La persécution contre le Falun Gong a commencé à cause de la jalousie et de la paranoïa du dictateur chinois Jiang Zemin, elle dure depuis plus de quatre ans. Au cours de ces quatre années sanglantes, il y a eu au moins 870 cas vérifiés de pratiquants de Falun Gong morts à cause de la persécution. En même temps, le régime de Jiang a étendu sa diffamation et persécution du Falun Gong hors de la Chine. Ces jours derniers, le régime de Jiang a causé des incidents en France à l’encontre des pratiquants de Falun Gong pacifiques, il a bafoué– idéaux chers aussi bien au peuple français qu’au peuple chinois.
Du 24 au 26 janvier, avant la visite du président chinois Hu Jintao en France, plusieurs dizaines de pratiquants de Falun Gong venant d’Angleterre, d’Allemagne, de France, de Taiwan et de Norvège ont distribué des imprimés expliquant les faits à propos du Falun Gong et de la persécution ou se sont simplement promenés dans les rues de Paris en portant des écharpes avec les mots « Falun Dafa ». Ils ont été emmenés au poste de police, leurs passeports ont été vérifiés et on leur a confisqué leurs documents. Ils ont été relâchés après quatre quatre heures de détention. Certains pratiquants ont été emmenés sans avoir fait quoi que ce soit, sans même porter un vêtement ou un signe indiquant leur appartenance au Falun Gong. La police française a même procédé à la fouille d’une pratiquante allemande. Le public français a été atterré en entendant ce qui s’était passé. Lorsque les pratiquants ont été relâchés, la police a consigné dans ses registres « aucun motif » sous « motif de la détention ». Des policiers ont admis que leur action était plutôt mal à propos. Plusieurs policiers ont dit avec impuissance : « C’était un ordre venant d’en haut, ils doivent penser à l’économie française. »
Ce comportement inhabituel de la police française a clairement été mené sous la coercition du régime de Jiang. Un membre de la communauté de Chinatown a dit : « Si on remonte quelques mois en arrière, l’ambassade de Chine a continuellement dit au gouvernement français, à la police et aux Chinois locaux que les pratiquants de Falun Gong causeraient des troubles pendant le défilé du Nouvel An Chinois et la visite de Hu Jintao. » Les Chinois locaux ont vraiment été la cible des diffamations du régime de Jiang. Mais les activités des pratiquants de Falun Gong ont toujours été pacifiques, un fait largement reconnu, ils ne causeraient jamais de « troubles ». Au contraire, c’est le régime de Jiang, responsable de la répression sanglante du Falun Gong, qui crée des troubles sur le sol français, pays qui chérit la liberté, l’égalité et la fraternité.
Avant cet incident, le régime de Jiang a sans cesse forcé les gouvernements démocratiques à entraver les activités légales et pacifiques des pratiquants de Falun Gong. En avril 2002, lors de la visite du dictateur Jiang Zemin en Allemagne, pour éviter de voir les pratiquants, il a submergé la police allemande d’une bonne dose de mensonges calomniant le Falun Gong. Ceci a fait que la police de Berlin a mal réagi quand elle a vu des pratiquants de Falun Gong portant des écharpes jaunes. Ils ont interdit aux pratiquants portant des écharpes jaunes d’être le long du chemin emprunté par le cortège de voitures de Jiang, parmi d’autres actions inappropriés. Par la suite, les pratiquants ont rencontré à plusieurs reprises le ministre des affaires intérieures de Berlin, exposant la persécution dont sont victimes les pratiquants de Falun Gong en Chine, ainsi que les principes guidant le Falun Gong : Vérité-Bienveillance-Tolérance et sa nature pacifique. Après enquête et vérification auprès de nombreuses parties, le gouvernement de Berlin a publié une excuse formelle écrite aux pratiquants en décembre 2002, promettant que semblable épisode ne se reproduirait plus.
En juin 2002, lors de la visite de Jiang Zemin en Islande, le gouvernement islandais a refusé l’entrée à des pratiquants de Falun Gong sur la base d’une liste de noms apparemment fournie par le régime de Jiang. Cela a provoqué une tempête, conduisant le premier journal islandais à faire paraître quatre pleines pages d’excuses aux pratiquants de Falun Gong titrées avec les mots chinois « Nous sommes désolés » et en anglais « Excuses aux pratiquants de Falun Gong ». L’annonce était le fait de plus de 450 personnes, dont des membres du Parlement islandais et des personnalités éminentes, déclenchant une onde de choc dans tout le pays. Les citoyens islandais ont fait trois jours de protestations à grande échelle, montrant que la politique du gouvernement de refuser l’entrée à des manifestants du Falun Gong avait amené la honte sur le peuple islandais. Sous la pression exercée par le public, le gouvernement islandais s’est laissé fléchir et a autorisé l’entrée des pratiquants de Falun Gong.
Le dernier incident en France est une répétition du comportement répréhensible du régime de Jiang en Allemagne et en Islande. Ils utilisent les intérêts économiques pour séduire et menacer les gouvernements démocratiques. Bien sûr, les membres de la délégation du gouvernement chinois concernés doivent aussi porter responsabilité de cette action réprimant la conscience au profit du gain personnel. La France est un pays démocratique et les actes de quelques représentants français vont à l’encontre de la confiance que le peuple français a placée en eux..
Mais les actions du régime de Jiang n’arriveront pas à stopper les appels pacifiques des pratiquants de Falun Gong. Selon AFP, plus de 650 pratiquants de Falun Gong et des militants des droits de l’Homme provenant de partout en Europe se sont rassemblés à Paris le 25 janvier pour protester la persécution contre le Falun Gong. Un porte-parole de la police parisienne a dit que les manifestants venaient de divers pays comme l’Autriche, l’Angleterre, l’Allemagne, la Russie, l’Australie et d’autres. Ils portaient des signes tels que « Falun Gong est pacifique » et « Amenez Jiang Zemin devant la justice ». Ils ont défilé au centre de Paris et étaient très ordonnés, comme on pouvait s’y attendre.
Le but du régime de Jiang n’est pas seulement de diffamer les pratiquants de Falun Gong. Ils veulent créer des conflits entre les pratiquants de Falun Gong et d’autres fonctionnaires du gouvernement chinois, dans l’espoir que ces fonctionnaires deviennent leurs complices dans cette persécution et qu’ils partagent leurs activités criminelles. Mais leurs efforts sont vains. Les pratiquants de Falun Gong protestent seulement contre ceux qui sont sous le contrôle de Jiang qui a commencé et mené cette persécution, ils traitent Jiang Zemin et l’actuel président chinois différemment. Lorsque Wen Jiabao a visité les États-Unis à la fin de l’année passée, les pratiquants de Falun Gong ont déployé des banderoles déclarant : « Bienvenue à Wen Jiabao en visite aux États-Unis » et « Punissez sévèrement Jiang Zemin ». Le fondateur du Falun Gong, M. Li Hongzhi, a dit dans un interview à la NTDTV concernant cette question : « Ce que nous sommes simplement en train de faire, c’est nous opposer à cette persécution, la chose la plus importante est que nous sommes en train de viser l’instigateur responsable de cette persécution. » Cette fois, lors de la visite de Hu Jintao en France, les pratiquants de Falun Gong veulent seulement amener Jiang devant la justice, il n’y a pas de tel plan pour Hu Jintao – la distinction est très claire. Jiang Zemin et ses complices ne peuvent plus se cacher derrière le gouvernement pour échapper à la condamnation. Jusqu’ici, ils ont été mis en poursuite judiciaire dans six pays différents avec accusation de génocide. En même temps, 15 représentants chinois, dont Jiang Zemin, sont sur la liste de recherche de la police canadienne. Ce qui attend Jiang et ses complices est la justice rendue par la loi.
Cet incident en France est un autre cas de la persécution du Falun Gong par le régime de Jiang, il a fourni aux pratiquants de Falun Gong une bonne opportunité de clarifier la vérité au public français et aux représentants français. Ceux qui ont compris la vérité verront sans l’ombre d’un doute les actions pitoyables du régime de Jiang pour ce qu’elles sont et ils se tiendront au côté de la justice.
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