Les samedis 26 juillet et 2 Août 2014, les pratiquants des Bouches-du-Rhône ont tenu un stand d'information à Arles et à Aix-en-Provence, afin de sensibiliser habitants et touristes sur les atrocités de prélèvement forcé d’organes en Chine.
Arles
Arles, 3ème ville des Bouches du Rhône et plus grande commune de France, est aussi une ville d’art et d’histoire, classée par l’UNESCO au Patrimoine mondial de l’Humanité. Le samedi 26 juillet les pratiquants ont installé leur stand à proximité immédiate des Arènes, site touristique très fréquenté.
Un indonésien vivant à Arles, n’arrivait pas à croire ce qu'il voyait sur les panneaux, ne comprenant pas ce qui pouvait justifier tant de cruauté. L’homme est resté longtemps à lire l’information affichée, il est reparti avec de la documentation, assurant qu’il allait se renseigner davantage en rentrant chez lui.
De nombreux passants ont exprimé leur indignation en apprenant des faits dont beaucoup entendaient parler pour la première fois et ont signé la pétition.
Aix en provence
Le samedi 2 Août 2014, les pratiquants se sont retrouvés de nouveau sur le Cours Mirabeau, dans le centre ville, pour informer résidents et touristes de la réalité de la situation en Chine.
Cet endroit d’Aix est particulièrement passant, et les panneaux ont largement attiré l’attention. Les gens ont signé la pétition et exprimé leur soutien pour mettre fin à la tragédie survenue en Chine, y compris certains chinois qui ont pris la documentation.
Parmi les signataires de la pétition Médecins contre le prélèvement forcés d'organes (en anglais DAFOH, Doctors against forced organ harvesting), un ancien responsable de l'Association européenne des Droits de l'homme à Bruxelles a entendu, alors qu’il signait, quelqu’un reprendre un terme calomnieux de la propagande chinoise. Il a immédiatement réagi en disant : " Monsieur, Le Falun Gong ce sont des gens bien, qui défendent les Droits de l'Homme ! Ce sont des gens honnêtes ! S'ils voient que vous avez perdu un billet de 100 €, ils vont courir derrière vous pour vous le remettre. Des gens comme ça, il devrait y en avoir davantage dans la société !". L'homme a finalement accepté un dépliant et est resté un long moment à lire l’information sur les panneaux.
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