Alors que j'avais environ dix ans, mon père a été gravement blessé et a perdu sa capacité de travailler. Ma mère a dû endosser les responsabilités financières pour notre famille. À cette époque, ma sœur ainée n'avait que 13 ou 14 ans et mon jeune frére 3 ou 4 ans. Durant cette période, la vie de ma famille était très rude. Nous ne mangions pas correctement et ne pouvions nous payer des études. Parfois, ma famille devait élever des porcs et des poulets. Lorsque j’allais à l’école, je devais emporter un sac et trouver de la nourriture pour les porcs. Cette situation m’a donné une forte éthique du travail, mais aussi des maladies. Avant d’avoir quatorze ans, j’ai eu des saignements de nez qui ne s’arrêtaient pas au point de devoir aller dans une clinique, où j'avais besoin de six ou sept injections. Du fait de la piètre condition financière de ma famille, ma mère ne pouvait se permettre d’acheter des suppléments pour aider à fortifier mon corps. Du fait des fréquents saignements, mon cœur n’était pas bon.
J’ai épousé un homme qui m’a très bien traité. Après que j’ai eu une fille, j’attrapais souvent froid. Lorsqu’elle eut quatre ou cinq ans, mon époux a ouvert une petite usine, qui plus tard, a perdu de l’argent et il ne pouvait plus payer ses ouvriers. Il a dû emprunter de l’argent partout et par conséquent, nous avons accumulé de grosses dettes. Nous vivions une vie très frugale. Parfois, il n’y avait pas suffisamment d’argent pour payer l’épicerie et je devais emprunter de l’argent à ma mère. Les amis de mon mari étaient très amicaux et ne l'acculaient pas pour se faire rembourser. Lorsque mon époux partait travailler, j’ai aussi trouvé un emploi facile. J’étais tout le temps inquiète et sous pression. D’une certaine manière, j’ai développé une atrophie cérébelleuse en 1997. Lorsque la douleur me prenait, parfois, je trouvais moins douloureux de frapper ma tête contre le mur. Durant cette période, mes jambes ne fonctionnaient pas correctement et je devais utiliser une canne. Finalement, je n’ai plus pu aller travailler. J’ai emprunté de l’argent à ma mère et à ma sœur pour couvrir mes dépenses médicales. J’ai pris toutes sortes de médicaments et subi des injections, mais rien ne m’a aidé . Je suis allé voir un praticien de médecine chinoise, qui a déclaré : "Votre maladie est trop résistante. Le traitement dure depuis un mois. Les autres personnes ont déjà été soignées, mais votre maladie n’est pas encore guérie. " Il a suggéré que je subisse un examen dans un plus grand hôpital , et il trouverait un rebouteux pour qu’il me voit le lendemain. J’étais d’accord pour les deux.
En rentrant chez moi, je suis passée dans un jardin public et j'ai vu un groupe de personnes y pratiquant des exercices. Je n’ai pu m’empêcher de m'approcher pour regarder. Après un moment, j’ai demandé à l’instructeur : " Qu’y a t-il de bien avec ces exercices ?" Il a répondu : " C’est pour devenir en meilleure santé et rester en forme. " J’ai demandé : " Prenez-vous de l’argent ? " Il a dit : "Non. Vous pouvez venir et partir comme vous le voulez. Si vous voulez apprendre, soyez ici demain à 5h précises."
Ce mois de juillet, je suis allée sur le site de pratique pour apprendre Falun Gong. Ma voisine a aussi créé un site de pratique chez elle le soir. Je suis allée au domicile de Xiaolian et lui ai demandé de m’emmener sur un lieu d’étude du Fa. Avant, j’étais sarcastique à son égard et lui demandais quel type d’exercices elle pratiquait, qui l’empêchait de jouer au mah-jong. Elle souriait mais ne discutait pas avec moi. Ce soir-là, j'ai regardé la cassette vidéo de Maître Li. Lorsque je l’ai vu, j'ai eu l'impression de déjà le connaître et j’ai ressenti un sentiment amical à son égard. Mes larmes ont commencé à couler. Avant de pouvoir finir la conférence, j’ai dû aller dans la salle de bains. En 20 minutes, je suis allé plusieurs fois aux toilettes. Sur le chemin du retour, je me sentais très légère et heureuse.
Ces jours-là, je pratiquais les exercices le matin. Durant la journée et le nuit, j’étudiais le Fa. Mon esprit était rempli du Fa du Maître. Dés que je terminais mes taches ménagères, j’étudiais le Fa et pratiquais les exercices. En un mois, j’ai soudain découvert que mes maux de tête et ma maladie cardiaque avaient complètement disparu.
Je ne savais pas comment remercier le Maître. La seule chose que je pouvais faire était de dire aux gens que je rencontrais dans la rue que Falun Dafa est bon. Xiaolian m’a demandé : "Sœur, que penses-tu de ce Fa?" J’ai répondu : "Extrêmement bon. Merci de m’avoir aidé à apprendre à pratiquer les exercices et pour avoir étudié le Fa avec moi. " Elle a répondu : "Tout est arrangé par le Maître. Etudies-bien le Fa !"
Plus d’un mois a passé, j’ai découvert des cornes (un type de cals) sur le dessus de mes pieds. Lorsque je marchais, cela faisait mal. J’y pensais toujours et ai développé un attachement. Une année est passée et ils n’étaient pas guéris. Lors d’une période de dix jours, j’étais extrêmement occupée au travail et ne rentrais pas à la maison avant 23 heures. J’étais tellement sommeil que je fermais les yeux en me lavant les pieds. Lorsque deux semaines plus tard, j’ai lavé mes pieds, j’ai découvert que les cornes étaient parties. Je suis restée sans voix, et des larmes ont de nouveau roulé sur mon visage. Maître avait enlevé toutes les cornes de mes pieds.
Dés lors, mon corps a été très léger, et je n’ai plus eu aucune maladie. J’étais toujours heureuse. Une fois, mon époux est parti en voyage d’affaires. À cette époque, je restais à la maison avec ma fille. Peu après que mon époux soit parti, ma fille pleurait après son père, et j’avais aussi le sentiment que quelque chose n’allait pas. Je savais seulement demander l’aide du Maître pour protéger mon mari. Une bonne chose était que j’avais souvent dit à mon époux de réciter " Falun Dafa Hao [Falun Dafa est bon] ! " dans son cœur. Il a toujours soutenu mon étude de Falun Dafa et n’a jamais interféré. Le soir suivant, lorsqu’il est rentré à la maison, les premiers mots qu'il a dit ont été "J’ai failli ne pas te revoir." Du fait des conditions pluvieuses, il avait eu un accident de voiture. Alors qu’il était presque arrivé à destination, sa voiture a glissé sur la chaussée mouillée et percuté une autre voiture. La jambe de mon mari était blessée et le conducteur avait des blessures mineures. Les autres passagers dans la voiture étaient gravement blessés et la voiture était fichue. Lorsque mon époux a eu fini de raconter son histoire, j'ai dit : « C’est le Maître qui t’a sauvé ! " Depuis dés que je sortais pour Dafa, mon mari m'a toujours soutenue.
Avant d’apprendre Dafa, j’étais une personne à l’esprit borné. Ma belle-mère me regardait de haut, parce que j’étais malade, j’avais donné naissance à une fille au lieu d’un garçon et ma famille était pauvre. Mon époux et son plus jeune frère vivaient dans une maison, mais le frère voulait cette maison et nous chasser. A cette époque, nous avions de mauvaises relations. Depuis que j’ai commencé à pratiquer Falun Gong en 1997, quoi que je fasse, je considère toujours les sentiments des autres. J'essaie de bien me comporter dans tout ce que fais. Maintenant, je m’entends bien avec la famille de mon beau-frère. Dés qu’il me voit, il dit que je suis devenue une bonne personne. J’entretiens aussi de bonnes relations avec mes voisins.
Falun Dafa a changé mon destin et éliminé mes maladies. Les dettes de ma famille seront bientôt totalement réglées. J’aimerais remercier la grâce et la vertu majestueuse du Maître et mes compagnons de pratique pour leur aide et leur attention.
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Falun Dafa changed my life
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