Nouvelles de Chine, 4940 morts confirmées, Dernières nouvelles, Témoignages individuels, Révéler la persécution, Bureau 610, Mise en scène tragique : l'épisode de l'auto-immolation, Camps de la mort et trafic d'organes, Autres

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  • Le bureau 610 de la ville de Xiamen est derrière la torture à mort d'une pratiquante de 60 ans et l'arrestation de beaucoup d'autres

    La soirée du 27 décembre 2004, les agents du bureau 610 de la ville de Xiamen, province de Fujian et les officiers de police locaux ont arrêté beaucoup de pratiquants de Falun Dafa et ont torturé une pratiquante âgée, à mort.
  • Madame Wang Hongxia de la province Anhui est morte en 2002 à la suite de la torture

    Madame Wang Hongxia était une employée de la centrale électrique de la ville de Huaibei, province Anhui. En octobre 2001, elle a été arrêtée par la police pendant qu’elle clarifiait la vérité. Elle a été jetée dans le 2e centre de détention. Après cinq mois de torture, elle a eu une crise cardiaque et a été envoyée d’urgence à l’hôpital. Une semaine après son hospitalisation, elle est morte à l’âge de 44 ans.
  • Le pratiquant de Falun Dafa, Zheng Libin, souffre d’avoir les tympans déchirés pour avoir été sauvagement battu au centre de détention du district de Haidian, Beijing

    La police a battu Zheng Libin si sévèrement que ses tympans se sont perforés, lui causant une perte majeure de son audition. Il a fait une grève de la faim pendant 12 jours pour protester contre la persécution et il a été gavé plusieurs fois. Pendant le gavage, son nez saignait à profusion et il était extrêmement faible.
  • Mme Yu Shufen, pratiquante du canton de Yi, province de Hebei, est décédée en 2002 des suites de la persécution

    Les autorités locales l’ont prise pour cible après que la persécution ait commencé le 20 juillet 1999. Ils l’ont gravement persécutée quand elle est allée à Pékin lancer un appel en faveur du Falun Gong en 2001. Le "bureau 610 " (1) du canton de Yi avec d’autres gens ont détruit sa maison. Ils ont cassé toutes les fenêtres . Suite au harcèlement et aux abus sans répit mme Yu s'est effondrée phychologiquement. Elle est décédée en 2002.
  • Les pratiquants Jia Zhenjie, Zhang Bingli, et Zhang Wenping du canton de Shenze, province de Hebei, ont été torturés à mort

    Le soir du 30 décembre 2000, des membres de la sécurité publique et du gouvernement du canton de Shenze ont arrêté plus de 80 pratiquants. Ils ont été envoyés au centre de service de Jiaotong pour y subir un lavage de cerveau. Mme Caikun a été vue en train de lire un livre de Dafa et a été brutalement frappée sur les ordres de Jia Yiqian. Jia a ordonné à plus de douze policiers de la frapper pendant plus d’une heure avec des bâtons et des planches.
  • M. Yan Shanzhu, 36 ans, meurt des suites de la persécution

    Pour être allé à Pékin aire appel en faveur du Falun Gong en Janvier 2000. Yan Shanzhu a été condamné à un an au camp de travaux forcés de Changlin, où il a subi de rudes épreuves. Les officiels l’ont torturé en le nourrissant de force avec brutalité, le frappant avec des matraques électriques, le fouettant et le plaçant en cellule d’isolement. Sa santé s’est gravement détériorée et il était couvert de gale. Après sa libération, des fonctionnaires n’ont eu de cesse que de continuer à le harceler. Sa santé ne s’est jamais rétablie et il est décédé le 3 octobre 2004.
  • Confession d’un officier de police: Les pratiquants qui sont sous ma surveillance sont totalement différents de ce que décrivent les médias chinois

    J’ai vu ces pratiquants s’en tenir fermement à leur croyance malgré une pression énorme. Faisant face à leur peine, à de lourdes amendes, à la prison, aux travaux forcés et aux conditions de détention, ils n’ont jamais dénoncé le gouvernement, ni pris aucune mesure extrême envers qui que ce soit. Ils ont simplement affirmé : "Falun Dafa est bon," " Vérité-Compassion-Tolérance est bon," et "Nous sommes persécutés par les forces mauvaises" J’ai pu observer qu’ils offraient leur place aux autres dans le bus, recherchaient les propriétaires des objets qu’ils trouvaient, offraient chaleureusement leur aide aux autres, nettoyaient discrètement les lieux publics sur leur passage, rendaient l’argent en sus lorsqu’on leur en donnait trop.
  • Une autre série de ‘’documents secrets’’

    Aux alentours de la fin décembre 2004, un document interne a circulé au sein de divers bureaux et institutions annexes du Gouvernement de Pékin. Des sources ont dit que les documents n’avaient pas même de tampon officiel, comme si on craignait de laisser des preuves compromettantes. Le titre du document était ‘’Plan organisationnel et résolution sur l’interdiction des [activités] liées au Falun Gong’’, et il ordonnait aux branches gouvernementales d’empêcher les pratiquants de Falun Gong de mener des activités a grande échelle exposant la persécution.
  • Se souvenir de Bi Wenying, un pratiquant de Dafa dans la province de Gansu

    Bi Wenming était intelligent, honnête, aimable et brillant. Il s’était cultivé très diligemment. Il exerça son droit légal d’appel en février 2000. Il voulait dire aux gens sincèrement "Vérité, compassion, patience sont bons ! Falun Dafa est une loi juste !" Pour cela il a été illégalement détenu dans le Centre de détention du comté de Longxi pendant un mois. Il alla à Beijing de nouveau pour faire appel en décembre 2000. Il fut illégalement arrêté à Beijing et détenu pendant encore un mois. Après quoi il fut forcé à devenir sans abri pour échapper à la persécution.
  • Sous la pression de l’ambassade de Chine, la police des Emirats arabes unis empêche les pratiquants de clarifier la vérité à propos du Falun Gong

    Les ambassades et les consulats chinois dans le monde entier interfèrent souvent avec les activités des pratiquants de Falun Gong. La pression exercée sur les autorités locales a amené la police locale, qui ne comprenait pas la vérité, à agir peu sagement. Nous croyons qu’à mesure que de plus en plus de gens et de gouvernements comprendront la vérité à propos du Falun Gong, le monde condamnera largement la conduite coupable des ambassades chinoises.
  • Mme Liu Caiying, pratiquante du Falun Gong de la ville de Weihai, province de Shandong, a été torturée à mort en 2003

    Mme Liu Caiying, 48 ans, a été arrêtée par des membres du bureau 610 local alors qu’elle affichait des affiches du Falun Dafa. Elle s’est mise en grève de la faim en protestation de la persécution, et a été placée dehors, menottée sur une « chaise de fer » (2). Souffrant de la faim et du froid, elle a développé des cloques sanglantes sur les fesses. A la fin, elle était décharnée. Elle vomissait souvent du sang à cause du gavage de force brutal qu’elle subissait. Le docteur de la prison a demandé que le bureau 610 la relâche, mais la requête a été refusée.
  • Mme Wang Ying de la ville de Shuangcheng, province de Heilongjiang, est décédée récemment des suites des tortures subies lors d’une session de lavage de cerveau

    A la fin de l’année 2000, elle fut arrêtée et torturée parce qu’elle s’était rendue à Pékin pour lancer un appel en faveur du Falun Dafa. La police locale l’a arrêtée à Pékin et envoyée au second centre de détention de la ville de Shuangcheng. En session de lavage de cerveau, on lui a extorqué plus de 4000 yuans, et son corps a été gravement blessé. Mme Wang ne s’est jamais totalement remise de ses blessures, et est morte le 9 janvier 2005, après sa sortie du camp.
  • Mme Wu Yuqin de la Mongolie intérieure est morte en 2003 suite à la persécution

    Vers 21h00, le soir du 25 décembre 2003, quatre à cinq policiers ont pénétré de force dans la demeure de Mme Wu. Deux policières l’ont empoignée par le bras et l’on arrêtée. Mme Wu n’a pas pu mettre son manteau et ne portait que ses pantoufles. Elle fut amenée au bureau de la sécurité publique de la ville de Xilinhaote. Le lendemain matin, Mme Wu a été retrouvée morte à l’extérieur du bureau de la sécurité publique. La police a dit que Mme Wu s’était suicidée et a inventé une histoire étrange pour tromper les gens.
  • Un regard sur les efforts du PCC pour promouvoir de nouveau le coup monté de l’auto-immolation

    Parce que l’"auto immolation"est très efficace pour empoisonner l’esprit des gens, le régime de Jiang emploie l'incident mis en scène comme la preuve la plus importante de la légitimité de sa persécution. Ces quelques dernières années, les médias contrôlés par l’État ont fait la propagande de l'incident à plusieurs reprises. Ils ont publié à maintes reprises des interviews suivies avec les soi-disant "participants" . L'auto immolation a même été inclue dans tous les manuels scolaires des écoles primaires. Le PCC a lié l'incident de l’"auto-immolation" à sa propre survie. Ils en ont besoin pour maintenir la persécution inhumaine.
  • CIEFG: La propagande communiste chinoise continue à trouver une audience involontaire en occident

    LONDRES – Des informations déformées et concoctées par le Ministère de la propagande chinois pour son agenda de persécutions à venir, se sont ces quelques dernières années, parfois frayé un chemin jusqu'aux endroits à priori les plus improbables – des articles de médias occidentaux crédibles. Ce dimanche 23 janvier 2005 marque la quatrième année depuis que cinq individus se sont soi-disant auto immolés sur la Place Tienanmen de Beijing. A peine quelques heures après l’incident et jusqu’à aujourd’hui le Ministère de la propagande chinoise a lancé une propagande de haine déclarant que les immolés étaient des pratiquants de Falun Gong