Dernière représentation de Shen Yun à la Place des Arts de Montréal, le 6 janvier. (Evan Ning/EpochTimes) |
Cinq représentations à guichets fermés dans la plus grande salle de la Place des Arts : peu d’artistes ou de compagnies peuvent se vanter d’attirer autant de monde. Mais telle a été la réussite de Shen Yun Performing Arts à Montréal en ce début janvier. Créée voici sept ans, la première compagnie de danse classique chinoise au monde voit sa réputation s’étendre chaque année.
Les danseurs de Shen Yun ont tous en commun le désir de faire revivre la véritable culture chinoise et ses valeurs morales élevées.
En effet, la Grande Révolution culturelle a presque totalement détruit 5000 ans de traditions chinoises. Yungchia Chen, l’un des danseurs principaux et chorégraphe de Shen Yun, a grandi en Chine, dans le contexte de la fin de la Révolution culturelle et y a effectué une bonne partie de sa carrière. Selon lui, il n’y a plus de véritable sens à la danse en Chine, qui n’est plus qu’un mélange entre plusieurs types de danse et d’effets spéciaux, sans âme, et bien loin de la culture traditionnelle chinoise.
Autre chorégraphe et danseuse principale de la compagnie, Michelle Ren, reconnaît elle aussi que lorsqu’elle dansait en Chine, elle n’était focalisée que sur ses compétences, tout au plus sur ce que son corps ressentait. Elle n’en a pas moins gagné à cette époque plusieurs prix dans son pays, dont le premier prix dans la catégorie junior du plus prestigieux concours de danse en Chine, celui de la coupe Pêches et Prunes. Personne ne lui avait jusque- là jamais parlé de l’essence de la culture chinoise. C’est après avoir joint Shen Yun que la jeune femme talentueuse a progressivement réussi à comprendre la véritable culture traditionnelle chinoise.
Quant à Angelia Wang, une danseuse principale de Shen Yun de la nouvelle génération, elle estime que la danse de Shen Yun est différente parce que la compagnie demande à ses danseurs d’avoir des pensées positives de manière à se reconnecter à la Chine traditionnelle.
Découvrir ou redécouvrir la Chine
Une petite fille feuillette le programme de Shen Yun dans le lobby de la salle Wilfrid-Pelletier lors de la représentation du dimanche après-midi. (EvanNing/Epoch Times) |
"J’ai l’impression d’être en Chine en ce moment même", a déclaré Sonia Trudel, vice-présidente de la Société du Vieux-Port de Montréal, à l’entracte de la cinquième représentation de Shen Yun à Montréal.
Que l’on soit familier avec la Chine et sa culture ou pas du tout, assister à un spectacle de Shen Yun ce sont deux heures de voyage dans ce grand pays à la découverte ou redécouverte de cette riche culture.
La Société du Vieux-Port de Montréal, fondée en 1981, a pour mission d’administrer les Quais du Vieux-Port de Montréal ainsi que le Centre des sciences de Montréal. La Société a reçu plusieurs prix d’excellence, entre autres, le premier prix Zagat en 2006 pour être la destination touristique montréalaise la plus populaire. Elle emploie jusqu’à 350 personnes en haute saison touristique.
Occupant le poste de vice-présidente dans le domaine des finances, administration et gestion des actifs depuis l’automne dernier, Sonia Trudel a une expérience de 25 ans de carrière en tant que gestionnaire de portefeuilles immobiliers. Son curriculum est impressionnant : elle a par exemple occupé les fonctions de directrice générale de SNC-Lavalin – O&M-Nexacor et de directrice générale de la division immobilière de CBC/Radio Canada.
Mme Trudel a trouvé le spectacle très intéressant : elle a aimé la musique, les toiles de fond, la plupart du temps aussi colorés que les costumes, la synchronisation des danseurs entre eux et avec la décor en projection numérique. Elle s’est dite incapable d’identifier son préféré parmi les 22 tableaux qui composent le spectacle.
"C’est la première fois que je vois un spectacle où ils sont tous synchronisés comme ça", a déclaré Mme Trudel qui connaissait déjà la culture chinoise avant de voir Shen Yun. Ayant elle-même voyagé en Chine.
"Ce spectacle] permet aux gens de découvrir ce qui se passe en Chine et de quoi ça a l’air. Quand vous n’y êtes jamais allé, c’est bon de voir à quoi ça ressemble, parce que beaucoup de gens ont une idée préconçue de la Chine. Si vous y êtes allé, vous pouvez apprécier le spectacle."
"J’ai aussi adoré la première soprano, j’ai vraiment aimé sa voix" a-t-elle dit se référant à la voix puissante de Pi-ju Huang, qui a interprété des rôles principaux dans plusieurs opéras avant de rejoindre Shen Yun Performing Arts.
Gaétan Labonté, mari de Sonia Trudel et directeur du département informatique pour l’entreprise d’acier d’armature Ferneuf a quant à lui été davantage frappé par les scènes d’action, comme Yang Zhi et son sabre, Lorsque les moines Shaolin ont protégé l’Empereur, ou La bénédiction du moine des sables.
La vice-présidente avait offert des places pour ce voyage Chine à son mari et à ses parents, comme cadeau de Noël. Cadeau qui a été très apprécié.
Un ex-député britannique apprécie la grâce et l’espoir de Shen Yun
La neige accumulée à Montréal ne laissait aucun doute sur l'emprise de l'hiver ce 5 janvier après-midi, mais à l'intérieur de la Place des Arts, les spectateurs ont pu sentir la chaleur de Shen Yun Performing Arts.
Après chaque numéro du spectacle joué à guichets fermés, les applaudissements ont fusé dans le théâtre.
Alan Simpson était dans l'assistance. L'ex-député britannique, qui travaille maintenant sur les questions
de changements climatiques, était à Montréal pour visiter sa belle-famille. Lui et son épouse avaient hâte de voir Shen Yun, qui lui avait été hautement recommandé par de bons amis.
"Le spectacle est adorable ... Je pense qu'une des choses que l'Occident ne comprend pas adéquatement, c'est à quel point la culture et l'histoire chinoises sont riches et diversifiées. Le spectacle fait un bon travail pour saisir combien cette culture est vaste et profonde."
M. Simpson a aussi été impressionné par le talent artistique et la spiritualité du spectacle.
"Artistiquement, c'est magnifique. C'est complètement rempli de grâce et notre planète a besoin de toute la grâce qu'on peut trouver", ajoute-t-il.
Établie en 2006, Shen Yun Performing Arts est maintenant considérée comme la plus importante compagnie de danse classique chinoise et de musique au monde. Avec pour mission de faire revivre l'héritage culturel d'inspiration divine, la compagnie basée à New York a donné des spectacles dans plus d’une centaine de villes sur cinq continents.
"N'importe quelle compagnie de n'importe quelle culture qui véhicule un message de paix, de tolérance, de réflexion et de grâce spirituelle devrait être accueillie à bras ouverts", a commenté M. Simpson.
Cependant, bien que Shen Yun voyage dans le monde, elle ne peut se produire en Chine communiste, où l'héritage culturel a été systématiquement réprimé, particulièrement les riches traditions spirituelles qui sont au coeur de la culture. En outre, quelques numéros du spectacle mettent en scène des situations liées à la persécution et à la pratique de méditation Falun Gong en Chine. L’ensemble des artistes de Shen Yun intègre d’ailleurs ce type de méditation dans leur entraînement quotidien.
Durant sa carrière, M. Simpson a œuvré à aider plusieurs pratiquants de Falun Gong dont les familles étaient emprisonnées en Chine. De son point de vue, ce que les «pratiquants de Falun Gong font est essentiellement spirituel, pacifique, artistique et créatif».
En fait, les principes du Falun Gong – Authenticité, Compassion et Tolérance – sont ancrés dans la culture traditionnelle chinoise et pas mal de Chinois ont pu retrouver leur héritage culturel après avoir commencé la pratique.
M. Simpson explique que son message au régime chinois a toujours été que c’est une "grave erreur que de prendre quelque chose qui est spirituel et de tenter de le redéfinir comme si c'était politique ou militaire. Ce n'est pas la paix qui représente une menace à la planète de nos jours, c'est l'absence de paix".
"Accueillez les choses qui remettent les personnes en contact avec leur passé, ce sera un atout et non une menace !" leur dit-il.
Une ancienne directrice de la Banque de Montréal trouve Shen Yun "Fantastique!"
Linda Nicholls (à droite) et Gerry Leroux (à gauche), pendant l'entracte, partagent leurs premières impressions du spectacle de Shen Yun à l’entracte. (Mathieu Côté-Desjardins/Epoch Times) |
Linda Nicholls, ex-directrice de la Banque de Montréal (BMO) et Gerry Leroux, chimiste retraité, ont pu profiter de cette dernière occasion de voir Shen Yun, spectacle de danse traditionnelle chinoise à leur cinquième représentation dans la spacieuse et conviviale salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, située au centre-ville de Montréal.
" C'est fantastique! Les couleurs, les danses, c’est extraordinaire", s’est exclamée Mme Nicholls, l'invitée ce soir-là de M. Leroux, qui porte un intérêt particulier à la beauté et l'histoire de la Chine.
L'ex-banquière n’a pas caché son faible pour 'La bénédiction du moine des sables', qui raconte à travers la danse l’histoire d’ un poisson géant aussi impressionnant que terrifiant, qui menace de jeunes enfants sur la Rivière aux sables mouvants.
La scène est tirée du populaire roman Pèlerinage à l’Ouest. L’histoire raconte le périple d’un moine, sous la dynastie Tang, voyageant jusqu’en Inde pour chercher les textes sacrés bouddhistes et les rapporter en Chine.
Les personnages du Roi des singes et de Cochonnet accompagnent déjà le moine à ce stade de l’histoire et la scène représente la façon dont un troisième disciple, un ogre de rivière, se transforme en "moine des sables" et se joint à la troupe.
Pèlerinage à l’Ouest est un classique de la culture chinoise et bien plus, de même que trois autres livres appartenant aux "Quatre livres extraordinaires", oeuvres de fiction incontournables de la littérature chinoise prémoderne que sont Les trois royaumes, Au bord de l’eau et Le Rêve dans le pavillon rouge.
"Génial, très coloré, très traditionnel et très philosophique", dit de Shen Yun une directrice marketing
Anna Liachenko, directrice marketing, lors de la représentation de Shen Yun à la salle Wilfrid-Pelletier samedi soir. (Courtoisie de NTDTV) |
La directrice marketing d'une société, Mme Anna Liachenko, a déclaré que Shen Yun Performing Arts lui avait offert une poignante réflexion sur la vie, en sortant de la représentation du samedi 5 janvier au soir à la Place des Arts.
"Le temps qui passe, les défis, la philosophie, tout est pertinent si vous pensez à vous-même et comment la vie s'écoule. [Shen Yun] décrit fondamentalement ce processus" estime-t-elle.
Mme Liachenko est la directrice des services stratégiques d'une société de marketing, ZZINC marketing, basée à Montréal. Elle a aussi travaillé à des positions clés au sein de diverses sociétés dans le domaine du marketing, au cours des dix dernières années.
Elle a dit avoir souhaité voir Shen Yun depuis ces derniers trois ans et en avoir finalement retiré une expérience très enrichissante.
"C'était génial, très coloré, très traditionnel et très philosophique", a-t-elle résumé.
Mme Liachenko a dit que les moments du spectacle les plus inoubliables sont les chansons des solistes de Shen Yun qui chantaient en chinois dans le style d'opéra bel canto.
Les paroles sont traduites et projetées sur une toile de fond géante afin que le public puisse saisir leur signification. "J'aime le fait que les mots aient été retranscrits sur le fond d’écran pour que l'on puisse comprendre les paroles", a—elle fait-elle remarquer.
"En plus des paroles [des chansons], cela a été pour moi un réel plaisir de voir un spectacle aussi coloré." Elle a aussi adoré les vibrants costumes de Shen Yun faits à la main. Des centaines de costumes sont mis en valeur par des dizaines d'artistes à chaque représentation.
"Des costumes magnifiques et une danse magnifique. C’est véritablement un spectacle appréciable", a déclaré Mme Liachenko .Disant qu’elle garderait de la culture traditionnelle chinoise l’impression "d'une grande créativité, très traditionnelle et très philosophique".
Shen Yun donne des frissons à une ancienne violoniste et ballerine
Ancienne violoniste et ballerine, Stephanie Nazon épanche son emballement pour Shen Yun qu'elle vient de voir avec délectation. (NTDTV) |
"Chaque minute m'a emportée et valait le coup ! J'ai eu des sensations partout sur mon corps. J'en ai eu des frissons de la première à la dernière seconde", a partagé l'ex-artiste multidisciplinaire.
Shen Yun est supérieur au ballet classique estime celle qui, à son grand regret, a dû arrêter de danser le ballet à la suite d’une blessure au genou.
Du point de vue musical, elle a trouvé que le erhu à deux cordes sonnait plus doux que le violon. "C'est vraiment fluide! On dirait un mélange de tout. Une vraie euphorie comme d'être sur un nuage"
À bien des égards, le erhu diffère des instruments à cordes occidentaux. Joué à la verticale, il est appuyé sur les genoux. Le musicien doit bien tenir les cordes et les faire vibrer. L’archet est coincé entre les deux cordes et la mèche est poussée ou tirée de manière à appuyer sur les cordes. Dans son tambour de bois qui joue le rôle d'amplificateur naturel se rassemblent les résonances.
Jouer du erhu présente de très grands défis. Comme des positions et des pressions différentes sur l'instrument peuvent changer de façon radicale le ton des cordes libres, cela en fait une pratique qui n'est pas à la portée de tout le monde. L'alto de cet instrument permet de jouer dans une gamme musicale de moyenne à haute, ainsi que de basse et moyenne.
La célèbre joueuse de erhu, Xiaochun Qi, avait son propre numéro dans la seconde partie de Shen Yun, appelé 'Destinée sacrée.'
Une soprano exceptionnelle émeut une artiste aux larmes
La chanteuse de jazz et comédienne canadienne Lynne Hamilton a assisté le samedi 5 janvier à la représentation en soirée de Shen Yun à la Place des Arts de Montréal. (Courtoisie de NTDTV) |
La chanteuse de jazz et comédienne canadienne Lynne Hamilton a été émue aux larmes en écoutant l’interprétation émouvante de la soprano Pi-Ju Huang, qui chante avec Shen Yun Performing Arts.
Mme Hamilton a assisté le 5 janvier à la représentation en soirée de Shen Yun et estime que la soprano est exceptionnelle.
"Elle a été saisissante. J'ai adoré. J'ai été émue aux larmes quand elle a chanté", commente Mme Hamilton à l'entracte. Mme Hamilton explique que c’est le message profond de la chanson, Ne perdez pas votre chemin, de même que le talent de la soprano pour transmettre des émotions complexes qui l'ont émue.
"La puissance de sa voix, l'exactitude de ses notes, elle n'a rien manqué et elle a très bien transmis ses émotions avec beaucoup, beaucoup de contrôle", renchérit-elle.
Mme Hamilton est une chanteuse québécoise de jazz et de blues ayant donné des spectacles à travers la province durant près de deux décennies. En 2005, elle a sorti son premier album de reprises jazz "Let it Breathe" et elle travaille actuellement sur un album regroupant ses propres compositions. Elle tient régulièrement des premiers rôles dans des compagnies québécoises de théâtre.
"Elle ne voulait pas gaspiller sa vie", précise-t-elle. "Je crois qu'elle était triste parce que nous gaspillons nos vies et nous nous réincarnons encore et encore. Elle était attristée par cela", lance Mme Hamilton tentant de comprendre la pensée derrière la chanson interprétée par la soprano.
Selon le site web de Shen Yun, les chanteurs utilisent le style lyrique bel canto avec des paroles en chinois, ce qui représente un exploit musical inégalé dans le monde.
"Les paroles sont toutes des créations originales. Imprégnées de réflexions philosophiques sur la vie humaine et de profonds niveaux de compréhension, elles dépassent les frontières des pays, races et cultures et sont chaleureusement accueillies et appréciées dans le monde entier", mentionne le site web.
Le spectacle comporte des numéros de danse et de chant qui cherchent à saisir l'essence de la culture chinoise d'inspiration divine.
Se basant sur son expérience d'actrice dans des comédies musicales, Mme Hamilton a été grandement impressionnée par la coordination précise de Shen Yun entre ses différents éléments comme les projections animées sur fond de scène, les dizaines de danseurs, les accessoires, l'orchestre en direct et des centaines de changements de costumes.
"Je me rappelle avoir conçu des productions et c'est difficile. La façon avec laquelle ils se synchronisent est très remarquable. C'est excellent !", a-t-elle ajouté.
Selon elle, les danseurs ont joué leurs personnages de manière exceptionnelle, présentant toute une gamme d'émotions à travers la danse.
"Ils sont magnifiques. Ils dépeignent très bien leurs émotions, leurs gestes de mains, leurs émotions faciales, particulièrement dans le morceau tibétain où ils sont très heureux et énergiques. Cela a été très, très bien convié aux spectateurs", mentionne-t-elle, ajoutant que les costumes de Shen Yun conçus à la main sont exquis.
"Apprendre l'histoire de la danse en regardant la danse"
L'auteur primé et rédacteur en chef du journal de l'Université McGill, Neale McDevitt, a fait l'éloge de Shen Yun pour sa capacité à raconter l'histoire de la danse classique chinoise.
"Je ne m'attendais pas […] à apprendre l'histoire de la danse tout en regardant la danse. Cependant, d'en apprendre sur l'histoire de la danse chinoise, c'est très intéressant", a commenté M. McDevitt durant l'entracte du spectacle en soirée à la Place des Arts.
"La première partie a été magnifique. Tellement colorée et animée, c'est très impressionnant" ajoute-t-il.
La compagnie, basée à New York, voyage de par le monde avec pour mission de faire revivre les 5000 ans de culture traditionnelle chinoise qui, selon la compagnie, est inspirée par le divin. Les nombreux numéros transportent les spectateurs de la Chine de jadis à celle d'aujourd'hui.
M. McDevitt a mentionné qu'il ne savait pas à quel point la culture chinoise était riche et diversifiée et comment elle pouvait se manifester par la danse.
"J'ai également adoré l'aspect narratif de la danse", mentionne-t-il.
Le père de deux filles dit avoir particulièrement apprécié le numéro intitulé Une rencontre inattendue, qui raconte l'histoire d'un père et de sa fille effectuant un voyage dans la Chine d'aujourd'hui. Alors qu’ils décident de prendre une photo avec un groupe de gens pratiquant la méditation Falun Gong, persécutée en Chine, ils se font envoyer en prison arbitrairement.
"Toutes les histoires père-fille me touchent à un certain point", explique M. McDevitt, ajoutant que sa fille a également aimé le numéro.
Avec l'utilisation des fonds de scène animés, Shen Yun transporte les spectateurs dans la Chine ancienne et les danseurs interagissent également avec l'écran. Le numéro 'La bénédiction du moine des sables', qui est inspiré du roman classique Pèlerinage à l'Ouest, a également impressionné M. McDevitt. "Ce fut merveilleux", conclut-il.
Sources :
http://www.epochtimes.fr/front/13/1/7/n3507747.htm
http://www.epochtimes.fr/front/13/1/7/n3507756.htm
http://www.epochtimes.fr/front/13/1/6/n3507736.htm
http://www.epochtimes.fr/front/13/1/7/n3507750.htm
http://www.epochtimes.fr/front/13/1/6/n3507740.htm
http://www.epochtimes.fr/front/13/1/6/n3507742.htm
http://www.epochtimes.fr/front/13/1/6/n3507739.htm
http://www.epochtimes.fr/front/13/1/6/n3507741.htm
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
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