Suite à la récente publication d’un rapport d’enquête mis à jour sur le prélèvement forcé d’organes sur des prisonniers d’opinion en Chine, de plus en plus de médias de la société occidentale couvrent les atrocités commises par le régime communiste chinois.
Le 25 juillet, le site d'Information Santé du Figaro, publiait un article intitulé : "En Chine, 90 000 greffes clandestines font tourner des hôpitaux entiers "
" Quelle est l'origine de ces organes dans un pays où, culturellement, il est important que le corps soit enterré entier? Les autorités évoquent «des prisonniers condamnés à mort ayant donné leur consentement». Une explication qui ne satisfait ni l'Organisation mondiale de la santé, pour qui le jugement d'une personne incarcérée n'est pas «libre et éclairé», ni David Kilgour: «Ça ne colle pas. Il faudrait un nombre considérable d'exécutions pour pouvoir fournir autant d'organes dans des délais aussi court». Selon l'avocat, «la majorité des organes sont prélevés sur les prisonniers de conscience pratiquants du Falun Gong».
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Le Falun Gong (aussi appelé Falun Dafa) est une philosophie de vie visant à garder le corps en bonne santé et la conscience en éveil. Introduite en 1992 aux populations par le professeur Li Hongzhi, cette pratique séduit près d'un Chinois sur 12 à la fin du XXe siècle. Un engouement qui ne plaît pas à Jiang Zemin, premier secrétaire du parti communiste alors en place, demandant l'arrestation des pratiquants du Falun Gong du pays dès 1999. Depuis, ils remplissent les prisons chinoises comme le rapporte Amnesty International. "On pense que des millions d'entre eux sont derrière les barreaux. C'est très difficile de donner un chiffre précis, le système carcéral chinois est très opaque», explique David Kilgour. "
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