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  • Atrocités commises au moment du Nouvel An dans la prison pour femmes de Harbin, province du Heilongjiang

    Du 21 au 31 décembre 2004, parce que les pratiquantes de Dafa du premier quartier de la prison pour femmes de Harbin ont refusé de coopérer avec l'oppresseur, de porter l'uniforme de la prison ou d'être fouillées, elles ont subi divers types de torture. La prison s'est constituée elle-même comme un centre de lavage de cerveau. Les fonctionnaires adoptent des moyens toujours plus cruels pour torturer les pratiquantes de Dafa.
  • A la prison de Harbin, on stimule le cœur d’une pratiquante sans connaissance pour la torturer de nouveau

    La loi chinoise défend explicitement de pratiquer la torture de la « grande pendaison ». Mais Xu Longjiang et Liu Zhiqiang, les chefs de la Prison pour femmes de Harbin, recourent souvent à cette forme de torture pour persécuter les pratiquantes de Falun Gong. La « grande pendaison » consiste à attacher les mains de la victime dans son dos, avec un bras passant au dessus des épaules et l’autre par en bas. On suspend ensuite la victime en laissant seulement ses orteils toucher le sol. La douleur causée est telle qu’elle s’évanouit rapidement.
  • Zhang Jiawei, étudiant à l’université de médecine traditionnelle chinoise de la province de Heilongjiang, est décédé en 2002

    M. Zhang Jiawei, pratiquant du Falun Dafa, était étudiant à l’université de médecine chinoise traditionnelle de la province de Heilongjiang. Il s’était rendu à Pékin pour clarifier la vérité et valider la Loi. Il fut maltraité par l’administration de son université. Il a subi une pression psychologique énorme et est décédé le 23 novembre 2002.
  • Le professeur An Fentian de l’université de technologie chimique de Pékin est décédé des suites de la torture – Sa femme a été condamnée illégalement à une peine de prison

    M. An Fentian, un pratiquant du Falun Gong et professeur à l’université de technologie chimique de Pékin, et sa femme Chen Haifeng, ont été incarcérés et persécutés parce qu’ils pratiquaient le Falun Dafa. Le professeur An Fentian est décédé le 16 octobre 2004. Sa femme Chen Haifeng a été enlevée et condamnée à des peines de prison à plusieurs reprises. Elle est en ce moment encore en détention.
  • Les persécuteurs de la prison de Jilin ont persécuté Liu Jingxin, pratiquant de Changchun et l’ont laissé avec un corps affaibli et des yeux sans vie

    Au moment où ses proches ont pu lui rendre visite, Liu avait déjà souffert pendant 36 jours, dont 12 jours de torture intense. Il fut menotté au lit pendant trois jours à la suite et les neufs jours suivants ont inclus « assis sur la planche » où il fut forcé à s’asseoir sans bouger d’un millimètre dans la même position pendant 18 heures ou risquer d’être frappé. Il fut aussi sujet à d’autres formes d’abus physiques et mentaux.
  • La pratiquante de Falun Dafa, Mme. Chen Huixuan, est torturée à mort

    Mme. Chen Huixuan était une pratiquante de Falun Dafa de 57 ans. Elle cultivait fermement le Falun Dafa et a été arrêtée par la police à de nombreuses reprises. Elle a été kidnappée et condamnée à 3 ans de travaux forcés au camp de Wanjia. Après avoir été torturée mentalement et physiquement, elle est morte le 21 mars 2005.
  • Ne pouvant supporter la persécution, le mari d’une pratiquante met fin à sa vie

    En 2002, la pratiquante de Falun Gong Zhang Min de la ville de Weifang, province de Shandog, a été rapportée aux autorités lorsqu’elle distribuait des documents clarifiant la vérité. Elle s’est échappée mais son mari Chu Zhiming, qui n’est pas pratiquant, a été emmené par la police. Chu Zhiming ne pouvait supporter la persécution et il a pris du poison pour se suicider. Afin d’éviter la persécution, Zhang Min a quitté la maison et elle est à présent encore sans-abri.
  • Le régime pervers de Jiang, vu à travers la souffrance d'une femme de 70 ans.

    Je suis une femme de soixante dix ans qui a été forcée à être sans abri pendant prés de trois ans, simplement parce que j'ai distribué des dépliants qui exposent les mensonges à propos du Falun Gong . Le 7 janvier 2002, je suis sortie pour distribuer des documents de clarification de la vérité . Tout se passait bien jusqu'à ce que j'affiche un dépliant avec les vœux de Bonne Année sur un mur. Un policier m'a empoignée. Il m'a interrogée et a demandé où j'avais eu le matériel. Je ne lui ai pas dit. Il a dit, « j'ai des moyens de vous faire parler . Je peux vous faire mourir une fois que j'aurai les informations»
  • Quatre pratiquants de Falun Gong des provinces de Zhejiang, Liaoning, Hebei et de la ville de Chongqing, sont décédés de la persécution

    Le bureau 610 du quartier de Xinchengzi, ville de Shenyang et le poste de police de Xinchengzhi ont persécuté des pratiquants avec brutalité. Certains ont été battus jusqu'à la mort. D’autres ont été mutilés. Beaucoup ont été incarcérés illégalement. La persécution les a privés de leur travail, propriété et domicile. Les autorités locales les gardent sous surveillance constante et nombreux sont ceux qui ont été forcés de suivre des séances de lavage de cerveau..
  • Un couple de la ville de Dezhou a été envoyé aux camps de travaux forcés ; leur fils de 10 ans a de nouveau perdu ses parents

    Au milieu du mois de décembre 2004, la police a arrêté M. Luo Yulin et Mme Meng Qingwen, un couple de la ville de Dezhou, province de Shandong, et les a envoyés dans un camp de travaux forcés. Leur fils de 10 ans Luo Daming a été alors privé des soins de ses parents. La mère de M. Luo est âgée de plus de 80 ans et sa condition physique est si mauvaise qu’elle est presque dans le coma ; sa belle mère a des problèmes cardiaques. Toutes deux ont besoin de soins. Cependant personne ne peut s’occuper de Luo Daming et des deux femmes âgées.
  • J'ai été torturée dans le sous-sol de l’hôpital de la police de Pékin

    Le 19 décembre 2004, j'ai été illégalement arrêtée et envoyée au centre de détention du canton de Xuanwu pour avoir clarifié la vérité et distribué des documents. J'ai commencé une grève de la faim immédiatement pour protester contre mon arrestation et ma détention illégales. Après cinq jours, j'ai été envoyée au sous-sol de l'hôpital de la police de Pékin. J'ai été traînée dans une salle où deux policières ont arraché mes vêtements et ont commencé à me jeter de l'eau froide sur tout le corps. Il faisait très froid, on était en décembre. Alors elles m'ont forcée à me coucher sur un lit en métal et ont attaché mes mains et mes chevilles aux barrières latérales du lit. Après, elles m'ont injecté des drogues par IV qui m’ont donné une sensation de froid intense. Pendant ce temps, trois patientes criminelles dans la même salle essayaient de me soutirer mon nom et mon adresse pour la police.
  • Une paysanne âgée, Mme Li Hongjin de la ville de Huludao, province de liaoning, est morte sous la persécution

    Mme Li Hongjin était déterminée à pratiquer Falun Dafa. Elle s’est rendue deux fois à Pékin rendre justice au Falun Dafa et a été arrêtée. La veille du nouvel an chinois de l’année 2002, elle a été incarcérée au centre de détention de Shaguotun dans le district de Nanpiao et a été persécutée si brutalement qu’elle a frôlé la mort. Elle a été libérée mais ne s’en est jamais remise, même une fois chez elle. La police a continué à la surveiller de très près. Elle est décédée le 6 juin 2004.
  • Guo Huiming et Cui Zhimin, un couple de pratiquants de la ville de Weifang, Province de Shandong sont morts suite à la persécution

    En octobre 2000, M. Guo Huiming est allé à Beijing faire appel en faveur du Falun Gong. Il a été arrêté et ramené à son village. Détenu illégalement, on lui a fait payer des amendes et a coupé l’électricité chez lui. Le 6 avril 2002, son fils cadet, Guo Jiasheng a été arrêté et détenu dans une classe de lavage de cerveau à l’Ecole Technique de la ville de Weifang.Ne sachant pas si son fils était mort ou vivant, M. Guo Huiming ne pouvant plus supporter le stress physique et psychologique est mort le 11 février 2003.
  • Des fonctionnaires corrompus en Mongolie Intérieure conspirent pour priver une pratiquante de Falun Gong de sa terre

    Je suis pratiquante de Falun Gong depuis 1998. Après le 20 juillet 1999, je suis allée paisiblement et en toute légalité faire appel pour Falun Gong à Beijing. Les fonctionnaires corrompus du Parti Communiste Chinois (PCC) de mon village sont venus me harceler chez moi, nuit et jour. Même à minuit, ils m’ont obligée à aller aux bureaux gouvernementaux du village, pour un interrogatoire. Ils ont monté un coup et introduit une discrimination contre moi ainsi que mon fils et ma fille. A cette époque, mon fils n’avait que 16 ans et ma fille, 12.
  • Déterminés dans leur quête de justice et restant fermes dans leur croyance face à la brutalité

    Les pratiquants ont été illégalement jugés ou même envoyés dans les camps de travaux forcés, centres de détention et centres de lavage de cerveau sans juste procès. Il est interdit aux avocats qu’ils engagent de présenter un plaidoyer d’innocence pour leur défense. Les auditions devant la cour sont à huis clos et il est interdit aux famille de faire réviser le bien-fondé de leur jugement. Il est interdit aux pratiquants de faire appel aux cours supérieures. Dans de telles conditions, les pratiquants à travers le pays, leur famille et les gens dans le domaine judiciaire et légal, y compris les avocats, n’ont pas abandonné leur quête de justice et le dépôt des poursuites judiciaires contre leurs persécuteurs.