Opinions et commentaires

  • Le Vice-ministre de la Santé aide le régime du PCC à dissimuler les atrocités de prélèvements d’organes

    Huang Jiefu, Vice-ministre de la santé, est fréquemment apparu à la télévision chinoise récemment pour promouvoir l’éthique des nouvelles régulations pour contrôler la transplantation d’organes en Chine. En fait, chaque organe que Huang Jiefu a transplanté dans sa pratique de chirurgien de transplantation d’organes, venait d’un entrepôt d’organes contrôlé par le PCC. La source des organes est un secret profondément gardé. Huang Jiefu a menti pendant des années pour couvrir les atrocités de prélèvement d’organes. Les prisonniers condamnés à mort et les pratiquants de Falun Gong détenus dans les camps de concentration sont routinièrement secrètement emmenés pour des prélèvements d’organes. On peut dire que Huang Jiefu a dissimulé les crimes du PCC .
  • Si les organes d'un mendiant peuvent être prélevés alors que ce mendiant est encore en vie…

    Le 21 août 2007, xinhuanet.com a publié un article intitulé "La mort d'un mendiant". Cependant, ils n'ont pas rapporté le fait que Tong Gefei était vivant lorsque les médecins ont prélevé ses organes. Selon l'article publié le 24 juillet par le journal Yangcheng Night, le prévenu Wang Chaoyang a dit au tribunal: "Lorsque les médecins ont prélevé ses organes, Tong a soudainement soulevé son bras et a griffé le bras du médecin. Un autre docteur a ensuite maintenu le bras de Tong. Ils ont rapidement terminé".
  • Le porte-parole de Médecins Contre les Prélèvements d'Organes: "Nous pensons que les plus atroces violations des règles de l'éthique médicale au 21ème siècle ont lieu en Chine – aujourd'hui même."

    Nous sommes alarmés par les rapports venant de Chine de prélèvements d'organes qui sont réalisés contre la volonté et sans le consentement du donneur. Nous sommes fortement inquiets au sujet de l'accumulation de preuves, indiquant que la récente explosion des greffes d'organes en Chine est basée sur des pratiques inacceptables et contre l'éthique médicale. Nous croyons que les plus atroces violations des règles de l'éthique médicale au 21ème siècle ont lieu en Chine – aujourd'hui -même.
  • Communiqué de presse : Matas/Kilgour disent que la nouvelle loi sur les organes en Chine doit être appliquée

    Dans une déclaration, publiée aujourd'hui, David Matas et David Kilgour ont réagi en demandant au gouvernement de la Chine d’appliquer leur nouvelle loi sur les organes. Le gouvernement de la Chine a adoptée une nouvelle loi, vendredi le 6 avril laquelle devait entrer en vigueur le 1er mai. La nouvelle loi interdit la vente d’organes humains pour le profit.
  • Revue de la Société Royale de Médecine : Le Falun Gong, la transplantation d’organes, l’holocauste et nous-mêmes.

    Le nombre de greffes d’organes effectuées en Chine et la vitesse à laquelle ces organes deviennent disponibles ont soulevé des questionnements sur la source des organes dans la communauté internationale. Il est publiquement déclaré que les organes proviennent de criminels exécutés et qu’ils ont donné leur consentement, mais il y a des allégations sur un scénario plus macabre selon lequel ‘’ les prisonniers sont systématiquement soumis à des opérations chirurgicales, spécifiquement pour prélever leurs organes en vue de greffes. Dans cet essai, j’explore la plausibilité de cette déclaration en rapport avec notre connaissance de la complicité de médecins avec des évènements ayant mené à l’holocauste et des détails pratiques sur les greffes d’organes contemporaines.’’
  • Le rôle de l'armée communiste chinoise dans la persécution du Falun Gong

    Le Parti a toujours considéré ses soldats comme la garantie la plus puissante pour soutenir ses façons de faire sans scrupule, et pour ses immenses abus et meurtres du peuple. Le Parti, croyant dans le totalitarisme, s'appuie sur les soldats pour un soutien psychologique et le groupe de Jiang s'appuie sur les soldats pour persécuter le Falun Gong sans retenue. Jiang a ordonné à l'armée de persécuter directement les pratiquants de Falun Gong. Sans la participation de l'armée, il aurait été difficile de maintenir la persécution à son début.
  • Les sources suspectes des organes transplantés en Chine révèlent un crime national orchestré par le Parti communiste

    Cet article inclut les données qui ont été publiées par les agences du gouvernement chinois obtenues grâce à l'investigation de personnes de tous les milieux, de l'Organisation Mondiale d'Investigation sur la Persécution du Falun Gong (WOIPFG) et de groupes d'enquêtes indépendants. Ces informations révèlent les origines hautement suspectes des organes transplantés en Chine; au jour d'aujourd'hui, l'explication la plus raisonnable indique que le régime communiste tient une banque d'organes vivants, qui selon toute vraisemblance consiste en d'innombrables pratiquants de Falun Gong incarcérés dont les organes sont prélevés à la demande
  • Commentaires sur les mensonges du Ministère de la Santé chinois concernant la collecte d’organes sur des pratiquants de Falun Gong en vie (Photo)

    Lors d’un entretien du 11 janvier 2007 avec la BBC, le porte-parole du Ministère de la Santé chinois, Mao Qunan n’a fourni aucune preuve réfutant les accusations selon lesquelles le régime communiste chinois collecte des organes sur des pratiquants de Falun Gong en vie, ni d’explications sur le fait que la Chine refuse de laisser un groupe indépendant d’enquêteurs étrangers entrer dans le pays. Au lieu de cela, il a calomnié Falun Gong et accusé les pratiquants de propager des rumeurs.
  • Exposer les mensonges du PCC à partir de deux éléments d’informations

    Le bilan des droits de l’homme de la Chine qui collecte des organes humains et les vend pour le profit a suscité la condamnation du monde entier. Deux exemples récents extraits des média chinois montrent comment le PCC s’efforce de dissimuler ses crimes de prélèvements d’organes criminels sur des pratiquants de Falun Gong en vie.
  • Qui est le plus cruel, les médecins ou le parti communiste chinois ?

    Ces dernières années, la Chine est rapidement devenue un géant de la transplantation d'organe. En même temps, cependant, elle a également ignoré la provenance des organes transplantés, ce qui a amené la communauté internationale à mettre en cause la légalité de ces sources. Sous la pression d'autres pays, comme dans la crise du SRAS en 2003, le service médical chinois a été forcé de reconnaître que les greffes d'organe illégales existent en Chine. Cependant, ils ont employé tous les moyens nécessaires pour dissimuler les questions clés ...
  • Australie : The Sydney Morning Herald : Les hôpitaux interdisent la formation des chirurgiens chinois

    Deux grands hôpitaux de Queensland spécialisés dans les greffes ont interdit la formation de chirurgiens chinois s'inquiétant que la Chine prenne les organes de prisonniers exécutés. Le Ministre de la Santé Stephen Robertson, a révélé la décision dans une lettre soumise cette semaine au parlement en réponse à une pétition soutenant le mouvement spirituel Falun Gong. Le Falun Gong qui compte environ une centaine de millions de membres de par le monde, a accusé le gouvernement chinois de collecter les organes sur des milliers de leurs membres exécutés ces sept dernières années.
  • Commentaire sur la deuxième reconnaissance par le régime communiste chinois qu’il prélève les organes des “prisonniers exécutés”

    Prenant la parole à une conférence nationale de chirurgiens spécialisés dans les greffes à Guangzhou le 14 novembre 2006, Huang Jiefu, Vice Ministre de la Santé à admis publiquement que les organes humains utilisés pour les greffes en Chine, « A part une petite proportion venant de victimes d’accidents, viennent pour la plupart de prisonniers exécutés. « Cette information a été immédiatement annoncée au monde entier par l’édition du 18 novembre du journal de langue chinoise le China Daily, porte-parole du régime communiste chinois. C’est une tentative de cacher le crime le plus choquant....
  • Soutenir la CIPFG pour une enquête approfondie concernant les prélèvements d’organes sur personnes vivantes pratiqués par le régime communiste chinois

    Un article dans l’édition étrangère du China Daily, porte-parole du Parti communiste chinois (PCC), a admis le 18 novembre 2006, de façon inhabituellement laconique et ouverte que la plupart des greffes d’organes en Chine venaient de prisonniers exécutés. Les prélèvements d’organes du régime communiste sur des prisonniers n’est plus un secret pour personne. Nous sous-estimerions la nature fourbe du PCC si nous nous contentions de penser qu’il admet la vérité du fait de la pression internationale. Le régime essaie de divertir l’attention de la poursuite des prélèvements d’organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants en admettant ce qui est de notoriété publique.
  • Epoch Times : La pratique de prélèvement d’organes et le Parti communiste chinois – Quelle est notre responsabilité ?

    Il se pourrait que le Parti communiste chinois soit soucieux d’améliorer son image avant les Olympiques et ait deviné qu’un simple démenti des prélèvements d’organes pourrait sérieusement nuire à la crédibilité de l’état. Cependant, il est aussi possible que le PCC soit encore plus anxieux d’empêcher toute enquête internationale sur le scandale de la collecte d’organes, en particulier le prélèvement d’organes de pratiquants de Falun Gong complètement innocents de tout crime et qui n’auraient, en premier, lieu jamais du être incarcérés.
  • La collecte illégale d’organes est une excroissance de la persécution du Falun Gong

    En utilisant le prétexte d’examens pour raisons médicales, et autres méthodes trompeuses, ils effectuent des tests sanguin sur les pratiquants de Falun Gong détenus et établissent une banque de données d’échantillons sanguins. Lorsqu’un patient a besoin d’une transplantation, ils entrent les données du patient dans un ordinateur, et lorsque le type de sang correspond à celui d'un pratiquant de Falun Gong dans la base de données, le pratiquant est confirmé comme le donneur ... Le pratiquant est envoyé pour un « examen physique » et anesthésié, puis l’organe est prélevé et transplanté dans le corps du patient. Finalement le corps du pratiquant est brûlé pour éliminer les preuves, cachant pour toujours la vérité au monde.