Ce que nous faisons pour Dafa devrait venir de nos propres coeurs

J’aimerais brièvement partager ma compréhension sur une simple question qui semble surgir dans beaucoup de choses que les pratiquants de Dafa font actuellement. Beaucoup de pratiquants ont partagé leurs compréhensions sur l’attachement à faire les choses et j’ai apprécié la chance de pouvoir les lire. Comme je le vois, ce que nous faisons aujourd’hui vient complètement de nos propres coeurs et tous les sacrifices que nous faisons, nous les faisons parce que nous choisissons de les faire. Nous donnons le meilleur de nous afin de sauver les êtres face à toutes sortes de pressions, et ce faisant nous déployons notre vertu majestueuse et nous le faisons en fait pour nous-mêmes. C’est nos êtres que nous sauvons et c’est nos Paradis que nous enrichissons, et nous aidons chacun à le faire. Mais combien une personne veut donner, comment il choisit d’équilibrer toutes les choses qu’il fait, c’est sa propre affaire. Il semble qu’il n’est pas nécessaire d’attendre des autres ce que j’attends de moi-même. Pourquoi devrions nous faire pression sur les autres pour qu’ils fassent quelque chose ? Beaucoup de pratiquants insistent que nous devons clarifier la vérité de telle ou telle façon. Mais est-ce une question d’obligation ou est ce quelque chose qui est fait volontairement et vient du cœur d’une personne ? J’aimerais penser que nous ne devrions jamais faire les trois choses mentionnées par le Maître de manière forcée. En tant que particules de Dafa, ce n’est que naturel de le faire et de cette perspective il ne devrait pas y avoir besoin de pousser ou de faire pression entre nous pour que nous fassions les choses. Ma compréhension est que le Maître ne nous a jamais poussés à quoi que ce soit, pourquoi nous pratiquants devrions nous agir différemment s’agissant de cela ? Nous devrions tous être conscients de l’importance des choses que nous faisons aujourd’hui, mais nous ne pouvons pas oublier de nous cultiver nous-même Il peut y avoir de grandes différences entre ce à quoi nous nous éveillons et comment nous percevons les choses, donc les chemins que nous prenons sont arrangés différemment en accord avec cela.
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