Un nouveau sprint pour recueillir des signatures pour les pétitions de DAFOH (Docteurs contre le prélèvement forcé d’organes) et la dénonciation de Jiang Zemin, l’ancien chef du Parti communiste chinois auteur de la persécution génocidaire du groupe spirituel le plus populaire dans les années 90 dans ce pays, a été organisé dans les résidences étudiantes de la Faculté de médecine de Bucarest en Roumanie, le 1er novembre 2015 ;
Suite au précédent évènement tenu au même endroit, de nombreux étudiants étaient bien au courant et sont venus directement cette fois-ci pour signer.
Les photos ci-dessous rendent compte mieux que des mots de l’intérêt et du sérieux que ces jeunes personnes, futurs médecins, et pas seulement eux, ont mis à dénoncer les crimes contre l’humanité perpétrés par le régime communiste, allés jusqu’à prélever de force les organes de ses propres citoyens avec l’approbation du gouvernement.
Quelque unes des remarques des signataires :
"Comment estimer la valeur des organes?! Quel prix pourrait-on mettre sur le corps humain dont la valeur est infinie."
"Incroyable qu’une pareille chose ait pu arriver et se poursuivre aujourd’hui ! ... Rappelons nous aussi, ici dans notre pays les faits du communisme..."
"J’ai lu que le Parti communiste chinois a investi d’énormes sommes pour calomnier le Falun Gong."
"Que de malheurs arrivent dernièrement !"
"C’est formidable que vous fassiez cela !"
Madame, excusez-moi, je vais manquer mon train!
Un homme d’âge moyen, s’inquiétait qu’en faisant la queue pour signer les deux pétitions, il arrive trop tard à la gare pour attraper son train, après s’être demandé un moment s’il était approprié de demander la permission de signer avant les autres, il a finalement imploré : Madame, excusez-moi, je vais manquer mon train !
Il nous est apparu que ce respectable monsieur, évaluait l’urgence de faire ce qu’il pouvait pour aider l’humanité souffrante face à son propre intérêt et qu’il aurait manqué son train plutôt que cette opportunité d’exercer sa responsabilité civique.
La gratitude visible sur son visage en saisissant cette opportunité a contribué à renforcer notre détermination à toucher chaque cœur en Roumanie.
Alors que la nuit tombait sur les scènes accablantes révélées sur les bannières déployées, les jeunes gens ont resserré les rangs attendant patiemment de se positionner pour le futur. Un futur sans mensonges, sans crime et sans tortures, un futur de bonté, de justice et de sagesse.
Le temps presse et l’Histoire n’attend pas. Nous nous efforçons d’être à la hauteur pour le bénéfice de tous.
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