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  • Les actes criminels de torture commis à l’encontre des pratiquants de Dafa dans le Poste de Police de la rue Renmin dans la ville de Shiyan, province de Hubei

    « Quand je suis monté à l’étage , la scène s’offrant à moi était encore plus dramatique. L’autre chef ducommissariat de police, M. Liu, a ordonné à six policiers de la pendre dans la position de « porter une épée derrière le dos », exactement de la même manière que l’autre vieille dame à l’étage inférieur. Les 7 personnes la torturaient à tour de rôle, et de manière encore plus horrible. Les tortures qu’ils ont utilisées en ma présence incluaient lui donner des coups avec des ceintures, lui gifler violemment le visage et la choquer sur tout son corps avec plusieurs bâtons électriques. C’est probablement la scène la plus insupportable dont une personne puisse être témoin. Mon coeur s’est rempli de grand respect et d’admiration pour ces deux femmes pratiquantes de Dafa. Malgré les tortures inhumaines, elles n’ont jamais pleuré ou demandé grâce. La brutalité de la police a échoué. A côté des policiers, ces deux femmes paraissaient remarquablement nobles et magnifiques. »
  • Crimes commis par la Police de la Province de Shanxi: on force des pratiquants de Dafa à avaler des excréments et de l’urine, beaucoup ont été torturés à mort

    "A Datong, nous les pratiquants, avons reçu des menaces et des intimidations. Nos familles ont été touchées aussi. On nous a suivis, surveillés, on nous a détenus arbitrairement, on nous a soumis à des lavages de cerveau et on nous a même humiliés en nous faisant défiler dans les rues de différentes manières. Simplement parce que nous pratiquons le Falun Gong, certains d’entre nous ont dû quitter leur foyer et d’autres ont été détenus plusieurs fois et se sont vus imposer de lourdes amendes. Des pratiquants ont été détenus dans des centres de détention. La police de la Préfecture de Datong nous a violemment battus à coups de matraques. Ils nous ont passé de lourdes chaînes (qui pèsent quelques dizaines de kilos) autour du cou et des mains, ils nous ont ainsi forcés à marcher dans la cour. On ne pouvait même pas redresser le dos, on ne bougeait que centimètre par centimètre. Ensuite, on nous a empêchés de sortir. En hiver quand il faisait très froid, on nous a forcés à rester dehors. Le Deuxième Centre de Détention de la ville de Datong nous a transféré au Camp de Travaux Forcés de Taiyuan un jour où il neigeait et gelait, on a dû sortir pieds nus, avec une seule épaisseur de vêtements."
  • Mme Deng Huiqun de la Province de Guangdong est décédée suite à la persécution

    "La pratiquante de Dafa Mme Deng Huiqun de Jiangmen, Province de Guangdong a été arrêtée et détenue au Centre de Détention de Jiangmen, pour Femmes de Sanshui dans la Province de Guangdong, mais dû à sa santé extrêmement mauvaise, le camp de travail a refusé de la prendre. Sa famille est venue la chercher, mais tôt après son retour à la maison, elle est décédée."
  • Témoignage tardif - Mme. Wang Qiuxia a été battue à mort dans le camp de travaux forcés de la ville de Dalian

    "De la fenêtre de la cellule, j'ai à plusieurs reprises vu des personnes sortir de l'entrepôt. Après qu'ils aient enlevé leur sueur avec de l'eau, ils retournaient pour continuer les coups. Ceci a continué jusqu'à ce que la pratiquante de Dafa Wang Qiuxia soit morte. Duan, le chef de la cellule où j'étais détenu, est revenu et a dit, "Wang ne peut pas respirer ! Ils lui font la respiration artificielle. Quelqu'un est allé rapporter ce qui s'est produit." Alors j'ai vu le chef de division, dont le nom de famille est Ma, arriver. Après qu'il ait jeté un coup d'oeil à l'intérieur de l'entrepôt, il est parti à la hâte. Un court moment plus tard, Ma a amené le docteur du camp de travail (un homme d’environ 40 ans), et ils ont pris de l'oxygène à l'entrepôt. Peu après, j'ai vu que plusieurs personnes portaient mme. Wang dehors. J'ai vu que les jambes de mme. Wang étaient noires et bleues."
  • Mme Zhou Ainuu est Mentalement Traumatisée suite aux tortures subies dans le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de Moganshan dans la Province de Zhejiang

    "En Décembre 2002, la police de la brigade de "surveillance spéciale" (un endroit spécial pour persécuter les pratiquants de Dafa) lui a fait subir de force le lavage de cerveau. Pendant ce temps, elle a été privée de sommeil pendant huit jours, mais Mme Zhou n’a pas abandonné sa pratique de Dafa. Vers le mois d’août 2003, la police du camp de travail l’a à nouveau torturée en la privant de sommeil pendant 15 jours. Des témoins rapportent que mme Zhou Ainuu s'est effondrée mentalement et fait une dépression nerveuse."
  • Un pratiquant meurt de la torture – une pratiquante enceinte est enlevée et persécutée

    Deux mois après que Mme Deng ait accouché, la police l’a trouvée et enlevée elle et l’enfant pour les amener à la session de lavage de cerveau locale, la journée du Jour de l’an. Il venait tout juste de neiger et il faisait très froid lorsqu’ils sont arrivés à la session de lavage de cerveau. Parce que l’enfant avait de la fièvre, ils ont finalement envoyé mme Deng et son enfant à l’hôpital, où le docteur a diagnostiqué que l’enfant avait une pneumonie. Pour éviter toute responsabilité, la police l'a laissée elle et son enfant à l’hôpital sans surveillance, permettant ainsi à la pratiquante de Falun Dafa Mme Deng de s’échapper.
  • Yoko Kaneko se rappelle les 548 jours qui ont suivi son enlèvement par les complices de Jiang et son régime , 1ère partie.

    Le 24 mai 2002, deux pratiquantes de Falun Gong et moi-même sommes parties du Japon pour aller faire appel Place Tienanmen à Beijing. Nous avons été arrêtées, vers 11h du matin en allant là-bas, alors que nous distribuions des documents sur la vérité à propos du Falun Gong aux gens dans la rue et dans une zone résidentielle. La police a emmené les deux citoyennes japonaises ce soir là et parce que je suis chinoise, ils m’ont enfermée seule sous la surveillance de trois policiers dans un sous-sol...
  • La Cour de la ville de Dehui emploie la violence à l’encontre de membres de familles de pratiquants de Dafa

    Le 14 novembre 2003, la Cour de la ville de Dehui a tenu un procès illégal contre 13 pratiquants de Falun Gong illégalement détenus au centre de détention de la ville de Dehui. Puisque la Cour a violé la loi en refusant de libérer les 13 pratiquants après que leur période de détention légale fut écoulée, quelques membres de leur famille se faisaient du souci quand à la sécurité des pratiquants et sont allés à la Cour faire appel et demander la libération de ces pratiquants. Toutefois, la Cour avait déjà édicté une loi illégale permettant de refuser toute demande d’entretien de la part des familles des pratiquants.
  • Liu Chengjun, Un des Premiers à avoir diffusé la vérité de la persécution sur la TV d’état chinoise meurt dans un camp de travail en résultat de la torture

    Liu Chengjun, de la ville de Changchun, est un des pratiquants de Falun Gong qui a intercepté le réseau télévisé local pour diffuser la vérité sur la persécution du Falun Gong, le 5 mars 2002, évènement qui eut un retentissement dans le monde entier. Cruellement torturé lors de sa détention d’un an et neuf mois en prison, Liu Chengchu est décédé le 26 décembre 2003 à 4h du matin à l’Hôpital Sino-Japonais de l’Université de Jilin. Le jour même à 11h sous intense surveillance policière, les responsables de la prison de Jilin ont fait incinérer son corps, sans autopsie et contre la volonté des ses proches Selon des témoins oculaires le corps de Liu Chengchun portait des traces de sang à proximité des narines, aux oreilles, aux cuisses, et sur d’autres parties du corps.
  • Un pauvre villageois recouvre la santé en pratiquant le Falun Gong, puis est torturé à mort au centre de détention de Weiyuan

    Quand Zhang Congming quitta le centre de détention, il ne pouvait plus bouger ni marcher normalement. Il avait constamment mal au ventre et des élancements dans les jambes, il y avait du sang dans son urine et dans ses matières fécales et il toussait et vomissait du sang suite à de graves lésions internes causées par les coups des gardiens et des détenus criminels . La famille de Zhang étant très pauvre Zhang a dû endurer la souffrance sans aucun traitement médical. Sa santé a continué à se détériorer et le 11 août 2003, il est mort dans une totale agonie. Les personnes hors-la-loi du gouvernement de la ville de Gaoshi ont donné à sa famille 300 yuan comme dessous de table pour leur silence. Un honnête fermier qui croyait en Vérité, Compassion, Tolérance a été brutalement assassiné par des fonctionnaires qui ont suivi le régime de Jiang. Loin d’être poursuivis, les persécuteurs n’ont pas reconnu leur culpabilité dans la mort de Zhang. Cela s’est passé pendant la période que Jiang Zemin (l’ancien président de la Chine) prétend être « La meilleure époque des Droits de l’Homme en Chine ! » Nous appelons toutes les personnes bienveillantes à prendre acte de cette cruauté en soutenant la droiture et aider à punir les meurtriers.
  • Le camp de travail de Masanjia estropie les gens et interdit aux femmes de se changer et de se laver pendant les menstruations

    Les mains et les pieds de certaines pratiquantes étaient attachés, assumant ainsi la position assise en méditation. La police mettait le livre Zhuan Falun, que tous les pratiquants de Dafa considèrent très précieux, sous leur corps. Elles étaient attachées et ne pouvaient pas bouger. Ce qui a causé aux pratiquantes de Dafa une souffrance non seulement physique lancinante mais également une grande agonie mentale é. Une pratiquante de Dafa a été attachée pendant 24 heures. Lorsqu’elle a été détachée, tout son corps était incapable de bouger.
  • La tactique brutale employée par les gardiens du camp de réclusion et de travaux forcés de Wanjia pour torturer les pratiquants de Falun Dafa

    Du côté Est de la cafétéria de Wanjia il y a la 12ème brigade, les brigades masculines, et l'hôpital. Du côté Ouest c’est la 7ème brigade. Le premier étage du bâtiment latéral ouest loge les ateliers, au second étage les cellules de prison, et le troisième étage la brigade féminine de ré-éducation, qui est surveillée par les surveillants du département, Zhao Yuqing, l’instructeur Yao, et Wu. Les nouveaux détenus et les pratiquants de Dafa des différentes brigades qui sont considérés persistants sont envoyés ici pour la torture brutale et le lavage de cerveau forcé. Les gardiens de prison passent des cassettes diffamant le Maître et Dafa toute la journée. Celui qui refuse de coopérer est brutalement et sans interruption torturé avec la tactique du « grand accroché » * en étant choqué avec des matraques électriques à haute tension, devant s'accroupir sans dire un mot, et battus brutalement par des criminels.
  • Numéros de téléphone en relation à la mort suite à la torture de M. Wang Jiguo pratiquant de Dafa à Mudanjiang

    En décembre 2000, seulement trois mois après que Wang Jiguo ait été relâché de l’hôpital, les cadres du collège de Mudanjiang au mépris du fait qu’il urinait encore du sang et avait presque perdu l’usage de ses deux yeux le renvoyèrent dans le camp de travail. Plus tard, Wang Jiguo fut condamné et détenu dans la prison de Mudanjiang. Là-bas, il subit à nouveau des mauvais traitements l’amenant au bord de la mort. Quand on le renvoya de nouveau à l’hôpital, il était trop tard pour le sauver et il décéda en septembre 2003. La femme de Wang Jiguo est aussi une pratiquante de Falun Gong et elle est actuellement détenue dans un camp de travail. Leur enfant n’a que huit ans.
  • Conformation de la mort par torture de Li Chouren pratiquant de Dafa

    Les parents de Li étaient décédés depuis longtemps et sa jeune soeur s’était mariée et avait déménagé. Li vivait une vie de misère avec son jeune frère retardé mentalement. Comme sa famille n’avait pas les moyens de payer les amendes que la police demandait, Li fut emprisonné pendant longtemps. Pour finir, la police le libéra après avoir extorqué 1500 Yuan à sa soeur. A peu près 10 jours après son retour à la maison, Li décéda. Il mourut à l’âge de 40 ans.
  • Un pratiquant de Falun Gong de Hong Kong écrit au Conseil Législatif pour demander de l’aide pour sa soeur arrêtée à la douane de Luohu à Shenzhen

    Après de nombreuses investigations, j’ai appris que ma soeur était détenue dans un centre de rééducation. J’ai téléphoné plusieurs fois au centre et me suis renseigné su la date de sa libération. Un directeur m’a dit que ma soeur était une « personne clé ». Une femme ordinaire peut-elle être considérée comme une « personne clé » ? Un tel mensonge est ridicule et lamentable. Je suis très inquiet sur le sort de ma soeur.