Sydney: Les atrocités de récolte d’organes indignent les australiens

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Le 19 octobre, les pratiquants ont mis en place un stand à l’extérieur de l’Hôtel de ville de Sydney pour éveiller les consciences sur la persécution de Falun Gong et collecter des signatures pour aider à mettre fin aux atrocités de récolte d’organes sur des pratiquants de Falun Gong de leur vivant par le Parti communiste chinois (PCC).


Après qu’un pratiquant lui ait expliqué les faits sur la récolte d'organes, une dame a examiné toute l'information affichée, elle était en colère et a déclaré : " C’est horrible et absolument barbare." Elle a a brandi le poing en direction d'un policier communiste sur une affiche en s'écriant : "Mauvais homme, mauvais homme ! "


Les pratiquants collectent des signatures dans le centre-ville de Sydney pour éveiller les consciences sur les atrocités de récolte d'organes.

Les pratiquants organisent des événements comme celui-ci, chaque vendredi après-midi de 15 à 18 heures dans le quartier de l'Hôtel de ville, où travaillent de nombreux fonctionnaires . Lors de chaque événement, de nombreuses personnes signent les pétitions pour exprimer leur soutien. Certains disent aux pratiquants : Nous vous soutenons et vous souhaitons de réussir !


Après avoir signé, certaines personnes demandent des formulaires de pétition afin de les faire elles-même signer à leurs collègues et amis. Certains ont dit qu’ils allaient écrire à leur député et demander au gouvernement fédéral d’entreprendre des actions. Deux dames ont commenté : "Notre gouvernement devrait accorder la priorité aux questions des droits de l’homme. Nous ne pouvons pas simplement nous focaliser sur le commerce avec la Chine, et le gouvernement devrait prendre des mesures concrètes pour traiter les questions comme cette persécution.


Un australien d’origine chinoise : C’est une question d’humanité

Un chinois en Australie depuis à peine quelques mois a discuté avec les pratiquants au sujet de la persécution. Après avoir entendu les faits à propos du Falun Gong, et en particulier, l'atrocité de récolte d’organes, il était choqué et réveillé. Il a décidé de quitter immédiatement le PCC et commenté qu’il ne s’agissait pas seulement d’une question morale mais d’une question d’humanité.


Plusieurs touristes chinois étaient en visite en Australie depuis quelques jours. Au début, ils étaient effrayés. Cependant, après avoir entendu la clarification des faits, ils ont pris un exemplaire de Minghui Weekly (Hebdomadaire Minghui).


Des dames d'Amérique latine : La persécution ne devrait pas exister

Après avoir parlé aux pratiquants, deux dames d’Amérique latine ont déclaré: Cette persécution n’aurait jamais dû exister, et les gens dans le monde devraient tous la refuser.


Un australien âgé est venu serrer la main de chaque pratiquant. Il a déclaré que ces derniers avaient travaillé très dur et qu’ils devaient continuer leurs remarquables importants. Il a expliqué aux pratiquants qu’il vivait à Hong Kong depuis plus de 10 ans et connaissait ainsi bien le Falun Gong et savait aussi ce qu’était et ce qu’avait fait le PCC.


En attendant le feu vert, un conducteur a appelé un pratiquant pour signer son nom.


Permission pour le stand

Une des pratiquants, Mme Bai a expliqué au journaliste que le département de police leur avait donné la permission de tenir l’événement après avoir été informé à propos du Falun Gong. " L’hôtel de Ville est un endroit très fréquenté et les intersections qui y mènent sont toujours combles de 15 à 18 heures. Ainsi, lorsque nous avons demandé dans un premier temps l’autorisation d'y tenir un stand pour révéler les prélèvements criminels d’organes en Chine le département de police n'a pas donné son accord. Nous leur avons alors expliqué que des personnes vivantes sont assassinées pour leurs organes, et qu’un pratiquant chinois est tué lorsqu’un citoyen australien demande un organe à un hôpital chinois. Nous leur avons indiqué les sites Internet où ils pouvaient s'informer davantage. Après avoir appris la vérité, le département a approuvé notre demande, a expliqué Mme Bai. "Maintenant, nous devons permettre à chacun d'être informé sur ce crime. "


Mme Bai a déclaré: "Ayant appris la récolte d'organes à vif, de nombreux occidentaux ont été choqués et avaient du mal à croire qu’une telle chose ait pu se produire. Ainsi, de nombreuses personnes signent notre pétition dès que nous venons ici. Bien que nous ne soyons là que pendant 3 heures, nous réunissions à peu près 1000 signatures à chaque fois."


Voici quelques semaines, 10 000 signatures ont été remises au gouvernement de Sydney.

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