République tchèque : Informer touristes et habitants des graves violations des droits humains perpétrées en Chine

Les 17 et 18 juillet 2015, les pratiquants de la République tchèque se sont rassemblés près du Château de Prague, où se trouve la résidence officielle du président, afin d'informer touristes et habitants des graves violations des droits humains ayant cours en Chine.

Ils ont pour ce faire déployé des posters à même le sol, présenté une simulation de prélèvement forcé d'organes, et recueilli des signatures de soutien. Leurs activités se sont achevées par une veillée aux chandelles.

Déployer des posters les 17 et 18 juillet 2015 à Prague

Lorsqu'une famille de trois parmi les touristes chinois, a entendu parler de quitter le PCC et ses organisations affiliées, la femme a dit : "Nous consultons souvent des sites Internet étrangers grâce à un logiciel permettant de contourner le pare-feu Internet. Nous avons lu vos documents par le passé. Jiang est pourri jusqu'à la moelle et aurait dû être arrêté il y a longtemps."

Tous les trois ont accepté de démissionner des organisations du PCC, y compris la Ligue de la Jeunesse et les Jeunes Pionniers.

S'informer sur le Falun Gong et signer une pétition appelant à la fin de la persécution

Deux jeunes gens, l'un de Shanghai et l'autre de Guangzhou, participaient à un circuit touristique de 17 jours. "Pourquoi y-a-t-il des pratiquants de Falun Gong sur les sites touristiques partout où nous allons?" a demandé l'un d'eux.

"C'est parce que cette information est pour vous d'une importance cruciale, et que vous n'avez aucune chance d'en entendre parler à votre retour en Chine," a répondu une pratiquante. Elle a expliqué comment Jiang et le PCC diffament le Falun Gong, persécutent les pratiquants, et comment ils ont fait en sorte que tant de Chinois ignorent leur propre conscience.

Les deux jeunes ont accepté de quitter le PCC et ont pris des dépliants. "Vous avez ensoleillé ma journée," a dit l'un d'eux en remerciant. "J'espère vraiment que ce type [Jiang] fera bientôt face à son destin."