Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • La police de la ville de Yichun continue de persécuter le pratiquant handicapé Wang Xinchun (Photo)

    Vers les 9 h, le 31 octobre 2005, M.Wang se traînait sur la route pour rentrer chez lui . Une voiture de police du commissariat de police de Fenggou est soudainement apparue. Le chef de police et les policiers ont sauté de la voiture et se sont dirigés vers M. Wang. L'un d'eux a fouillé les poches du manteau de M. Wang Xinchun et il a trouvé des écrits de Falun Dafa, alors il l’a battu. Le visage de Wang Xinchun était enflé et couvert de contusions.Un autre policier Yang Dawei a fouillé la poche droite du pantalon de M. Wang Xinchun et lui a volé sa montre et tout son argent.
  • La police m'a battu et blessé parce que je lisais une brochure

    Le 3 mars 2004, Li Jianbo, Tong Yanhui et deux autres policiers du commissariat de police de Shatuozi ont fait irruption chez moi.En les voyant se diriger vers moi , j’ai mis dans ma poche la brochure que j'étais en train de lire. Ils ont dit : " Qu'est ce que vous lisez? Montrez le nous! " Ils ont pris la brochure et demandé d'où elle venait. Ils m'ont demandé de les suivre. Je leur ai dit que je n'avais rien fait d'illégal et demandé pourquoi je devrais les suivre. Tout de suite, les quatre policiers sont devenus violents. Deux d'entre eux m'ont attrapé par mes bras, un autre a saisi mes cheveux et l’autre a commencé à me gifler le visage. Ils ont également fouillé ma maison. Sans trouver aucune preuve pour m’incriminer, ils m'ont forcé à prendre place dans leur véhicule.
  • Sévère condamnation pour un couple de Panjin détenu dans la province du Liaoning

    Lors d'une rencontre avec son client à la prison municipale de Panjin le 26 décembre, l'avocat a appris que le verdict avait été donné à M. Xin le 16 décembre. L'avocat a soumis la nouvelle plainte de M. Xin le 26 décembre. Cependant, tous les niveaux du système de la Cour du parti ont agi de connivence, ils ont ignoré les faits et obéi à la décision précédente de la cour. Il n'y a eu aucune annonce officielle, ni procès pendant tout ce temps.
  • Aidez à sauver Xu Na, pratiquante de Pékin

    Mme Xu Na est une artiste peintre de 38 ans. Elle a souffert de tortures inhumaines. Elle a été frappée à répétition. Les autorités ont ordonné à sept ou huit détenues de la frapper, de l’attacher en position du double lotus, de la priver de sommeil, et de mettre ses empreintes digitales sur des déclarations de soi-disant " exposition et critique " contre son plein gré. Ils l’ont laissée dehors sur le sol couverte de neige, et ne l’ont pas autorisée à se laver pendant plus d’un mois. Elle est la seule pratiquante dans la prison pour femmes à ne pas avoir été "transformée" et a gagné le respect des gardes et des détenues. Xu Na a été fréquemment transférée d’une équipe à une autre.
  • La persécution de la pratiquante de Falun Gong Mme Wang Jinghao

    En décembre 2000, Mme Wang Jinghao a été envoyée au camp de travail forcé pour femme de Balizhuang situé à Baoding. Elle a refusé de renoncer à sa 'cultivation'. Le chef d’équipe Li Yan, Li Dayong, Chen Jianying, et d’autres personnes perverses ont continué à la torturer et la persécuter sans même connaître son nom. Ils ont commencé en attachant ses jambes avec des cordes de police, l’électrocutant avec un bâton électrique, l’attachant à une planche de bois, et la forçant à rester debout devant un mur pendant quinze jours.
  • Wang Bo raconte comment le PCC l’a trompée, lui a lavé le cerveau et l’a utilisée; 1ere partie ( Photo)

    ‘’ Je réalise maintenant combien ils sont sinistres, pour m’avoir dupée avec des sourires sur leur visage. S’ils m’avaient traité durement, j’aurais pu rester claire d’esprit. Mais chaque fois qu’ils s’approchaient de moi, ils gardaient toujours un sourire rayonnant, cependant les tours qu’ils utilisaient étaient les plus mauvais. Invariablement, ils faisaient tout ce qu’ils pouvaient pour découvrir vos soucis. Lorsqu’ils voyaient que vous étiez inquiet pour votre père, ils tentaient d’atteindre leur but mauvais en prenant avantage de ce point sensible…’’
  • Au camp de travaux forcés de la municipalité de Jiamusi plus de dix pratiquants de Falun Dafa ont été torturés à mort

    Depuis novembre 1999 que le camp de travaux forcés municipal de Jiamusi dans la Province de Heilongjiang a commencé à détenir illégalement des pratiquants de Falun Dafa. Les gardiens, dont He Qiang (homme), Wang Xin (femme), Yu Wenbin (homme), Hong Wei (homme), Liu Hongguang (homme) et Guo Gang (homme) ont déployé tous leurs efforts pour appliquer les ordres donnés par le régime de Jiang Zemin/Luo Gan dans le cadre de la persécution.
  • L’officier de police, Yan Meimin, dans la cité de Xi’an, continue de persécuter les pratiquants de Dafa

    Yan Meimin, le chef de la police du district de Yanta, division du département de la Sécurité nationale de Xi’an a choisi de suivre le régime communiste criminel de Jiang. Il continue de commettre personnellement des crimes contre les pratiquants de Falun Dafa, Li Xiaoyun, Li Xueyi, Sun Shulan et d’autres . Yan Meimin a aussi torturé brutalement le pratiquant de Dafa Sun Shulan, qui distribuait des documents de clarification de la vérité. Sun Shulan est actuellement détenu à l’Hôpital Ankang dans la cité de Xi’an.
  • Un cas de relations familiales détruites par le PCC

    Elle persistait dans sa cultivation, donc la police l’a fait surveiller par son employeur au travail. Son lieu de travail en connivence avec le comité résidentiel et la police l’ont fait surveiller par son fils et sa belle fille chez elle. Sa famille la surveillait 24h/24 et ne l’autorisait pas à étudier la Loi ou pratiquer les exercices. Ils ont détruit les documents de Dafa. De plus, ils ont enregistré des discours diffamant Dafa et lui ont fait écouter les enregistrement à répétition. Ils l’ont frappée, insultée et ont même bailloné sa bouche avec du rubban adhésif . Le fils de Mme Zhao l’a jetée dehors un matin à 6h. Elle est aujourd'hui sans domicile.
  • Les détails sur la mort de la pratiquante Mme Deng Shiying, qui est morte en raison de la torture dans la prison des femmes de la province de Jilin

    Mme Deng Shiying, 42 ans, étaient une pratiquante de Falun Dafa du district de Longtan, ville de Jilin, province de Jilin. Parce qu'elle a refusé de renoncer à sa croyance dans Falun Dafa, elle a été soumise à la torture brutale dans la prison des femmes de la province de Jilin. Elle est morte le 19 juillet 2003. Les gardes de la prison ont donné l’ordre à six ou sept prisonnières, y compris Jin Shunhua (femme), de la battre brutalement. Mme Deng a perdu connaissance. Puis elle ne pouvait plus manger, éprouvait des nausées et vomissait constamment finalement elle est tombée dans le coma pendant une période prolongée. Elle éprouvait de graves douleurs dans tous son corps.
  • Faits de la persécution dans le camp de travail de Handam, en janvier 2006

    Le 13 janvier 2006, le directeur du Camp Zhang Xiuping et le directeur adjoint Wei ont donné des instructions aux gardiens Yao Jainming et Wang Zhiming pour frapper le pratiquant de Falun Dafa M. Ma Junka âgé de 56 ans du comté de Quzhou avec des matraques électriques, le frapper à coup de pieds et le frapper au visage. Les yeux et le nez de M. Ma ont saigné abondamment et son nez a été cassé...
  • L’officier de police, Yan Meimin, dans la cité de Xi’an, continue de persécuter les pratiquants de Dafa

    Le pratiquant de Dafa Li Xiaoyun et son frère Li Xueyi de la Région autonome de Xingxia ont été illégalement arrêtés quand ils étaient en train de distribuer des documents de clarification de la vérité. L’officier de police Yan Meimin les a battus sauvagement, en violation des lois chinoises. Les deux pratiquants sont maintenant détenus dans un centre de détention. Ils n’ont pas de vêtements d’hiver, ni de couverture chaude. Yan Meimin a aussi torturé brutalement le pratiquant de Dafa Sun Shulan, qui distribuait des documents de clarification de la vérité. Sun Shulan est actuellement détenu à l’Hôpital Ankang dans la cité de Xi’an.
  • Li Ping révéle la persécution avant sa mort

    Mme Li Ping de la ville de Dalian, province de Liaoning a été enlevée et emprisonnée à plusieurs reprises pour sa persistance dans la pratique de Falun Gong. Elle a été emprisonnée deux fois dans le camp de travaux forcés de Dalian et a enduré une torture brutale. Elle est décédée le 27 novembre 2005. Le site Clearwisdom.net a diffusé des photos de Li Ping ainsi que la vidéo d’une interview d’elle, avant sa mort.
  • Comment la police de Shenyang torture les pratiquants de Falun Gong (photos de reconstitution)

    Depuis le 20 juillet 1999, les policiers de l'Équipe de sécurité nationale du Département de police de Shenyang de Tiexi ont suivi de près les décrets du régime politique de Jiang-Luo en utilisant toutes sortes de techniques cruelles pour persécuter les pratiquants de Falun Gong Ils sont allés chez les pratiquants pour les harceler, les surveiller et les fouiller; ils ont également pris des pratiquants en otage et ont exigé des rançons. Pour forcer les gens à renoncer à leur foi dans le Falun Gong, la torture est largement utilisée. La police a également procédé à des arrestations illégales sur et à l’extérieur de leur territoire.
  • Le camp de travail forcé de Xinhua dans la province de Sichuan persécute férocement les pratiquants de Falun Gong

    Lu Zhiyong, qui travaillait comme policier forestier dans la province de Shandong, était grand et avait une forte charpente. Il n’a pas coopéré avec les persécuteurs. Il a refusé de répondre à l’appel, de porter l’uniforme de la prison, de chanter les chansons du camp de travail ou de passer les examens écrits. La police du camp a encouragé les détenus à le le frapper et le traîner dans un endroit secret pour une persécution spéciale. 15 jours plus tard, à la suite d'une annonce à la réunion sur les mesures de la persécution violente, les gardes ont utilisé un anesthésiant sur lui. Puis une douzaine de gardes et de détenus l’ont enveloppé dans un drap et sorti de la brigade. A ce jour, personne ne sait où il est.