BERLIN—Clauspeter Koscielny, éditeur et rédacteur en chef du magazine d’opéra Orpheus international, a déclaré avoir été vivifié par la dernière représentation de Shen Yun Performing Arts, le 23 mars, au Centre international des Congrès de Berlin.
“A présent, je suis vivifié et j’ai la vitalité dont j’ai besoin pour cette année et je peux accepter d’avoir à attendre encore un an pour revoir ce spectacle à Berlin,” a-t-il dit.
M. Koscielny a vu le spectacle les années précédentes et n’avait plus besoin d’être convaincu par la beauté et l'étendue de tout ce que recouvre le terme " esthétique" s’agissant de Shen Yun, mais il a découvert cette année un nouvel aspect du spectacle
“Cette année j’ai découvert la poésie dans le spectacle. Tout était parfaitement exécuté, serein, et j’étais dans un état de calme du début à la fin " a-t-il dit.
Bien que le temps à Berlin était froid et les rues encore enneigées, M. Koscielny a dit avoir ressenti le " printemps dans le langage corporel des danseurs, " et que la saison du printemps "ne doit plus être loin, Shen Yun nous ayant fait la grâce de sa présence."
M. Koscielny s’est montré très appréciatif du talent des solistes de bel canto de Shen Yun
“La soprano et le ténor étaient excellents et les autres chanteurs vraiment bien. La pianiste accompagnant les chanteurs était très sensible aux besoins du chanteur,” a-t-il dit.
Lors de l’interprétation des chanteurs, le public peut lire les paroles projetées en arrière-plan en Chinois et dans la langue locale .
M. Koscielny a apprécié ce trait disant que " lire les paroles des chansons était très utile " et qu'elles véhiculaient un message universel transcendant Orient et Occident.
“Elles ne semblaient pas être seulement des pensées orientales mais contenaient comment nous sentons et pensons en Occident. Vous n’avez besoin que d’écouter et laisser la chanson pénétrer votre être," a-t-il dit.
Outre la technique, M. Koscielny a dit qu’en écoutant profondément et en s’ouvrant, on est capable d’expérimenter plus profondément le spectacle.
“On doit absorber le monde de l’autre, c’est-à dire qu’on doit juste s’asseoir et peu à peu absorber ce qui irradie des interprètes. Si on est capable de s’ouvrir, d’ouvrir ses propres sentiments, on s’immerge dans l’aura et on en fait l’expérience profonde”.
Le mélange de la technologie moderne avec l’art ancien rehaussait la performance selon M. Koscielny.
“Les toiles de fond high-tech sont fascinantes. Elles jouent un rôle important dans la réussite de Shen Yun,” a-t-il dit.
La toile de fond numérique de Shen Yun anime les personnages et permet aux publics d’expérimenter toute une variété de paysages comme les hauteurs de l’Himalaya, les vastes plaines de la Mongolie, et des paradis célestes.
Les danses traditionnelles transcendaient l’histoire et la culture et étaient un médium évident d’échange inter-culturel pour M. Koscielny.
“Ce que j’emporterai avec moi c’est que tandis que l’origine des danses est ancienne, elles sont aussi efficaces aujourd’hui qu’elles l’étaient il y a des milliers d’années,” a-t-il dit.
“Ce qui prouve que le langage corporel est un langage universel qui peut être compris par chacun dans le monde.”
“C’est vraiment important parce que nous n’avons pas besoin d’apprendre le Chinois ou l’Allemand pour comprendre ce que Shen Yun veut dire à son public,” a-t-il conclu.
Reportage Alexander Hamrle
Les propos de M. Koscielny ont été traduits de l'anglais.
http://www.theepochtimes.com/n2/shen-yun-on-tour/opera-magazine-publisher-im-invigorated-by-shen-yun-369508.html
New York-based Shen Yun Performing Arts a trois compagnies qui se produisent simultanément dans le monde entier. Pour davantage d’informations veuillez visiter ShenYunPerformingArts.org
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