29/200101.html
* * *
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.