Réflexions en lisant la nouvelle de la condamnation à 27 ans d’un Serbe Bosniaque pour les massacres de Srebrenica

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Selon le reportage du 2 décembre d’Amsterdam de la journaliste Lauren Comiteau dans VOA (Voice of America), le Tribunal des Crimes de Guerre à La Hague a condamné un occifier serbe bosniaque, l’ancien Capitaine Momir Nikolic, à 27 ans de prison pour avoir participé à des massacres criminels. La condamnation a été encore plus lourde que demandée par les plaignants. Selon le rapport, Nikolic a été le premier officier serbe à admettre son implication et à plaider coupable pour les morts de plus de sept mille hommes et garçons à Srebrenica. Après l’annonce de la condamnation, Nikolic s’est effondré et a pleuré.
Selon le juge, ni les avocats ni les plaignants n’avaient demandé une condamnation suffisante pour payer pour les crimes dont il acceptait la responsabilité. VOA citait la déclaration du juge Liu Daqun : « Il a vu de ses propres yeux la séparation des hommes de leurs familles, il a entendu les pleurs des enfants qui voyaient leur père emmenés, il a vu la peur dans les yeux des femmes poussées dans des bus alors qu’elles savaient ne rien pouvoir pour leurs pères, leurs maris et leurs fils. »

Selon le rapport de VOA, Liu Daqun et d’autres juges croyaient que Nikolic était au centre de l’activité criminelle, et plutôt que de résister aux ordres pour aider à assassiner des milliers d’hommes et d’enfants, il a joué intégralement un rôle actif.

Selon le rapport, Nikolic a plaidé coupable pour une partie de la persécution au début de cette année et a accepté de témoigner contre ses anciens collègues. En échange, les plaignants ont laissé tomber toutes les autres accusations contre lui, y compris le génocide.

Après avoir lu le rapport de VOA, nous pensons à la brutale persécution ayant lieu en Chine, et la torture et le meurtre des pratiquants de Falun Gong conduits par Jiang Zemin et ses groupes criminels ces quatre dernières années. Ces criminels seront bientôt forcés de prendre la responsabilité pour leurs actions.
Selon des statistiques incomplètes par des voies on officielles franchissant la censure du gouvernement chinois, 824 pratiquants de Falun Gong ont été torturés à mort depuis le 20 juillet 1999. Des cas de morts ont été rapportés dans plus de 30 provinces, régions autonomes et municipalités directement sous le Gouvernement Central dans toute la Chine. Selon des rapports du 12 avril 2003 par Minghui.net, les provinces avec le chiffre de morts le plus élevé sont la province de Heilongjiang, la province de Jilin, la province de Shandong, la province de Liaoning, la province de Hebei, la province de Hubei et la province de Sichuan, par ordre décroissant. Parmi ceux qui ont été torturés48% étaient des femmes, et 26,5% des pratiquants âgés, entre 50 et 70 ans. Ce qui en laisse encore beaucoup dont il n’a pas été rendu compte. Selon des statistiques communistes chinoises officielles, à la fin octobre 2001, pas moins de 1600 pratiquants de Falun Gong étaient morts en détention, au moins 6000 étaient illégalement condamnés à la prison, plus de 100 000 avaient été envoyés en camps de travail forcé, et des milliers avaient été torturés dans des hôpitaux psychiatriques par injection forcées de drogues dommageables au système nerveux. De nombreux pratiquants de Falun Gong ont été enlevés et détenus dans des centres de lavage de cerveaux dans différentes régions, où ils sont soumis à la torture mentale. Encore plus sont soumis au coups, aux abus corporels, et à l’extorsion financière par des officiers d’ »application des lois ».

Les noms, les adresses et les details criminels pour ceux qui persécutent illégalement les pratiquants de Falun Dafa sont en train d’être recueillis et enregistrés. Ces criminels seront punis par la loi.


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