Observant l’habitude formée tout au long de l’année de réticence à pratiquer les exercices, je me suis récemment résolu et j'ai promis au Maître que je continuerai à pratiquer chaque jour. Si j’ai du temps pour dormir, j’aurais du temps pour pratiquer.
Je me connais moi-même, il ne reste que cette façon qui puisse me faire dépasser la paresse de la réticence à pratiquer. Pour réaliser l’honnêteté et éviter de décevoir le Maitre, j’ai vraiment réussi à pratiquer chaque jour depuis.
En premier lieu, ça n’est pas dur de persister à pratiquer. Ce qui est difficile est de faire cette promesse, la promesse au Maître. Une fois la promesse énoncée ou clairement écrite, la bataille est déjà gagnée à moitié.
Ce n’est que maintenant que je sais que je ne devrais pas simplement surmonter la paresse d’être réticent à pratiquer, mais m’encourager moi-même à déterminer mon esprit, avoir le courage de prendre une juste décision, avoir le cran d’écrire la décision et avoir le courage de croire. Puisque c’est une promesse au Maître, elle se transformera sans aucun doute en faits.
En tant que disciple, faire sérieusement une promesse au maître, c’est assuré que vous pouvez le faire. Ce que je craignais était de ne pas être capable de la tenir et de commette le crime de décevoir le Maitre. En conséquence, je n’ai pas osé faire de promesses toutes ces années. En réalité si je croyais réellement dans le Maître et que le Maître a toutes sortes de moyens pour m’aider à réaliser cette pensée droite, j’aurais dû murmurer au Maître et en appeler à la discipline du Maitre et j’aurais franchi ce seuil beaucoup plus tôt et bénéficié de la pratique beaucoup plus tôt.
J’écris à présent ceci comme une expérience, afin de partager avec mes compagnons de pratique, dans l’espoir que ceux qui ont des attachements comme j’en ai eu puissent prendre la décision dès que possible. Lorsque nous nous décidons, le Maître nous aidera assurément.
Depuis que j’ai tenu ma promesse, J’en ai eu l’effet instantané.
1. Le douleur sur mon corps a disparu, vraiment “léger de la tête aux pieds ”
Pour être honnête, je me suis rarement senti ainsi en plus de dix ans de cultivation. Je me suis une fois demandé : Pourquoi est-ce que je ne me sens pas du tout léger ? Depuis le jour où j’ai pris la décision de pratiquer tous les jours, j’ai senti que mon corps était plus léger qu’il ne l’avait jamais été. Ce statut de légèreté n’est apparu qu’une semaine après que j’ai persisté à pratiquer.
2. Devenir plus énergique, moins besoin de sommeil
Après généralement 4 heures de sommeil, je me réveille naturellement. Cela m’a fait comprendre que ce n’est pas que je n’avais pas le temps de pratiquer, mais que j’avais davantage de temps après avoir pratiqué. Grâce à la pratique, j’ai ressenti " la sagesse est accrue et les capacités renforcées, le cœur est harmonisé et le corps allégé. " (La grande voie de la perfection spirituelle ), Je suis devenu plus énergique, moins endormi et plus efficace en faisant les choses.
En ayant persisté pendant deux semaines, j’ai rêvé que je ramenais un gros bagage. J e sais qu’il contenait mes fonctions abandonnées.
3. État miraculeux en pratiquant
Dans la méditation, après avoir persisté pendant 2 ou 3 jours, je ne pouvais plus sentir mon corps, il devenait si léger et libre que c’était extrêmement confortable. Après avoir finir de pratiquer, pour la première fois j’ai attendu impatiemment le lendemain pour pouvoir pratiquer de nouveau. Dans le passé, après la pratique je ressentais toujours une impression de soulagement : " finalement c’est fini ", comme si j’achevais une tâche pour quelqu’un d’autre. Mais cette fois-ci en pratiquant le Maître m’a fait ressentir le merveilleux de la pratique, augmentant ma confiance que je peux pratiquer chaque jour.
4. Etre capable de strictement veiller sur mon caractère en persistant à pratiquer
Dans la méditation récemment, j’ai expérimenté la douleur qui avait été absente pendant de nombreuses années. J’ai réalisé que j’étais de nouveau à un niveau plus élevé. Je me suis dit dans le bonheur que je ne devrais pas faire de choses qui ne soient pas en accord avec le Fa, sinon le karma serait réduit dans la méditation et c’était douloureux ! Quelquefois lorsque la douleur était difficile à supporter je me souvenais des mauvaises choses que j’avais faites dans la journée, et me dépêchais de m’excuser intérieurement auprès du Maître et promettais de ne pas en faire un précédent.
5. Des miracles sont survenus dans l’étude du Fa
Il y avait une lampe dans la salle à manger à la maison, qui s’éteignait automatiquement trois minutes après que personne ne se soit déplacé. Durant le processus de l’étude du Fa et en écrivant cet article, elle ne s’est jamais éteinte. Hier lorsque j’étudiais le Fa avec des compagnons de pratique, elle s’est éteinte lorsque c’était à mon tour de lire. Elle ne s’est pas rallumée et il faisait vraiment noir dans la pièce mais j’ai découvert une luminosité venant de derrière chaque caractère dans le paragraphe que je lisais, et chaque caractère était clairement visible. Après avoir fini de lire et avoir tourné la tête pour voir le livre de nouveau, la lumière avait disparu et la page entière était redevenue floue. Après quoi la lampe s’est rallumée et ne s’est plus éteinte jusqu’à l’aube.
Le bénéfice de persister à pratiquer est immense. Le changement de son corps inné, le renforcement de ses pouvoirs divins, l’évolution de l’énergie et beaucoup d’autres choses dont nous ne sommes pas conscients. Cela marchera-t-il si nous ne persistons pas à pratiquer ? La cultivation n’est pas la cultivation sans la pratique. Dans une pratique qui cultive à la fois votre nature et la longévité, si vous ne pratiquez pas, comment pouvez vous cultiver la longévité ? Bien sûr il y a des exceptions pour des circonstances spéciales puisque le Maître est là pour nous aider à évoluer, par exemple, ces compagnons de pratique qui ont été persécutés dans les prisons. En fait une des formes qu’ils adoptaient pour s’opposer à la persécution était de persister à pratiquer dans la prison noire sans aucun compromis.
À ce propos, j’aimerais mentionner la situation de la pratique parmi les compagnons hors de chine. Parmi les pratiquants que j’ai vus, certains ne pratiquaient pas attentivement et pratiquaient même une voie perverse inconsciemment ; Certains dormaient en pratiquant et ne ressentaient aucune douleur en faisant la méditation. Un des grands traits est de dormir tout en méditant. Un autre est qu’ils ne savent pas ou n’admettent pas qu’ils sont en train de dormir. Un des pratiquants a admis, seulement après avoir regardé la vidéo que j’avais prise de lui, qu’il n’était pas dans un sommeil général mais qu’il avait complètement abandonné sa conscience principale et était tombé dans un sommeil profond. Et il y avait même quelqu’un qui tombait endormi en faisant le deuxième exercice debout. Avec ses mains tombantes et une expression très laide sur son visage, c’était la conscience subordonnée prenant pleinement avantage du corps.
Certains ne suivaient pas la musique de la pratique. Lorsque Maître disait de glisser vers le haut, ils glissaient vers le bas ; lorsque le Maître disait " joignez les mains" ils faisaient " pressez les mains ensemble devant la poitrine" Qui sait ce qu’il y avait dans leur esprit, où faisaient-ils juste les mouvements avec l’esprit confus. Leurs mains suivaient les mouvements habituels et certains des mouvements étaient sérieusement déformés. Je les ai aidés à rectifier leurs mouvements de nombreuses fois et 80% d’entre eux faisaient la même erreur la fois prochaine en pratiquant, sans même s’en souvenir. Un des pratiquants faisait tourner la roue cinq fois dans le troisième exercice, en dépit de l’exigence de la faire tourner quatre fois, et se basant sur sa méthode de calcul défectueuse, il insistait pour dire qu’il le faisait quatre fois. Il y avait de nombreuses manifestations de mouvements déformés de la sorte, qui me stupéfiaient et semblaient inimaginables. Chaque fois que je le voyais j’aidais à rectifier, mais ce genre de personne continuait à pratiquer dans un état d’hébétude, c’était vraiment pitoyable ! Et il y avait un pratiquant qui parlait avec un membre de sa famille en pratiquant. Le membre de famille était aussi un compagnon de pratique mais il ne venait jamais à la pratique de groupe avec nous toujours occupé qu’il était à d’autres choses.
Les compagnons de pratique hors de Chine devraient traiter sérieusement leur propre pratique.
Depuis que j’ai fait la promesse au Maître, je me suis amélioré et y ai gagné dans chaque aspect, que ce soit le corps, le caractère ou l’étude du Fa. En réalité, lorsqu’on se décide à dépasser le problème dans lequel on était piégé depuis des années, on aura une amélioration et un gain.
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Version chinoise * * *
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